" Système de castes et nanas indiennes ? Certaines se convertissent pour échapper à l’oppression…en pure perte!

Système de caste ou religions ? « Tu* crèves » quand même ! (*Les nanas)

 » Urvashi Butalia (Journaliste et écrivain féministe auteure de « Brève histoire du mouvement féminin indien »)

« Ça m’intéresse : Le système des castes est interdit depuis des décennies, pourtant il perdure….A qui profite ces discriminations ?

UB : pas aux femmes en tout cas. La survie des castes reposent sur elles, plus précisément sur leurs fonctions reproductrices. Selon la tradition, une femme doit se marier à l’intérieur de sa caste pour que ses enfants soient purs…

C M : certaines femmes ont choisi de se convertir à l’islam ou au christianisme, qu’en pensez-vous ?

UB : c’est un leurre ! C’est vrai , par le passé certaines femmes ont choisi de se convertir dans l’unique but d’échapper à l’oppression. En Inde, tout le monde connaît l’histoire de Ramabai : cette femme du XIX e siècle était si érudite qu’on lui avait donné le titre honorifique de Pandita. Un jour, elle épousa un homme d’une caste inférieure à la sienne. La réaction de la communauté hindoue fut si violente que Ramabai dut embrasser la foi chrétienne pour lui échapper. Mais dans les faits, les conversions n’ont pas délivré les femmes de l’ostracisme sexiste, bien au contraire ! la conversion soulage les hommes pauvres, mais pas les femmes. L’islam cultive lui aussi cette discrimination.
Toutes les religions le font.»

Source : documents divers sur l’Inde fournis par le… loueur de voiture !

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Toutes les religions et beaucoup trop de sociétés pratiquent la discrimination envers les femmes !

Pas UNE pour sauver l’autre !

Et dire que ce sont des…femmes(!) qui en sont les fidèles et dévouées courroies de transmission!

Une Indienne (Inde) qui a dit non à un pilleur sans scrupules américain !

margousier[1]

« Le Neem ou margousier (Lilas des Indes), est un arbre réputé pour ses propriétés antivirales, antifongiques, antiseptiques, cosmétiques et insecticides.En Inde où son utilisation est ancienne, on l’appelle la « pharmacie du village ».
Mais depuis 1990 les Indiens n’avaient plus le droit de se servir des graines, de l’écorce, des feuilles et des racines.
Une multinationale américaine la WH Grace, avait en effet déposé une série de brevetts sur les « mixtures », faites à partir d’extraits de neem.
En 1995, des écologistes de la scène internationale menée par la scientifique Vandana Shiva, ont déposé un recours en annulation auprès de l’Office Européen de Brevets (EPO).
5 ans plus tard, celui-ci a enfin annulé la validité des brevets litigieux. »

Source GEO N°176 page 137

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Il FAUT toujours se battre pour SES droits !

Joyeux… Noël ( hahaha !) à tous !

Noël 2012 à Bangalore

Hier, vous étiez 200 visiteurs à consulter 246 pages et moi absente depuis 4 jours 😉

En fait, je n’ai pas réussi à poster des articles parce que le débit Internet des hôtels ne le permettait pas !

Cela risquera de se reproduire :##

Bref « Mieux vaut tard que jamais », dit le proverbe !

Et merci beaucoup pour votre fidélité, qui me fait chaud au coeur !

Bangalore et moi ?

(Pointez souris pour légendes)

Bombay-Bangalore-Madras-Pondichéry-Madurai-Cochin- Mysorei-Goa-

Petit logement sympa à l'arrivée

Désolée de vous avoir raté(e)s [ Une pensée spéciale pour mes copines Pierre et Denis ;)]

Vous étiez 200 à consulter 275 pages et…j’étais absente: je jouais à la fille de l’air

Je vous souhaite ce matin, un peu embrumée par une nuit de 2 heures seulement, bienvenue en Inde du Sud !

Il est midi moins cinq ici. Je vais faire un gros dodo, après une petite bouffe végétarienne, épicée…

" Certains veulent la peine de mort pour les violeurs" …. Castrés et émasculés d’abord ?

… » Inde: nouvelle manifestation anti-viol, mort d’un journaliste

Certains veulent la peine de mort pour les violeurs. Les agressions sexuelles sont fréquentes en ville dans ce pays. Et de plus en plus de voix s‘élèvent pour que les pouvoirs publics agissent..

…d’après le Hindustan Times. Elle a confirmé que six hommes l’avaient violé tour à tour dans un bus avant d‘être battue à coups de barres de fer et jetée hors du véhicule avec son ami qui a été tabassé.

Selon la police, dans le nord-est de l’Inde, à Imphal, capitale de l’Etat du Manipur, un journaliste de télévision a été tué par balle après que les forces de l’ordre ont ouvert le feu sur des manifestants venus soutenir une actrice victime de violences sexuelles. » (Extraits)

Avec AFP et Reuters

http://fr.euronews.com/2012/12/23/inde-nouvelle-manifestation-anti-viol-mort-d-un-journaliste/

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« Certains veulent la peine de mort pour les violeurs. »

Castrés et émasculés, d’abord ?

Pour être absolument sûrs qu’ils ne recommenceront plus jamais .

Ça me fout les boules, aussi ! Les mentalités mâles et… femelles font de la résistance !

Par Elise Forestier:

… » Parce qu’il y a fort à parier que, dans la nuit du 24 décembre, le père Noël visiblement resté à l’écart des conquêtes féministes déposera à Poupette – au choix ou en même temps – un fer à repasser, une mini –cuisinière (Téfal, comme maman !), une caisse enregistreuse, un nourrisson qui braille et une tête à coiffer.

La promesse d’un avenir glorieux entièrement dévoué aux taches ménagères. Pour Loulou d’amour, le vieux barbu en rouge extirpera de sa hotte un super-héros bodybuildé, un pistolet laser, une voiture de course et peut-être même une panoplie de petit chimiste à faire exploser dans la cuisine. Des jeux virils mettant en scène la violence et la compétition »…(Extraits)

Lire en entier http://www.marianne.net/Le-pere-noel-est-une-ordure-sexiste-_a225316.html

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Ça me fout les boules, aussi :##

Saleté de société !

Saleté de mentalités !

On a beau changer des lois

Les mentalités résistent

Celles des nanas y compris !

Une nana "chef craint et admiré d’un gang de plus de 20 000 femmes" ? Sampat Pal Devi !!!

« …le lendemain, elle parvint à convaincre un groupe de femmes de son village d’exercer vengeance. Ensemble, elles attaquèrent l’homme, le battirent « jusqu’à ce qu’il soit noir et bleu » et accepte de s’excuser publiquement de ses actions ».

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(Passionnant)

[ Les justicières de l’Uttar Pradesh Auteure :Helene Lecuyer

On ne peut pas s’empêcher de la trouver sympathique, avec sa gouaille, son caractère peu commode et son laathi porté hardiment sur l’épaule. (Le laathi, c’est le long bâton de bois qu’utilisent ici les policiers pour maîtriser les foules).

Sampat Pal Devi est née dans le district de Banda, dans l’Uttar Pradesh, une des régions d’Inde les plus reculées, les plus pauvres, les plus féodales. Là-bas, les femmes sont mariées alors qu’elles sont encore des enfants et savent tout juste écrire leur nom. Fille de berger, mariée à 12 ans à un vendeur de glace, mère à 15 ans, Sampat Pal Devi aura 5 enfants. Après la naissance de ses deux premières filles, elle aurait voulu se faire ligaturer les trompes. Sa belle-mère a refusé, exigeant que Devi essaie, encore et encore, jusqu’à donner naissance à un garçon.

Sampat Pal Devi avoue en gloussant qu’elle n’a jamais été très soumise: formant des lettres à la craie sur les murs ou du doigt dans la poussière, alors que ses parents avaient refusé de l’envoyer à l’école. S’exprimant à visage découvert devant les étrangers, alors que la tradition aurait voulu qu’elle rabatte modestement le pan de son sari sur son visage et reste muette.

C’est en 2006 que son existence a pris le tournant qui l’a menée à ce qu’elle est aujourd’hui: le chef craint et admiré d’un gang de plus de 20 000 femmes; l’héroïne de deux films, un documentaire présenté aux Oscars et un long-métrage à paraître durant la semaine de la femme, en mars 2013; l’invitée, cette année, de la plus grande émission de TV-réalité indienne: Big Boss.

Alors qu’elle était témoin, pour la énième fois, d’une séance de coups assénés par un voisin à sa femme, elle ne put s’empêcher intervenir: « pourquoi ne vois-tu pas que ta femme est un être humain, tout comme toi ? » Devi raconte que loin de s’arrêter, le voisin continua de battre sa femme, tout en l’insultant, elle, pour s’être mêlée de ce qui ne la regardait pas. Elle rumina sa rage rentrée toute la nuit, et le lendemain, parvint à convaincre un groupe de femmes de son village d’exercer vengeance. Ensemble, elles attaquèrent l’homme, le battirent « jusqu’à ce qu’il soit noir et bleu » et accepte de s’excuser publiquement de ses actions. Après ce coup de colère, ce coup d’éclat, les demandes affluèrent des villages alentours, provenant de femmes elles aussi battues par leur mari et demandant à Sampat Pal Devi de les protéger. Jusqu’à ce que les femmes autour de moi deviennent assez fortes pour défendre leurs droits, je ne cesserai de me battre pour elles, déclare-t-elle dans une interview accordée en 2010.

Sampat Pal Devi prend les affaires des femmes en main: violences domestiques, harcèlement à la dot, mariage des enfants, elle débarque dans les villages avec ses troupes des femmes habillées de saris rose fluo et armées de laathis pour rétablir la justice. Notre force réside dans notre nombre. Elle intervient dans les affaires de corruption, lorsque les employés des services publics exigent des pots-de-vin, voire des faveurs sexuelles en échange de l’électricité, de quelques heures de travail – dans les campagnes indiennes, le gouvernement offre aux fermiers des travaux d’utilité publique rémunérés pour les aider à arrondir leurs fins de mois. En 2008, dans une action très médiatisée, elle et 400 de ses compagnes avaient pris d’assaut le bureau local de la compagnie d’électricité, pour forcer cette dernière à rétablir le courant, coupé depuis 15 jours.

Pendant ce temps, à Delhi, à Bombay, à Bangalore, à Chennai, dans toutes les grandes mégalopoles indiennes, les classes moyennes sont en émoi. Une étudiante qui attendait son bus après une soirée passée au cinéma a été sauvagement violée par six hommes dans ce même bus, lequel a continué à rouler dans les banlieues résidentielles de Delhi, tandis que l’ami qui l’accompagnait et avait tenté de la défendre était battu à coups de barre de fer. L’épisode est bien évidemment horrible, révoltant d’autant plus que l’on sait que les viols sont très fréquents en Inde, et tout particulièrement dans le Nord de l’Inde et à Delhi, surnommée « la capitale du viol » et que lorsque les victimes parviennent à dépasser la peur de la stigmatisation, trop souvent elles trouvent un accueil peu compatissant dans les stations de police – c’est le fameux: Que faisait-elle dehors à cette heure-là ? et le: Elle l’a bien cherché, habillée comme elle l’était. Qu’on sait encore que le taux de condamnation reste extrêmement bas, inférieur à 30% alors que trop souvent le système judiciaire dans son ensemble estime que s’il n’y a pas trace de combats – coups de griffe, bleus – c’est qu’il n’y a pas eu viol.

La classe moyenne s’indigne. Elle tweete. Elle poste sur Facebook. Elle fait circuler des SMS . Elle organise des veillées aux chandelles. Elle lance des pétitions: « la peine de mort pour les violeurs » (le viol en Inde encourt une peine maximale d’emprisonnement à vie), elle propose une journée « d’inaction » pour les femmes, le 26 décembre: ce jour-là, ne sortez pas de chez vous, n’allez pas travailler, ne vous occupez pas de vos enfants, ne cuisinez pas. Elle resserre ses rangs ponctuellement et sporadiquement, comme elle le fait chaque fois que ses membres sont touchés.

Tandis que Sampat Pal Devi organise, pour défendre la cause des femmes, des cours de maniement du laathi et inflige elle-même les châtiments, la classe moyenne réclame, pour l’étudiante de 23 ans violée à Delhi, une justice rapide: une castration, une pendaison publique, une balle dans la tête, peut-on lire, entre autre sur Twitter ou dans les journaux à l’appel de stars de Bollywood ou autres figures publiques.

Le viol, rampant en Inde, serait-il découragé si les peines encourues par les violeurs étaient plus drastiques ? Les violeurs seraient-ils moins nombreux s’ils n’étaient pas titillés par la lascivité des danses de Bollywood ? Violeraient-ils moins s’ils n’étaient pas si frustrés sexuellement, comme semble le penser Om Prakash Chautala, homme politique de l’état de l’Haryana qui recommande d’abaisser l’âge du mariage pour offrir un exutoire à toutes ces hormones mâles ?

Personnellement, je ne le pense pas.

Ce que je crois, c’est que ce qui s’est passé à Delhi est lié à ce qui se passe chaque jour, dans les villages de l’Uttar Pradesh, où pour reprendre les termes de Sampat Pal Devi, la société est contre les femmes, elle refuse de les nommer, de les éduquer, elle les marie trop jeunes et les troque pour de l’argent. Et que c’est de volonté et d’action politique dont il est besoin en Inde, pour que les femmes en saris roses n’aient plus besoin de prendre la justice entre les mains.

Le Ministre de l’Intérieur de l’Union Indienne quant à lui vient d’annoncer une mesure immédiate pour lutter contre les viols: les vitres teintées seront désormais interdites pour les autobus et ils devront circuler lumières allumées pendant la nuit.

Il y a une dizaine de jours, j’ai eu l’occasion de rencontrer Rakesh Maria, le chef de la brigade anti-terroriste de Bombay. Il expliquait que depuis les attentats de 2008, ses équipes essayaient de prévoir l’imprévisible. Je veux croire que dans sa lutte contre le terrorisme, l’Etat Indien voit un peu plus large que Sushilkumar dans sa lutte contre le viol. Et que bientôt, il verra que forcer une femme, c’est plus qu’une question d’occasion ou même de frustration. Le parking souterrain peut remplacer avantageusement le bus. La silhouette d’une femme qui se penche pour remplir une bassine au point d’eau peut être aussi excitante que celle d’une danseuse de Bollywood qui tournoie autour d’un tronc d’arbre.

Lorsque dans les villages de l’Uttar Pradesh, le mariage ne sera plus perçu par les hommes comme une façon d’acheter le corps des femmes pour en faire ce que bon leur semble, peut-être que dans les rues de Delhi, les hommes cesseront de penser que les corps des femmes qu’ils croisent sont à prendre .

Et pour entendre Devi déclarer dans le texte, qu’elle et Gandhi, ils n’ont pas le même style » …]

http://helenelecuyer.unblog.fr/2012/12/20/des-bus-de-delhi-aux-champs-de-luttar-pradesh/

Transmis par Pierre( Merci! )

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Wouhaaaa !

Savoir qu’une nana comme Sampat Pal Devi existe, devrait donner de la fierté et de l’espoir à toutes les femmes mal traitées ou pas, de la Terre

Pourquoi pas d’autres nanas comme elle, aux quatre coins de la planète:

« Tandis que Sampat Pal Devi organise, pour défendre la cause des femmes, des cours de maniement du laathi et inflige elle-même les châtiments, la classe moyenne réclame, pour l’étudiante de 23 ans violée à Delhi, une justice rapide: une castration, une pendaison publique, une balle dans la tête, peut-on lire, entre autre sur Twitter ou dans les journaux à l’appel de stars de Bollywood ou autres figures publiques ».

 » Notre force réside dans notre nombre » !

Hé oui ! Sur blog.fr on en est encore aux insultes et au soutien ouvertement actif (com), concernant des saloperies d’individus mâles et femelles envers des articles dénonçant le mauvais sort des femmes dans le monde !

Il faut de « tout » pour faire un monde dit-on: le pire aussi, apparemment!

« Elle rumina sa rage rentrée toute la nuit, et le lendemain, parvint à convaincre un groupe de femmes de son village d’exercer vengeance. Ensemble, elles attaquèrent l’homme, le battirent « jusqu’à ce qu’il soit noir et bleu « …

Longue vie à Sampat Pal Devi !!!

Drôles de dames : "Émasculations vengeresses en Thaïlande "

[« SOCIÉTÉ – Émasculations vengeresses en Thaïlande : les facteurs à risques

La propension castratrice des épouses ou concubines siamoises fait régulièrement les délices de médias concupiscents, mais c’est cette fois le respectable journal britannique Guardian qui revient sur un péril bien connu. Entre 1970 et 1983, une centaine d’ablations du pénis ont été répertoriées en Thaïlande par l’université d’Hawaï si bien que des équipes de chirurgiens thaïlandais, comme celle de l’hôpital Siriraj de Bangkok, ont acquis une réputation mondiale pour la réimplantation des précieux organes. Et un article publié par des chercheurs du Medical College of Georgia s’efforce d’identifier les facteurs ayant provoqué l’acte vengeur sur la base d’études cliniques. Ils soulignent trois faits récurrents dans la semaine précédant les faits : des difficultés financières, l’absorption d’alcool ou de drogue par le mari avant l’amputation et l’humiliation publique de la compagne outragée par la présence d’une maîtresse. Si la Thaïlande est devenue un lieu privilégié pour l’étude de cette pathologie, elle ne détient pas le monopole d’une pratique institutionnalisée dans la Chine ancienne et qui sévit encore dans toute l’Asie. C’est l’effet de mode si prégnant dans le royaume qui semble lui conférer un relief tout particulier. « L’épidémie s’est développée, car les femmes s’encouragent publiquement et incitent leurs soeurs bafouées à agir ainsi « , écrivent des chercheurs de la Washington University de St Louis. Le caractère extrême de la punition ferait écho à la colossale injustice vécue par les femmes dans une société qui peine à évoluer. « Les femmes thaïlandaises sont profondément frustrées par leur position dans une société dominée par les hommes » indique Siriporn Skrobawek, directrice de laFoundation for Women de Bangkok. Avant de conclure: « elles n’ont guère d’autre choix que de recourir à des mesures draconiennes et cela suscite ici quelques sympathies ».
E.D. (http://www.lepetitjournal.com/bangkok.html) mardi 27 novembre 2012]

Article transmis par CYRANO017

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« Les femmes thaïlandaises sont profondément frustrées par leur position dans une société dominée par les hommes » indique Siriporn Skrobawek, directrice de laFoundation for Women de Bangkok. Avant de conclure: « elles n’ont guère d’autre choix que de recourir à des mesures draconiennes et cela suscite ici quelques sympathies ».

Dont acte 😉

A acte barbare réponse barbare…dé-fi-ni-tive ?

Des mères immondes !

 » Une maman brûle le pénis de son fils avec un fer à friser et beaucoup plus!

Voici un autre cas d’un parent qui n’aurait jamais dû avoir la chance de le devenir.

Une femme est accusée de comportement sexuel avec un mineur – son fils adoptif de 10 ans.

Selon la police, la victime leur a dit que sa mère âgée de 39 ans lui liait les mains et les pieds, et et introduisait de force des excréments de chiens dans sa bouche …

La victime a ajouté qu’elle a brûlé son pénis avec un briquet, puis l’a sodomisé à plusieurs reprises avec une brosse à dents. »(Traduction non exhaustive de google)

Voici le rapport.
http://urbanchat.com/news_article_readmore.php?nid=7097

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Un autre lien: http://www.kaieteurnewsonline.com/2011/11/03/boys-burnt-on-penis-buttocks/

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Et un autre:
http://www.blackmediascoop.com/2011/09/13/mom-burns-sons-penis-with-iron-makes-him-eat-dog-poop/

Articles transmis par CYRANO017 voir ci-contre en anglais

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Ce n’est pas plus horrible parce que perpétré par une femme (la « saloperie » est un cancer partagé par les deux sexes!)

Mais parce que c’est exécuté par une… « mère » !