Père Pedro :"convaincre ces familles vivant au milieu des ordures"

Père pedro
photos à partir du reportage de PPDA sur TF1 : père Pedro

Père Pedro 3
Les « villages » de l’espoir retrouvé!

Père Pedrr 2
Cette femme à bout de souffle lui embrasse les pieds, le suppliant de ne pas la rejeter

Père pédro 4
Une carrière où elle pourra gagner sa croûte

Père Pédro 5
Son bébé propre et bien nourri reposant au milieu des cailloux

 » Le père Pedro naît le 29 juin 1948 à Buenos Aires en Argentine dans une famille d’origine slovène qui a fui la Yougoslavie du général Tito.

Dès l’âge de 8 ans, il aide son père sur les chantiers et apprend avec lui tous les métiers du bâtiment. Il joue aussi beaucoup au football, comme tous les jeunes argentins et veut devenir professionnel. Son choix entre le football et la prêtrise sera difficile, mais il choisira de se consacrer à Dieu et aux plus démunis. Après deux années d’études théologiques en Argentine, il étudie en Europe à compter de 1968 pendant trois ans à Paris, en France. Il y étudie à la faculté catholique et voyage dans toute l’Europe, où il se fera de nombreux amis.

Après son choix pour les missions, il entre chez les missionnaires Lazaristes (de Saint-Vincent-de-Paul), à Paris. Il est ordonné prêtre en Argentine en 1976.

Le père Pedro arrive dès 1972 comme missionnaire à Madagascar, dans une des régions les plus démunies du sud-est de la grande île. Il aide les paysans à améliorer la culture du riz, des céréales et du café. Il crée aussi des groupes de villageois et de jeunes, pour les aider à bâtir des projets communs et à prendre en main leur futur. Après 13 années passées dans le sud, son ordre des frères lazaristes l’envoie à Antananarivo, la capitale, en mars 1989 pour y diriger le séminaire où il a été nommé. Il va avec de jeunes séminaristes sur la décharge de ‘Tana’ vivre aux côtés des habitants les plus déshérités dès le mois de mai de la même année. Il lui faudra 6 mois de longues discussions, pour convaincre ces familles vivant au milieu des ordures de se battre pour un meilleur futur pour leurs enfant.

Engagement
En décembre 1989, avant Noël, le père Pedro fonde avec ses amis malgaches une association dont le nom malgache Akamasoa signifie ‘Les bons amis’, pour être précis ‘les amis fiables et sincères’. Ses objectifs consistent à redonner une dignité humaine aux populations les plus pauvres, issues de la rue, grâce à:

– un logement décent qu’elles contribuent à édifier – la scolarisation obligatoire des enfants . – un travail rémunéré

En 17 ans, l’Association a accordé une aide d’urgence à plus de 300 000 personnes en détresse. Elle en accueille 40 000 ,dont 10 000 enfants scolarisés, dans les 17 villages qu’elle a construits. Elle a bâti plus de 3 000 habitations en briques, plus de 272 classes dans des écoles neuves, des dispensaires, des stades dans tous les villages… et assure un salaire à plus de 3 000 personnes (carrières de granit, fabrication de briques, pavage des places , rues et routes, maçonnerie, menuiserie, charpente, construction métallique, mécanique, cantines, fleurissement, nettoyage, artisanat d’art, etc) sur plusieurs sites à Madagascar.

Le père Pedro se bat pour autofinancer une partie de son association et finance aussi son combat contre la misère en voyageant à travers le monde pour susciter des dons.

Prêtre lazariste, footballeur et maçon, le Père Pedro a les deux pieds enfoncés dans le concret de la vie des pauvres. Il ne supporte donc pas les discours jamais suivis d’actions ou de dons et a un grand nombre de projets pour 2007 et 2008. Il s’est entouré au fil des ans d’une équipe remarquable de 365 cadres malgaches, qui oeuvrent au développement d’Akamasoa.

Co-auteur d’un livre avec l’Abbé Pierre, le Père Pedro est régulièrement interrogé par la presse malgache et internationale. Des films sur son action sont passés sur 4 des 6 chaînes françaises. Cinq différents livres en français, italien, slovène et allemand sont parus sur l’oeuvre de sa vie, ainsi que six documentaires.

Le Père Pedro a été nommé Chevalier de la Légion d’Honneur en février 2008 et s’est vu décerner le prix international du Cardinal Nguyen Van Thuan au Vatican, pour son action en faveur des droits de l’homme.

Plusieurs milliers de membres actifs soutiennent régulièrement père Pedro. L’Union Européenne prend une partie des aliments pour ses enfants en charge, la principauté de Monaco soutient l’administration, les KIWANIS International construisent des hôpitaux, des cuisines centrales et des maisons, mais aussi d’autres clubs de charité s’engagent avec leurs dons: Lions et Rotary.

Le Père Pedro parle 6 langues : Slovène, espagnol, français, italien, anglais et … malgache.

Sources : Rencontres avec le Père Pedro et Pere Pedro – Combattant de l’espérance – autobiographie d’un insurgé éditions J.C. Lattès, 2005, « Pere Pedro – Journal de combat » éditions J.C. Lattès, 2008 et Kämpfer der Hoffnung, Ullstein Verlag, Berlin, 2007

Pour aider et soutenir l’œuvre du P. Pedro : Association française de soutien à l’œuvre du Père Pedro Opeka (Présidente : Dr Marie Monfort-Gouraud) BP 640, 77103 MEAUX Cedex

Site : http://www.perepedro.com  »

Wikipédia.

Un escargot flashé pour excès de vitesse ?

« Il n’y a qu’en Belgique qu’on voit ça… c’est à Liège qu’a eu lieu mardi le Championnat du Monde de course d’escargots. 240 candidats en lice, entraînés comme des champions et bavant d’excitation… Et le record du monde a été battu.
On a trouvé l’escargot le plus rapide du monde
A 0,008 km/h, le champion a mis 3 minutes et 6 secondes pour parcourir 42 centimètres. Le flash pour excès de vitesse n’est pas bien loin . »
RTL

Le baiser de la mort ?

Suicide assisté

Suicide 2
Photos sur LCI.

Le débat sur le suicide assisté rebondit en Angleterre Créé le 30/07/09

Site Europe 1
[« J’ai le sentiment qu’on m’a rendu la vie ». Debbie Purdy, une Anglaise atteinte de sclérose en plaque, a accueilli avec enthousiasme la demande des Law Lords jeudi. La plus haute instance judiciaire britannique a demandé à la justice de clarifier la loi sur le suicide assisté, donnant ainsi satisfaction à cette femme de 46 ans.

La Cour d’appel suprême se prononçait sur un appel de Debbie Purdy. Elle voudrait savoir si son mari, le violoniste cubain Omar Puente, risque d’être poursuivi en justice s’il l’aide à se rendre dans un pays où le suicide assisté est légal.

Debbie Purdy a dit à plusieurs reprises qu’elle avait l’intention de se rendre en Suisse et de prendre une dose mortelle de barbituriques prescrits par les médecins de l’association helvète Dignitas afin de mettre fin à ses jours si ses conditions de vie devenaient insupportables.

Si en Suisse le suicide assisté est toléré, il est illégal au Royaume-Uni d’aider autrui à commettre un suicide ou de donner des conseils ou les moyens de le faire. « Il est important que la justice prenne dorénavant conscience du besoin de se prononcer sur une ligne de conduite spécifique dans ce domaine », a déclaré l’avocat de Debbie Purdy, Saimo Chahal.

Saimo Chahal a évoqué une « victoire fantastique », soulignant que les Law Lords avaient pris leur décision à l’unanimité. Sa cliente avait jusque-là buté sur le refus des autorités d’accéder à sa demande. Keir Starmer, le responsable des poursuites judiciaires, a indiqué jeudi qu’il allait « s’efforcer » d’établir une ligne de conduite « d’ici la fin de septembre » afin de déterminer « les facteurs principaux pour ou contre le lancement de poursuites judiciaires ».]

*********************************************************************************************

Je sais que le « moment venu », je ne demanderai la permission à personne pour moi !

Bravo à Debbie d’avoir été au bout de SA décision de choisir SA vie ! Une petite pensée pour son époux qui l’assistera…Jusqu’au bout: CHAPEAU !!!

L’Italie à …Mada ? Ssssiii !!!

Andil plage

Andilana Beach

Andil O
Photos perso.

…Sur la plus belle plage, dans le N-O de Nosy Be!

« Air Italy Group » atterrit à Nosy Be, un bus conduit les vacanciers à « Andilana Beach » où ils vivront…à l’italienne : langue, super buffet, animations, chanteur (!)…

Quelques temps plus tard, retour à l’aéroport…

Mada et les Malgaches ? Heuuu…Ils ne sont pas venus pour ça !

Mada que j’aime…

Voile au repos 2
Rêve d’îles en chapelets, à bord d’un voilier local…A balancier !

Village pêcheurs
Un village de pêcheurs dans le Nord de Nosy Be, où est né gérard…

Intérieur de case
Sa vieille tante, qui ne connaît pas son âge…C’est courant à Mada ! On se réfère souvent à des évènements importants pour…se repérer dans sa propre vie !!! ( Un cyclone, une épidémie…)

Zébus 2
Des zébus à Diégo dans le Nord de Grande Terre…

gardien assassiné
On voit la « maison du musicien », celle du « gardien assassiné » et notre plage qui attend sa case…Depuis 6 ans !!!
Je vous raconterai plus tard, car je m’envole pour la Métropole …Samedi! Et j’ai une foule de trucs à faire ( bagage à défaire et…refaire, lessives…)

carry de crabes
Un carry de crabes et du riz… à tomber par terre !!!

Une Pépée…Qui dit: NON !!!

lubna Hussein 2Photo LCI.
Site Le Post; Source : Memri
[ Une journaliste soudanaise invite la presse à assister à son procès et à l’administration de coups de fouet pour « tenue indécente » : « j’ai porté un pantalon. »
Le problème de la maltraitance des femmes par la police soudanaise chargée de l’ordre public (1) a dernièrement fait les gros titres des médias soudanais et autres, après que la journaliste soudanaise Lubna Ahmad Hussein et douze autres femmes furent arrêtées à Khartoum le 3 juillet 2009 pour délit de port de pantalon. Deux jours plus tard, dix de ces femmes ont été convoquées par le commissariat et condamnées à dix coups de fouet chacune. Les trois autres femmes, dont Lubna Ahmad Hussein, ont été condamnées pour tenue et conduite inappropriées.
La clause 152 du code pénal soudanais autorise l’administration d’un maximum de 40 coups de fouet et/ou d’une amende pour tenue et conduite contrevenant aux normes établies.
Ce type d’incidents n’est pas peu fréquent au Soudan et ne fait généralement pas les gros titres. Lubna Hussein a toutefois décidé d’attirer l’attention du public sur le problème et faisant imprimer 500 invitations, distribuées à des journalistes et des amis, sommés d’assister à son procès et à l’administration de coups de fouet à laquelle elle serait très probablement condamnée.
Cette initiative se veut un acte de protestation contre la clause du code pénal citée plus haut, ainsi que contre les agissements de la police de l’ordre public qui, estime-t-elle, enfreint systématiquement les Droits de l’Homme des Soudanaises.
Dans une interview accordée à la télévision Al-Arabiya, Mme Lubna Hussein explique qu’elle a distribué ces invitations parce que sans elles, personne n’aurait cru qu’elle devait être fouetté pour port de vêtements ordinaires : « Je voulais que le châtiment soit exécuté en présence d’observateurs, afin qu’ils puissent constater par eux-mêmes la raison des coups de fouet. » (2)
Une organisation arabe des Droits de l’Homme : Les lois du Soudan relatives à l’ordre public font partie des lois les plus discriminatoires au monde vis-à-vis des femmes
Le Réseau arabe de l’Information sur les Droits de l’Homme a émis un communiqué condamnant l’arrestation de Lubna Hussein et du châtiment attendu, le qualifiant de vengeance contre ses articles fustigeant le gouvernement du Soudan : « Ce sont des accusations faciles, uniquement utilisées par des gouvernements tyranniques. Le gouvernement du Soudan doit faire preuve de courage et déclarer haut et fort que les écrits de cette journaliste courageuse ont été pour lui cause d’embarras, au lieu de recourir à de fausses accusations et à une vengeance aveugle dont le véritable objectif et de la [réduire au silence]. Les lois du Soudan relatives à l’ordre public font partie des lois les plus discriminatoires au monde vis-à-vis des femmes soudanaises. Elles enfreignent un certain nombre de libertés de base auxquelles tout citoyen devrait avoir droit. Ces lois, visant les femmes qui travaillent et les étudiantes, ont été promulguées expressément pour les persécuter, les humilier, les priver de leur liberté et les écarter de la sphère publique. Et maintenant, la police a trouvé le moyen d’utiliser ces lois contre une journaliste de l’opposition. » (3)
« [Imaginez] l’état émotionnel de la jeune fille et la honte qui la suivra toute sa vie – tout cela parce qu’elle a porté un pantalon. »
Sur Facebook, Lubna Hussein a mis en ligne une lettre à ses supporters, où elle précise que son objectif est de susciter le scandale, afin de dénoncer l’insupportable réalité qu’endurent les Soudanaises, en raison du code pénal du pays. Elle écrit : (4) « Je vous suis très reconnaissante et voudrais que vous sachiez combien je suis heureuse de votre solidarité. J’espère que [mon cas] fera connaître la clause 152 du code pénal saoudien.
Ce qui est en cause, ce n’est pas l’attaque personnelle que je subis en tant que journaliste, ni la défense de ma dignité individuelle. Loin de là… Le problème est ailleurs, et j’appelle le public à être témoin [des faits] et à juger [par lui-même] si c’est moi ou la police de l’ordre publique qui se trouve déshonorée. Vous déciderez après avoir entendu les accusations et les témoins de l’accusation, et non [seulement] ma version des faits.
Mon histoire est similaire à celle des dix jeunes femmes fouettées en ce jour et à celle de dizaines, de centaines, et peut-être de milliers d’autres : fouettées dans les tribunaux de l’ordre public à cause de leur tenue, jour après jour, mois après mois, année après année. Elles en ressortent abattues, parce que la société ne les croit pas : en effet, elle ne pourra jamais croire qu’une fille a été condamnée à recevoir des coups de fouet uniquement à cause de sa tenue.
La conséquence [de ce châtiment] est la peine de mort infligée [par la société] à la famille de la jeune fille : pour les parents, c’est une attaque de diabète, d’hypertension ou un arrêt cardiaque. [Imaginez] l’état émotionnel de la jeune fille et la honte qui la suivra toute sa vie – tout cela parce qu’elle a porté un pantalon. Le nombre [de victimes] continuera de croître, parce que la société refuse de croire qu’une jeune fille ou une femme peut être fouettée à cause de ce qu’elle porte. »
« J’ai fait imprimer 500 invitations – je veux que tout le monde soit présent »
C’est pourquoi j’ai fait imprimer 500 invitations [à venir assister à mon procès]. Je veux que tout le monde soit présent : les sympathisants, les amis, la famille, ainsi que ceux qui jubilent face à mon malheur. C’est une invitation ouverte au public. Je n’ai pas fait de descriptif détaillé de l’incident [qui a conduit à mon arrestation], puisque je veux que les gens entendent de leurs propres oreilles et voient de leurs propres yeux les accusations et les témoins de l’accusation, plutôt que ma seule version des faits. »
« Voyons ce qui est le plus indécent : ma tenue et celle de ces jeunes filles, ou cette plaisanterie »
« L’incident a suscité plusieurs questions, telles que : Pourquoi certains sont-ils arrêtés, et d’autres pas ? Cette question délicate devrait être posée à la police ou à l’accusation. Voyons ce que le public décidera. Voyons ce qui est le plus indécent : ma tenue et celle des jeunes filles fouettées, ou cette plaisanterie qui ne cesse de se répéter, tandis qu’aucune femme n’ose protester, vu qu’elles ont toutes peur du scandale et du choc que cela pourrait faire à leurs parents.
Le problème réside dans la clause 152 du code pénal, qui condamne [les femmes] à 40 coups de fouet ou à une amende, ou aux deux, en cas de tenue indécente, sans que soit précisé ce que cela signifie.
[Un mot sur] le nom donné à cette clause : « Comportement déshonorant ». Essayez d’imaginer ce qui vient à l’esprit quand on vous dit qu’une femme a été fouettée pour comportement déshonorant dans les locaux des services de l’ordre public. C’est de cela que je veux que le public témoigne.
Je veux entendre les accusations et les témoins de l’accusation. Quant à moi, je ne dirai rien au tribunal, à part : ‘Oui, c’est exact’. Que l’on sache quel crime j’ai commis. »
Lubna Ahmad Hussein
Khartoum, Soudan
11 juillet 2005 (5)

[1] Une force de police responsable de l’application de la Charia au Soudan, similaire à la police religieuse d’Arabie saoudite. La constitution soudanaise repose sur la Charia, sauf dans le sud du pays.
[2] http://www.alarabiya.net, 13 juillet 2009.
[3] http://www.anhri.net, 11 juillet 2009.
[4] http://ar-ar.facebook.com/lubna.hussein. Voir la pagée créée pour soutenir sa cause : http://apps.facebook.com/causes/314483/25264572?m=c4bb4f3c (en arabe) ; voir la page en anglais : http://www.facebook.com/pages/Lubna-Ahmed-Hussein/105883283749.
[5] http://www.facebook.com/topic.php?uid=24081674781&topic=10674 ]

********************************************************************************************
Il y a tant de femmes qui ACCEPTENT de se COUCHER, peu ou prou, devant l’arbitraire du mâle!

Lubna est une FEMME DEBOUT, dans un pays qui bafoue les droits des femmes au nom de …
« DIEU « !!!

Son courage est une lumière pour toutes les femmes qui subissent les diktats des mecs, au nom de religions…Inventées par des MECS !!!

Merci Lubna !

Je t’embrasse, petite « Soeur Courage ».

Séga malgache : quelle vitalité chez cette jeunesse……

« Musique de rue »:
Oh le Tsiliva- Kilalaky musique malgache.
 »

Forum:

Bjourk (il y a 1 jour)constater la joie de vivre et le talent de la jeunesse malgache meme apres presque un demi siecle de bettise de leur gouvernement. »

********************************************************************************************
Lien http://www.youtube.com/watch?v=oJme8GqILIo
*********************************************************************************************

Com EXACT! RIEN à rajouter!!!

Demain… au Paradis ? S’il "avait un nom, Nosy Be s’en rapprocherait".(Petite virée à Mada)

carte-MadaComores[1]Nosy Be: île à l’extrême nord-ouest de Mada…

Mar 3 Plage à nous, à Nosy Komba…

la case de GérardLa case d’Hélène à la plage d’Ankify.

Ambatoloaka 1ère nuit : plage d’Ambatoloaka

Nomade autre nuit:plage d’ Andilana

Carte de mada: Nosy Be au nord-ouest, la Grande Île en face et la ville d’Ambanja juste en-dessous d’Ambilobe…Sans oublier Nosy Komba entre Nosy be et la grande terre… Ankify, Andilana…

*********************************************************************************************

…  » Nosy Be, perle de Madagascar, joyau de la grande île, l’île au parfum… Si le Paradis avait un nom, Nosy Be s’en rapprocherait. Seul lieu de Madagascar ayant des infrastructures touristiques aussi développées, Nosy Be jouit d’un climat exceptionnel : 330 jours d’ensoleillement par an avec des pluies toujours nocturnes (quand il pleut), une mer calme et des fonds marins époustouflants.

Le mont Passot :
c’est l’endroit le plus élevé de l’île où le mont Passot culmine à 329 mètres. Vue magnifique de tout Nosy Be et sur ses lacs de cratère. Baignade interdite (fady) dans ces lacs car paraît-il, ils sont habités par des crocodiles et par les esprits des ancêtres. On y vient surtout à la tombée de la nuit admirer un magnifique coucher de soleil.

L’arbre sacré :
l’arbre se situe à Mahatsinjo. Ce figuier banian est gigantesque et couvre 2000m2. Les malgaches viennent sous ses branches faire un voeu et déposer une offrande avant de repartir. Il convient pour visiter l’arbre sacré de ne pas porter de chapeau, de se déchausser, d’enfiler un pareo et de pénétrer dans la zone sacrée par le pied droit.

Nosy Be est le point idéal pour visiter les îles environnantes qui sont toutes plus belles les unes que les autres. Vous pourrez ainsi visitez Tany Kely, idéale pour faire un pique nique et profiter des fonds marins avec l’aide d’un tuba. Sur l’île se trouve un vieux phare. Elle est habitée par des chauves souris frugivores et des lémuriens peu craintif.

L’île de Nosy Kamba culmine à 622 mètres et est couverte d’une forêt dense idéale pour une petite randonnée. L’île très visitée, est connue pour ses nombreux Maki. Des Lémuriens pas farouches qui n’hésitent pas à venir sur vos épaules en échange d’un morceau de banane. »…

Site Madagascar (ou Mada pour les « intimes »)

*********************************************************************************************

Je vous retrouve dans une grosse semaine:

– Si l’avion n’a pas fait un bisou à l’Océan Indien

– Si je ne suis pas devenue une otage des Sakalaves

– Si je ne suis pas morte de faim: il paraît que les hôtels ont de la peine à se ravitailler

– Si on n’est pas pris dans une fusillade: c’est encore très instable en politique…

– Si un Poisson Pierre ne m’a pas empoisonnée avec son venin souvent mortel…Ou si un requin …

Allez, je plaisante…!!!

Nous avons un petit programme d’enfer, avec des amis malgaches…Mais SANS ordi…!!!

C’est surtout les retrouvailles avec des amis chers: depuis le temps qu’on y va les paysages sont devenus familiers…Mais les nombreux trajets en « coque »(barque longue à moteur puissant)entre les innombrables petites îles, sont toujours aussi…sublimes!!!

PS- Nosy Be : prononcer Nossi Bé ; Ambanja: Ambanj; Ambatoloaka: Ambatoulouk; Andilana: Andil etc…