(Fusain).
» La misogynie des textes religieux Auteur Jocelyn Bézecourt -Docteur en astrophysique.
Suite : » 1.4 Lislam et le Coran
La condition féminine fait partie des plus grands scandales générés par le Coran. La hiérarchie entre femmes et hommes doit obéir à la règle machiste fort répandue (II, 228) : « Les maris sont supérieurs à leurs femmes. » La femme idéale est plus proche de lesclave soumis que dune personne apte à décider de sa vie (IV, 38) : « Les hommes sont supérieurs aux femmes à cause des qualités par lesquelles Dieu a élevé ceux-là au dessus de celles-ci, et parce que les hommes emploient leurs biens pour doter les femmes. Les femmes vertueuses sont obéissantes et soumises. » Ou encore, sur la servitude à laquelle la femme est assignée (VII, 188) : « Cest lui qui vous a créés tous dun seul homme, qui en a produit son épouse afin quil habitât avec elle, elle porta dabord un fardeau léger et marchait sans peine. »
La femme est une possession du mâle dont il peut disposer comme bon lui semble, tant en ce qui concerne lépouse (II, 223) : « Les femmes sont votre champ. Cultivez-le de la manière que vous lentendrez, ayant fait auparavant quelque acte de piété. », que les filles (II, 220) : « Ne donnez point vos filles aux idolâtres tant quils nauront pas cru. » Et comme tout bien de consommation est jeté lorsquil na plus les faveurs de lutilisateur, la femme peut être répudiée avec facilité et la procédure est précisée en (II, 229 à 233) et (LXV, 1 à 4). Le mépris dans lequel sont tenues les femmes éclate dans léquivalence « 1 homme = 2 femmes » lors de la recherche de témoins dans le règlement dun litige (II, 282) : « Appelez deux témoins choisis parmi vous ; si vous ne trouvez pas deux hommes, appelez-en un seul et deux femmes parmi les personnes habiles à témoigner ; afin que, si lune oublie, lautre puisse rappeler le fait. » Cette même inégalité de traitement prévaut aussi dans les droits de succession (IV, 12) : « Dieu vous commande, dans le partage de vos biens entre vos enfants, de donner au fils mâle la portion de deux filles ; sil ny a que des filles, et quelles soient plus de deux, elles auront les deux tiers de la succession ; sil ny en a quune seule, elle recevra la moitié. » ; voir aussi (IV, 175). La primauté de lhomme provient de son apparition première (III, 193) : « Les femmes sont issues des hommes. », et (IV, 1) : « Ô hommes ! craignez votre seigneur qui vous a créés tous dun seul homme ; de lhomme il forma sa compagne. » La polygamie est officiellement acceptée en (IV, 3) : « Si vous craignez dêtre injustes envers les orphelins, népousez que peu de femmes, deux, trois ou quatre parmi celles qui vous auront plu. », et Mahomet montre lexemple (XXXIII, 6) : « Le prophète aime les croyants plus quils ne saiment eux-mêmes ; ses femmes sont leurs mères. » et (XXXIII, 27) ainsi que (XXXIII, 47) : « Ô prophète ! il test permis dépouser les femmes que tu auras dotées, les captives que Dieu a fait tomber entre tes mains, les filles de tes oncles et de tes tantes maternels et paternels qui ont pris la fuite avec toi, et toute femme fidèle qui livrera son cur au Prophète, si le Prophète veut lépouser. »
Le machisme musulman ne se limite pas à établir une supériorité homme – femme mais prévoit aussi la réprimande violente et lexprime avec la plus grande clarté (IV, 38) : « Vous [les hommes] réprimanderez celles dont vous avez à craindre linobéissance ; vous les relèguerez dans des lits à part, vous les battrez ; mais aussitôt quelles vous obéissent, ne leur cherchez point querelle. Dieu est élevé et grand. » Le Coran montre ici son vrai visage de religion rétrograde et agressive, qui ne survit que par la terreur quil inspire aux unes et par lattribution dune supériorité factice à des hommes dépourvus de raison. De même en (IV, 19) : « Si vos femmes commettent laction infâme (ladultère), appelez quatre témoins. Si leurs témoignages se réunissent contre elles, enfermez-les dans des maisons jusquà ce que la mort les visite ou que Dieu leur procure un moyen de salut. » La mort pour les femmes adultères, seul remède pour un islam brutal qui, par contre, nenvisage pas le cas de lhomme adultère. Autre exemple dinfidélité conjugale à la charge des épouses en (LXVI, 10), avec toujours la mort comme issue pour une religion de la domination masculine. Appeler à la mort de lautre, de celui qui est différent, nest pas la marque dune réflexion particulièrement élaborée comme voudraient nous en persuader les théologiens.
La psychose musulmane sur la nocivité de toute forme de coquetterie féminine trouve son origine en (XXIV, 31) et a, depuis, donné lieu à une généralisation délirante. Le point culminant en est le port du voile, prescrit dans le cas dune conversation avec les femmes de Mahomet (XXXIII, 51) : « Si vous avez quelque demande à faire à ses femmes, faites-la à travers un voile ; cest ainsi que vos curs et les leurs se conserveront en pureté. » De même en (XXXIII, 57) : « Ô prophète ! prescris à tes épouses, à tes filles et aux femmes des croyants, dabaisser un voile sur leur visage. Il sera la marque de leur vertu et un frein contre les propos des hommes. » Remarquer que le port du voile par les hommes aurait le même effet « protecteur », mais cette suggestion nest probablement que blasphème. La femme soumise et devant fuir les regards masculins na pas à espérer démancipation au paradis (XXXVII, 52) : « Auprès deux [les justes au paradis] seront des femmes au regard modeste, et leurs égales en âge. » Enfin, les femmes ne sont quune marchandise dont la valeur dépend de leur soumission à lislam (LX, 10).
Le Coran réduit donc la femme au rang de spectatrice et domestique de lhomme. Elle peut être échangée ou rejetée comme pour tout produit de consommation courante ; elle est à la charge du mari au même titre que le bétail. Le maître peut disposer delle comme il lentend et user de la force à son encontre. Ladultère semble être une exclusivité féminine, le mâle nétant pas redevable envers son sujet. Parler ici de misogynie est trop faible pour exprimer le mépris et la soumission dont les femmes sont lobjet. On ne peut que constater que le monde musulman actuel est resté fidèle à ces préceptes préhistoriques.
LIran la rappelé en 1995 à la conférence de Pékin sur la condition féminine (même attitude inacceptable de la part du Vatican). Le port du voile, commandé par le Coran, est adopté à des degrés divers : foulard qui se limite à la couverture de la chevelure, tissu qui ne laisse que les yeux comme unique appel au secours, grilles infligées par les Talibans, ou encore couverture complète du visage. Officiellement un rempart contre les regards masculins déplacés, ce voile protège plus efficacement les sociétés musulmanes contre leur propre barbarie en soumettant au silence la moitié de leur population. »
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… » Ce voile protège plus efficacement les sociétés musulmanes contre leur propre barbarie en soumettant au SILENCE la MOITIE de leur population. »
EXACT: en réduisant au « silence » ( critiquer EST sacrilège ) les femmes, les religieux de TOUS bords, CONTRÔLENT leur VIE !
Et le MONDE entier se TAIT : il respecte les religions qui n’ont AUCUN respect envers la PERSONNE des femmes ( Je rappelle pour les nuls, que le respect n’a RIEN à voir avec le fond de culotte des femmes !)
DIEU, si tu existes, es-tu conscient de toutes les SALOPERIES commises en…TON nom ?
Si oui, qu’attends-tu pour envoyer leurs auteurs cramer en ENFER !!!
Si non, je comprends mieux POURQUOI toute cette BARBARIE se perpétue depuis des siècles et des siècles, en TOUTE IMPUNITE!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
PS- rappel: » Ce qui est dénoncé dans cet article, nattaque pas la foi en Dieu de lindividu, seulement la hiérarchie sociale de la civilisation basée sur les textes religieux. Peu de ces mêmes textes sont en accord avec la Déclarati des Droits de lHomme et encore moins avec les droits de la femme.
Ce qui nest plus à démontrer, la femme est légale de lhomme intellectuellement et son complément physiquement, et par conséquence devrait avoir cette égalité en tous points au sein de notre civilisation.
