GPA pour des Français ? A l’étranger !!!

[ Des mères porteuses pour Français ? A l’étranger !!!

Ils seraient entre 400 et 500 couples français à tenter chaque année l’aventure de la GPA -gestation pour autrui- à l’étranger. Plus connue sous le nom de recours à une « mère porteuse », cette pratique interdite en France depuis 1994 ne cesse d’alimenter les controverses.
Laure Camborieux fait partie de ces femmes qui ont traversé l’Atlantique pour faire porter leur enfant par une autre, depuis elle a créé l’association Maia, pour accompagner et informer les couples infertiles sur les solutions existantes : « Au sujet de la gestation pour autrui nous ne pouvons évidemment agir sous quelque forme que ce soit, nous nous contentons d’informer. Les couples sont libres, mais hors de nos frontières ils ne s’adressent pas forcément aux bonnes personnes. »
Laure et son mari ont eu la chance de tomber sur une famille sérieuse en Californie, préférant un contact direct et amical à l’entremise d’une agence. De nombreux couples ont choisi l’état de Californie, eldorado de la GPA : la loi y est non seulement beaucoup plus flexible que dans la plupart des états américains ou des pays ayant légalisé (entre autres le Canada, le Danemark, Israël, le Royaume-Uni, l’Australie ou la Grèce), mais surtout les couples étrangers y sont les bienvenus et repartent avec des actes de naissance déclarant directement le ou les enfants nés de mère porteuse comme leurs propres enfants. Le hic survient dans l’hexagone, où la justice refuse toujours de reconnaître les documents américains : « mes enfants ont la nationalité américaine, en France ils n’ont pas d’état civil, si nous disparaissons ils n’ont plus rien » explique Laure.
C’est entre autres pour légiférer et faire exister ces enfants sur le sol français qu’un groupe de 70 sénateurs, droite et gauche confondues, a mené sa propre enquête sur la GPA, parallèlement à la mission parlementaire sur les lois bioéthiques. Une proposition de loi a vu le jour à la fin janvier, à mille lieues de l’interdiction prônée par le rapport Léonetti. Un voyage outre-Manche et un aperçu des pratiques étrangères aurait fait basculer ce bastion de sages du côté des pros « GPA ». ]

********************************************************************************************

Et dire qu’ ACHETER le SEXE des FEMMES…Par des MECS , n’a JAMAIS soulevé de problème dans TOUTES les sociétés !!!

Malgré toutes les horreurs que cela engendre :

– Toutes ces filles « importées », « formatées », traitées MOINS que du bétail…
– Toutes ces femmes fracassées par des incestes, des viols, des violences psychologiques et physiques de toutes sortes , qui continuent à se « salir » avec le sperme des clients…Pour vivre.

Et DES femmes toutes proprettes* sur elles, et dans leur sexe, JUSTIFIENT la prostitution SOI-DISANT « libre »(!) Quelle infâmie !

Je ne suis pas pour la fidélité des mecs: leur « nature » n’a pas été formatée ainsi.
Donc, je trouve naturel que des mecs couchent avec d’autres femmes que la leur.( Le mien aussi oui; mais il reste sourd, pas par faute que je lui rappelle souvent qu’il est libre de le faire…)

Par contre, je VOMIS les mecs qui ACHETENT le SEXE de femmes: je suis pour leur pénalisation.
Ils ne méritent AUCUN respect ! Ils sont COMPLICES de toutes les HORREURS engendrées par la prostitution…JOUER à Ponce Pilate ne les dédouane en aucune façon. SHAME on THEM!

PS- *Proprette…Dans leur tête ? VRAIMENT ? A bien y réfléchir c’est plutôt CRADE !
Et si c’était…Leur FILLE, prise dans cet engrenage sordide et violent, par sa nature même ?( « ELLES », elles en rêvent ? Sûrement !)

… »Comment peut-on parler d’égalité en considérant les femmes comme des objets sexuels uniquement vouées à la satisfaction des hommes ? Ekberg donne l’exemple d’une conférence à Berlin portant sur le renforcement des lois contre le harcèlement sexuel. Aussitôt sortis de la conférence, elle a vu des participants traverser la rue pour aller au bordel sans y voir la moindre contradiction. En tant que prostituées, ces femmes sont exclues de la protection légale contre le harcèlement et la violence sexuelles. Pour la conférencière, il faut insister sans répit sur le fait que la prostitution n’est ni un métier, ni un choix, ni une libération sexuelle pour les femmes.

D’abord, il faut se demander d’où viennent les femmes dans la prostitution ? Qui sont-elles ? Depuis 1970, toutes les enquêtes ont démontré qu’elles ont une histoire marginale sur le plan social, économique et politique. En Suède, elles étaient de 400 à 600, dont plusieurs provenaient des pays baltes. Environ 85% d’entre elles ont été victimes de violence, traitées comme des objets sexuels dès leur plus jeune âge avant de subir le dressage brutal des proxénètes. Au Canada, le rapport Fraser évaluait en 1985 que les femmes prostituées avaient 40% plus de chance de se faire tuer que les autres membres de la société.

La plus grande violence dans la prostitution, selon Ekberg, est de se faire pénéter à répétition par voie orale, vaginale, anale. Qu’on soit dans un bordel chic ou dans une ruelle, c’est le même acte prostitutionnel, une inacceptable violence qui cause de graves traumatismes. Il faut prendre conscience, explique-t-elle, que la légalisation de la prostitution constitue une des plus grandes menaces envers l’égalité des femmes parce qu’elle normalise l’idée que les hommes peuvent acheter des femmes.
Elle remarque, cependant, que beaucoup d’HOMMES s’organisent actuellement pour lutter contre la prostitution et tous les mythes sur la sexualité masculine « ...(Elaine Audet Sisyphe.org)

Pendant que des…nanas les JUSTIFIENT.

AUCUNE saloperie envers les femmes ne serait possible, sans le concours de…FEMMES, elles-mêmes…

Ainsi va le monde…Des femmes!

" l’ homme idéal" ?

amoureux ardèche
( photo : pour moi, c’est…LUI !)
 » Dans les cabinets, les thérapeutes voient de plus en plus d’hommes se plaindre du comportement de leur femme.
Ils rapportent qu’elles sont de plus en plus exigeantes sur leur relation, veulent que leurs hommes s’investissement plus dans l’éducation des enfants, des tâches ménagères et qu’ils respectent plus leur indépendance.
Parfois certaines demandes sont contradictoires rapporte julien : « ma femme veut que je la réconforte et que je la soutienne dans ces initiatives professionnelles. Quand j’essaie de le faire, elle me reproche que je m’y prend mal ».
Dans ces propos, on voit donc que les femmes ont changé, ceux qui obligent donc les hommes à reconsidérer leur position dans la famille. En effet, les liens amoureux ne sont plus codifiés par la famille, la religion ou le statut social. Ces notions sont révolues et les femmes souhaitent surtout plus d’entraide et de soutien car leur travail ne leur permet plus de s’occuper toute seule des tâches de la maison.
Ce changement de mentalité bouscule les hommes dans leur rôle traditionnel de père et les poussent dans leur dernier retranchement.
Aujourd’hui, le couple n’est plus un endroit ou le moi s’efface au service de la famille, bien au contraire, elle doit servir à l’épanouissement personnel de CHACUN.

Alors comment réaliser ce grand écart ?
Pour pourvoir concilier vie de famille et épanouissement individuel, il faut que chaque membre de la famille accepte de perdre un de son confort personnel, sur le plan de l’avoir pour gagner sur le plan de l’être.
Pour cela, il est nécessaire de mettre des limites à ce « moi » et établir un pont à l’image du « pont-levis ». Cette passerelle permet de respecter l’indépendance de chacun en alternance avec des moments d’intimité conjugale. En d’autres termes, de faire coexister le « moi » et le « nous »

Facile à dire, n’est ce pas ? Mais au quotidien, comment s’y prendre pour faire coexister ces deux notions.
Cela se passe évidement par un dialogue sincère entre les deux personnes concernées pour trouver un terrain d’entente.
Au final, chacun doit puiser un certain nombre de satisfaction à côté des contraintes de gestion de la vie conjugale : temps libre pour s’occuper de soi, respect de l’espace personnel etc.
Ensuite, il faut toujours dénouer les points de stress lorsqu’ils apparaissent. Cet état de stress trouve le plus souvent son origine au travail. Il faut donc être très attentif car le stress peut engendrer des conflits et des disputes.
La famille aussi est source de dispute, pour être constructif, le conflit doit rester circonscrit au sujet de départ.
Pensez aussi être attentionné envers votre femme et ne pas hésiter à lui faire des compliments. Cela se passe par des petites surprises de temps en temps et des moments de complicité à deux. Le physique compte aussi beaucoup dans un couple.
L’homme doit donc pouvoir prendre soin de son corps afin de susciter le désir et l’attirance.
Tous ces signes doivent apaiser l’atmosphère à la maison et renouer une bonne relation conjugale avec votre femme.
L’homme idéal ou le prince charmant n’existe pas, celui doit juste essayer d’exprimer ses émotions, savoir séduire, gérer les conflits à la maison, subvenir au besoin de la famille si nécessaire et respecter l’intimité de sa conjointe. »
Source portail conseil

****************************************************************************

 » L’homme doit donc pouvoir prendre soin de son corps afin de susciter le désir et l’attirance. »
Bein oui, les kg en trop, la bedaine , le cheveu rare, les rides, la peau flasque,l’haleine écoeurante,le caleçon fatigué, etc,…Il n’y a que les hypocrites ou les intéressées pour faire croire que cela ne compte pas .
Le drame, c’est que l’on a des YEUX nous aussi…
L’amour, c’est une chose. La sexualité, en est une autre ! Tout comme pour les mecs, elle exige…Le DESIR, l’ATTIRANCE !
Oups, pardon ! J’avais oublié la capacité phénoménale qu’ont beaucoup de femme pour…IMITER l’orgasme; beaucoup plus « vrai » que nature !
Une chance pour elles, qu’on ne voit jamais leur « calme plat »…Il leur suffit de faire semblant! Ce n’est pas grave pour lui: plus elles « geignent », plus il prend son pied ! Mais il est très difficile pour elles de sortir un jour de ce schéma…

Avec un autre, peut-être, en s’interdisant ABSOLUMENT de tricher…A nouveau ?
C’est TELLEMENT…GEANT quand c’est TOUJOURS pour de vrai, pour…ELLES ! 😉

" L’ injure sexiste ? " …

 » Une injure sexiste fonctionne exactement de la même manière qu’une insulte raciste ou antisémite. Elle s’inscrit forcément dans un rapport dominant-dominé. Elle renvoie son objet au seul aspect de son existence qui intéresse le dominant. Dans le cas de l’injure raciste, traiter un Noir de sale nègre, c’est le réduire tout entier au seul aspect de sa personne perceptible par le raciste : la pigmentation de son épiderme. La couleur de sa peau devient opposable à un individu, le déconsidère, l’anéantit aux yeux de son insulteur. A partir de là, le raciste décline à l’infini ce qu’il prétend pouvoir reprocher au Noir, à savoir son infériorité supposée qui justifie l’insulte. La boucle est bouclée.

Imaginons le processus d’insulte au ralenti, à partir du moment de l’impact sur l’insulté-e :
L’insulteur-dominant réduit l’insulté-e à sa différence. La richesse et la complexité de l’insulté-e disparaît. Le Noir est réduit à son épiderme. Cette réduction équivaut à une mutilation. L’insulteur n’a pas à faire preuve d’imagination : il s’appuie tranquillement sur l’idéologie dominante, il se permet de définir l’autre. Première phase, de destruction.
L’insulté est partiellement détruit. L’insulteur se porte comme un charme. Il éprouve même cette certaine qualité de satisfaction propre à qui vient de se défouler sur autrui. Il constate les dégâts sur l’autre, et cette constatation elle même lui sert à justifier sa propre supériorité. Deuxième phase, de justification-confirmation.
Ça roule tout seul. Celui qui est traité de sale juif subit le même traitement. Aux yeux de l’antisémite, le mot juif (même pas sale !) est en soi une insulte. Qui est juif ne saurait être à égalité avec un être humain normal, à savoir un non juif. Il suffit donc d’affirmer le mot juif pour anéantir l’autre. Dans cette galère, le Noir et le juif se retrouvent dans la même situation, à savoir du mauvais côté d’un rapport de domination. Pour leur soulagement, ils bénéficient dans notre beau-pays-champion-du-monde-de-foot-et-des-droits-de-l’homme, des effets d’une loi qui réprime les insultes racistes et antisémites. Ça ne supprime pas le problème, mais ça permet et de le faire reconnaître, et de se défendre.

Venons-en aux injures sexistes, qui ne se basent ni sur la couleur de la peau, ni sur la culture religieuse, mais sur cette partie de l’anatomie qui se situe entre les membres inférieurs. Là encore, nous sommes dans un rapport de domination. C’est même le plus profondément enraciné. Quand on est de surcroit et Noire, et Juive et lesbienne, on n’est pas sortie de l’auberge. Qu’oppose t’on à une femme quand on l’insulte ? On lui oppose le simple fait d’être une femme. C’est à dire, avant tout, de ne pas être un homme.
L’insulte salit et rabaisse celle qui en est l’objet. Elle la réduit toute entière à son sexe et à ses attributs ou fonctions supposés.
L’insulteur, vis à vis des femmes, décline à l’infini le thème maman ou putain. De ’’vas te faire baiser, salope’’ à ’’retourne à tes casseroles, bonniche’’ il fixe la limite du domaine imparti aux femmes. Au passage, en la réduisant à son sexe, en affirmant qu’elle n’est que ça, il confirme une idée chère au sexisme : les femmes n’ont pas de cervelle. Il dit tu n’existes pas, ou plutot tu n’existes que là ou je te laisse exister. Et gare à toi si tu sors du territoire que je définis. L’insulte fait partie intégrante de l’arsenal de la misogynie. Elle en est la première étape. Le stade verbal avancé. Le panel d’insultes spécialement destinées aux femmes est extraordinairement riche dans notre beau langage. C’est qu’on a besoin de beaucoup de ciment pour consolider le mur de mépris qui tient les femmes en place siècle après siècle. Et quand les mots ne suffisent pas, il suffit de passer à l’étape suivante. L’ordre masculin est bien gardé. Les résistantes auront affaire à des violences de moins en moins symboliques. Entre l’inflation verbale et la brutalité physique, le chemin est parfois extrêmement court. Et la violence physique, étape après étape, ne connaît qu’une limite : la mort. Entre ’’salope’’ et le coup ultime qui arrache la vie, il y a certes une énorme différence de degré, mais pas de nature. C’est la logique de la loi du plus fort, qui comme chacun sait, est sinon la meilleure du moins la plus efficace pour qui veut imposer à autrui sa vision du monde.

Quelle est la fonction d’une insulte sexiste ?
La capacité à dominer et contrôler les femmes est la base même de tout système patriarcal, dont le nôtre. Dans ce contexte, une insulte sexiste sert à maintenir l’ordre établi. Une insulte est comme un CRS qui n’a pas encore chargé : il est là pour empêcher de passer. Plus une petite fille comprend tôt la place qui est la sienne, plus elle se soumet aux règles qu’on lui impose, plus elle donne satisfaction au système. Et plus le piège se refermera sur elle. On lui signifie qu’obtenir l’approbation du dominant est la règle de survie numéro un. La fonction de l’insulte c’est de signifier qu’au delà de cette limite on risque un coup de matraque sur les clavicules et un jet de lacrymos dans les narines. Ça calme les plus audacieuses, ça paralyse celles qui suivent.

Quelles sont ses conséquences ?
Evidemment, une femme qui accepte de n’exister que là ou elle est censée exister accepte de vivre en prison. C’est tous les jours, sans arrêt, tout le temps et partout que les femmes sont confrontées à des insultes qui détruisent leur image d’elles mêmes. Ça crée un contexte non pas encore de terreur, mais d’une peur banalisée, d’un contrôle constant de soi même. Etre sûre de soi après un tel traitement relève de l’exploit. Jour après jour les femmes résistent. Mais l’énergie passée en permanence à ne pas se laisser submerger par la déconsidération, c’est autant de force qu’on ne place pas ailleurs, c’est autant d’espace envahi par nos détracteurs.

Heureusement, les rapport dominants dominés ne sont pas des rappports stables. Bien sur il y a le poids de la culture, de la tradition qu’il est difficile de déplacer, mais aucun pouvoir n’est ni acquis ni éternel, il se déplace constamment. »
Source: le bureau des chiennes de garde

*********************************************************************************************

 » Heureusement, les rapport dominants dominés ne sont pas des rappports stables. Bien sur il y a le poids de la culture, de la tradition qu’il est difficile de déplacer, mais aucun pouvoir n’est ni acquis ni éternel, il se déplace constamment.  »

Des « femmes debout », le démontrent tous les jours, à CHAQUE seconde, dans leur sphère d’action respective…

 » Evidemment, une femme qui accepte de n’exister que là ou elle est censée exister accepte de vivre en PRISON. »
Parce qu’elle le vaut bien !

 » tu n’existes que là ou je te laisse exister »
…Ou bien :  » tes articles de blog seront écrits de la manière dont il ME plaît »…

 » Jour après jour DES femmes résistent  » , pendant que d’autres se couchent.
(…Et tous les machos et machas, se cassent les crocs sur « Sambo Nanas » : les insultes PASSENT, mes articles persistent, signent , et…RESTENT ! )

Je ne sais plus qui a écrit:  » L’insulte est par excellence, l’arme des impuissants et des ratés  » …

Dont acte !

" Décidément, les médias sont incorrigibles !"…

 » La semaine dernière, la couverture de l’express affichait le visage d’une des plus importantes ministres de notre gouvernement, Christine Lagarde, Ministre des finances, avec ce titre « Potiche ou fortiche ? »
Et voilà que le Monde d’aujourd’hui offre à ses lecteurs un titre qui devait être écrit avant le départ de son envoyé spécial : « Comment Ségolène Royal ensorcelle ses alliés en ses terres de Poitou-Charentes ».
Une potiche, une sorcière… Voilà comment les médias remettent les femmes à « leur » place, lorsqu’elles ont le culot de vouloir s’installer au sommet du mâle pouvoir. De quoi couper court aux vocations paritaires ! Y a-t-il un équivalent masculin à potiche ou ensorceleuse ?

Ce qu’a écrit Marie-Joseph Bertini, dans « Femmes, le pouvoir impossible » (ed Pauvert) est toujours vrai. Les médias sont « prescripteurs de mythes » explique-t-elle. Elle dénonce le véritable « apartheid linguistique » qui entrave le « processus d’émancipation » des femmes. Et démontre que les mythes assurent « l’incapacité fondatrice » des femmes. Dès qu’une femme s’engage, défend des idées avec force et un certain talent, les médias la qualifient immédiatement de passionaria. La passionaria agirait par passion et non pas par raison. Elle serait forcément sous influence et dénuée de rationalité. Quel est le masculin de passionaria ? Ça n’existe pas. Et pour cause. Ceux qui ont écrit l’histoire nous ont appris à penser que l’homme agit avec raison. Ils n’ont pas prévu de mot pour masculiniser passionaria. Avec un mot, un seul, Passionaria, des valeurs morales honorables d’engagement et de respect de la parole donnée se transforment en défauts rédhibitoires. Et l’association femme et pouvoir reste incongrue.  »
22 décembre 2009
Source du rose dans le gris

*********************************************************************************************

 » Avec un mot, un seul, Passionaria, des valeurs morales honorables d’engagement et de respect de la parole donnée se transforment en défauts rédhibitoires. Et l’association femme et pouvoir reste incongrue.  »

Associer « FEMME » et pouvoir, femme et dignité, femme et intelligence, etc, est rédhibitoire pour DES mecs, qui ne leur reconnaissent qu’une valeur…sexuelle, et ne plébiscitent que l’association femme et…pénis !

" L’érotomanie, c’est quoi ?"…

 » Ce trouble touche surtout les femmes et repose sur une illusion délirante : elles sont persuadées d’être aimées et harcèlent l’homme sur lequel elles ont jeté leur dévolu.

Cette maladie touche en grande majorité des femmes et « l’objet de l’érotomanie » est en général un homme au statut social élevé. La femme érotomane est d’abord persuadée que c’est l’autre qui l’aime en secret, mais qu’il n’ose pas ou ne peut pas se déclarer. Sur cette illusion première se construisent les trois phases caractéristiques d’espoir, de dépit et de rancune.
L’érotomane cherche à entrer en contact avec son « objet », persuadée que c’est lui qui le souhaite. Elle lui téléphone, lui envoie des messages, le suit, s’immisce peu à peu dans sa vie en se rendant à son domicile et en tentant de pénétrer dans son intimité.

Des délires Paranoiaques
Cette maladie peut alors devenir inquiétante car, au cours des deux dernières phases, la personne érotomane peut s’attaquer à cet homme ou à son entourage. Mais, le plus souvent, elle s’en prend à elle-même, et les tentatives de suicide sont plus fréquentes que les agressions. L’érotomanie est l’une des formes que peut prendre le délire paranoïaque.
Elle en possède les caractéristiques : « Le malade interprète des faits de façon erronée par exemple, « Le présentateur du journal télévisé a remis son nœud de cravate pendant qu’il parlait, c’est un signe qu’il m’adresse » – mais très élaborée et logique », explique un specialiste en psychiatrie. Il n’y a pas non plus de critique, c’est-à-dire que la personne ne reconnaît pas son délire, elle est persuadée de la véracité de sa conviction.

La souffrance dû à l’érotomanie
Contrairement à la nymphomanie, la sexualité n’est pas le sujet essentiel de l’érotomanie. Il s’agit de l’illusion délirante d’être aimé, mais cela ne ressemble en rien au désir amoureux ni même à la passion amoureuse. Cette illusion et tout ce qui en découle provoquent une souffrance chez celui qui en est la victime. Il culpabilise, se demande en quoi il est responsable de ce qui arrive et n’ose pas trop en parler. Son entourage peut en effet avoir du mal à croire que toutes ces attentions ont commencé sans avoir été encouragées.

Quel traitement ?
L’érotomanie est une maladie rare, dont les causes sont inconnues. Elle est très longue et délicate à traiter. Une fois que la patiente a été reçue en consultation psychiatrique, et en fonction du degré de son trouble, le traitement peut aller des mesures les plus légères (consultations régulières) aux plus coercitives : souce hospitalisation sous contrainte, avec sortie progressive très encadrée.  »
Source portail conseil.

*******************************************************************************************

Si, si, ça existe: au moins deux cas avérés l’année dernière sur blog.fr

Le pauvre homme a du son salut…A la fuite !!!

Il a pu ainsi échapper au pire :yes: (Hahaha !)

PS- Je l’embrasse affectueusement: il avait l’air si…Désemparé par ce qui lui tombait dessus ! J’espère que son adorable épouse et ses petits ont réussi à lui faire oublier rapidement cette galère…

" Destins de femmes d’ici ou d’ailleurs "…

 » Dans notre tour du monde 2009 nous avons été particulièrement touchés par la situation de nombreuses petites filles que nous avons croisées, et ce même dans des pays où les femmes étaient au pouvoir.
Des situations que nous n’avons pas manqué d’évoquer dans nos articles, et qui sont devenues pour nous inacceptables.

Il y a eu ce que nous avons vu, ce que nous avons entendu, puis ce que nous avons lu.
En ce sens, un rapport de l’ONU dénonce la situation préoccupante des filles dans le monde :

« Parce que des êtres humains naissent filles, ils sont victimes par MILLIONS :

*De fœticide,

*D’infanticide ou de mortalité infantile douteuse,

*De malnutrition,

*D’illettrisme,

*De déscolarisation pour rejoindre le monde du travail,

*De mariage précoce (avant l’âge de 12 ans) même si la législation internationale l’interdit,

*De commerce sexuel,

*De viol,

*D’avortement (avant l’âge de 15 ans) dans des conditions insalubres,

*Du SIDA,

*D’excision,

*D’esclavagisme, etc…

Des pratiques qui concernent l’Asie, l’Afrique, l’Amérique latine, mais également le reste du monde en raison des mouvements migratoires.

Et ces pratiques entraînent actuellement des actes de violence sexiste jusque dans nos cours de récréation françaises, pays des « Droits de l’Homme ».

En 2010, nous avons donc décidé de réaliser des reportages éducatifs, qui seront diffusés en premier lieu dans les écoles, puis au cours de manifestations.

Parce que les enfants d’aujourd’hui seront les adultes de demain, nous devons leur transmettre des valeurs d’équité et d’égalité.

Aidez nous à réaliser ce projet, Devenez membre de l’association !  »
Source destinsdefemmes.org

*********************************************************************************************

 » Parce que les enfants d’aujourd’hui seront les adultes de demain, nous devons leur transmettre des valeurs d’équité et d’égalité. »

…Et aux adultes(mâles et femelles), d’aujourd’hui, SEXISTES, MACHISTES et MISOGYNES, on leur « transmet » QUOI, au juste ?

RIEN, il est déjà trop tard !

… Pourquoi rouscailler, CHAQUE jour, alors ?

Pour que des « assasinées », ne « meurent » pas une seconde fois…

Les ségas de l’Océan Indien: Qu’es aquò ?

( vidéo: malagasy music). Avec le « pain de sucre » de Diego Suarez en arrière plan.

[ A l’île Maurice, le séga est combiné au reggae pour donner le  » seggae « . A la Réunion, il est teinté de maloya, le style local. Aux Comores, il est mêlé au twaarab (ou taarab), la musique prédominante. On le retrouve aussi à Madagascar qui développe dans les années 1970 le vaqu’jazz, fusion de séga et de jazz. La Grande Ile joue un rôle de pôle dans la région par la richesse de son histoire musicale marquée par Rakoto Frah, grand maître de la flûte en bambou sodina qu’il enseigne depuis les années 1940. Spécialiste des rythmes de l’île dont le folk joué avec flûte et tambour, cet autodidacte très populaire qui a fait des jams avec des artistes de renom comme Myriam Makeba et Manu Dibango est décèdé en 2001 à l’âge de soixante dix huit ans.

Dès le début du 20° siècle, le Madagascar est traversé par différents genres musicaux :  » l’hiragasy  » ou théâtre chanté (1920), le  » saova « , sorte de gospel (1930/1940), le style  » opérette  » incerné par Ludger (1950/1960) et le  » bagasy  » ou  » guitare bagasy  » (1950), une transposition à la guitare du jeu de valiha ou vali (instrument à cordes en bambou typique du pays). D’autres styles sont développés dans le pays :  » watcha watcha  » sigaoma,  » bassesa »,  » malesa « .

En 1959, un nouveau concept musical est né : le  » salegy  » (prononcer  » salègue « ). Initié par l’Association Folklorique de la Côte Est dont font partie Elisabeth Raliza (chanteuse) et François Leboto (compositeur), les créateurs de Viavy Rose, le premier tube du genre, le salegy devient vite un courant fédérateur de l’île. Dérivé de rythmes locaux ( » bassesa « ,  » tsapika « ) et d’importation ( » séga « ,  » rumba  » congolaise,  » kwela  » sud-africaine), le  » salegy  » est popularisé dans les années 1960 par Freddy Ranarison (photo ci-dessus) avec sa reprise plus rythmée de Viavy Rose. Il est internationalisé dans les années 1980 par les chanteurs Eusèbe Jaojoby et Mily Clément, les joueurs de valiha, Rajery et Justin Vali, et l’accordéoniste Régis Gizavo. Quant à Maky Rasta installé à la Réunion, il fusionne le salegy au séga et au reggae. Parallèlement, d’autres courants sont explorés. Dama lance dans les années 1970 le tendry gasy ou folk malgache adopté par D’Gary (guitariste), Jean Emilien (harmoniciste) et Tarika Sammy, un groupe qui va se séparer plus tard.

Dans les années 1990, la petite Hanitra (auteur, compositrice, chanteuse, percussionniste et joueuse de tama ou talking drum) connaît un large succès avec son nouveau groupe Tarika. Eclectique, la formation mâtine les sonorités malgaches aux diverses musiques occidentales (blues, jazz, funk, rock, pop) ou africaines (mbalax du Sénégal dans Son Egal). D’autres femmes se sont révélées cette dernière décennie au sein de groupes non moins originaux : Lucie, Annie, Eliane et Monique( groupe Mavana)un quartet a capella, naviguent aussi bien dans les traditions malgaches et africaines que le gospel et le blues. Le trio Tiharea, composé de trois soeurs se produit parfois avec les chanteurs du groupe Senge. Elles valorisent, tout comme le trio masculin Salala, le chant  » antandroy « , évoquant les cérémonies traditionnelles et le quotidien des femmes du pays. Quant au groupe Dillie fondé en 1990, il est composé de trois filles et d’un garçon : Hely (guitare), Sandy (batterie), Annick (chant, guitare) et Andry (drums). C’est une des rares formations à se spécialiser dans le rock pur et dur.

Depuis les années 1980, le musicien, réalisateur et historien Vahombey dit  » l’intellectuel  » prône le rokaroka, un style rock’n roots tandis que le producteur Solorazaf, guitariste expert et attitré de Myriam Makeba, nous fait découvrir par la finesse de son doigté et ses lignes de guitare éblouissantes toutes les facettes des musiques malgaches (3 rayons de pluie…). Autres guitaristes virtuoses, Eric Manana, Colbert et Benny qui explorent les diverses formes de musiques des hauts plateaux et le  » bagasy « . Le jazz fusion est représenté par Solomiral et Toty. Chez les joueurs de kabossy, cette petite guitare typique de Madagascar, Rossy (accordéoniste, chanteur) et Tao Ravao s’imposent sur la scène internationale. Auteur, compositeur, chanteur, guitariste et joueur de vali, Tao Ravao a bourlingué avec l’harmoniciste Andy J. Forest et Homesick James, tous deux Américains. Sa rencontre avec l’harmoniciste français Vincent Bucher en 1978 signe un nouveau tournant dans sa carrière. Le duo s’oriente vers un folk – salegy – blues inédit et écume toutes les salles d’Europe. A la fin des années 1980, c’est le retour aux sources. Tao Ravao collabore comme producteur ou directeur musical avec des compatriotes tels que Justin Vali, Jean Emilien, Senge, D’Gary ou encore Rajery.

En 1997, un nouveau projet musical voit le jour. Au duo Tao Ravao et Vincent Bucher, s’ajoute le pianiste – percussionniste Karim Touré : Tany Manga est né. Ce trio auquel s’ajoutent le bassiste Henry Dorina et la chanteuse Nivo développent une fusion salegy / guitare bagasy / pop, un style festif révélé dans l’album Soa paru chez Marabi, le nouveau label de Wendo Kalosoy (Amba), Bembeya Jazz (Bembeya) et Boubacar Traoré  » Kar Kar  » (Je chanterai pour toi). Créé en mai 2002 par Christian Mousset (ex Indigo) à Angoulême, la ville du Festival Musiques Métisses, Marabi (nom donné au jazz sud-africain) privilégie les jeunes artistes en développement de carrière et les grandes figures du patrimoine à l’image de la ligne éditoriale du festival. ]
Source : Madazik’art, portail de la musique et de l’art malagasy vous souhaite la bienvenue: Tonga soa tompoko!

http://www.dailymotion.com/swf/x1bbrr
Mahe: Sega Dombolo
by rajefra

Jeu de rôle…Vite interrompu !

« Expérience de La prison », de l’université de Stanford

Cette expérience est revenue sur le devant de la scène avec les évènements récents d’Abu Ghraib (torture de prisonniers irakiens par des soldats américains).

Elle est le fait de Philip Zimbardo qui a divisé arbitrairement deux groupes d’étudiants de l’université de Stanford pour un jeu de rôle : un groupe de prisonniers et un groupe de gardiens.

L’expérience a dû être vite interrompue car les « jeux » tournaient à l’humiliation et pratiquement à la torture.

Cette expérience marquante a eu le mérite de montrer que le mal est en chacun de nous et ne demande qu’un environnement favorable pour que les pulsions se concrétisent. »
Source MaxiSciences

*******************************************************************************************

 » le mal est en chacun de nous »

Sans aucun doute…

Malgré les dénégations de ceux et celles qui endossent les oripeaux du brave type ou de la nana tellement sympa…( Les pires parce qu’on ne se méfie pas d’eux.)

Juste :  » un environnement favorable pour que les pulsions se concrétisent  » .

…Sur blog.fr aussi ?