Pour l’homme, l’amour, c’est le sexe. Pas pour la femme." (Lucy Vincent, neurobiologiste).

L’Express N° 3020 de Mai 2009.

« La passion dure 30 mois:

L’amour dure-t-il vraimenent trois ans, comme le proclame F. Beigbeder dans un de ses ouvrages ?
Pour Lucy Vincent , la réponse ne fait guère de doute: oui,  » nous sommes génétiquements programmés pour rester ensemble une trentaine de mois environ », constate l’auteure de « La Formule du désir » ( Albin Michel).
Pourquoi cette durée? Parce que , depuis les temps préhistoriques, c’est la période nécessaire pour concevoir un enfant et l’allaiter…

…Une éjaculation de quelques secondes pour neuf mois de grossesse. Si la femme est sûre à 100% que son enfant est bien le sien, l’homme, lui, n’aura jamais semblable garantie. Voilà pourquoi sur le plan biologique, « il » ne supporte pas le moindre écart sexuel, tandis que « elle », pourra parfois s’en accomoder.

En résumé « pour l’homme l’amour c’est le sexe, pour la femme, c’est le contraire »…

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S’ « il » n’avait pas kidnappé le ventre de la femme , à son seul profit*, par des lois injustes, tout cela n’aurait pas lieu d’être : logiquement, le petit « appartient »…au ventre qui l’a fabriqué ET mis au monde!

* Depuis récemment, « il » ne peut plus coller systématiquement, son nom sur un enfant qui souvent…n’a RIEN à voir avec SES propres gènes!!!
Mais, en cas de litiges entre les deux parents, l’enfant portera toujours le nom…du père : pas folle la loi!

Fières d’être des : " Putes ,des salopes, des chaudasses, des chiennes, des truies"… C’est à dire fières de disposer de NOTRE sexe, comme NOUS l’entendons : nous le valons bien!

Origin-of-the-World

L’Express n°3020 de Mai 2009.

« Maîtresse du lieutenant, jamais!
Les femmes acceptent de moins en moins d’être « celle qui attend », et qui devient folle de désespoir par amour pour un homme marié et peu disponible…raconte Cécile 40 ans tout juste divorcée…Volodia est marié… « Je ne voulais pas m’embarquer dans une histoire déséquilibrée », avec lui…Elle lui propose de passer un week-end-un seul-, ensemble à Istanbul; ensuite ils ne se reverront plus jamais.
Volodia accepte, un peu dérouté quand même par ce « comportement masculin »…

A en juger par les dialogues qui fleurissent sur Meetic ou MSN, ce refus de la condition de « backstreet » devient de plus en plus courant dans l’Hexagone, et reflète un rééquilibrage des rapports amoureux  »
C.V.

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« Elles cherchent ailleurs le romantisme disparu:
Thierry , 32 ans :  » J’ai eu une petite aventure de rien du tout avec une collaboratrice et ma copine l’a appris par un collègue…
Elle m’a fait un peu la gueule, mais surtout elle s’est consolée sur internet auprès d’un gentil garçon, attentif…tellement qu’elle a fini par coucher avec lui. Je l’ai vite su en fouillant dans son ordinateur. J’ai cru devenir fou, j’ai tout cassé à la maison. Nous avons mis du temps à nous en remettre. »

Lucia Etxebaria, écrivaine espagnole:  » Pourquoi notre culture considère-t-elle comme allant de soi,que l’homme et la femme ont en matière de sexualité des sensibilités et des degrés de tolérance différents. » dans son ouvrage :  » Ce que les hommes ne savent pas. Le sexe vu par les femmes ».
D.P.
( L’Express N° 3020 de Mai 09)

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Toutes les injures d’Orelsan…n’y peuvent RIEN : fières d’ être des PUTES, des SALOPES, des CHAUDASSES, des CHIENNES, des TRUIES , en jouissant de notre sexe…comme nous l’entendons NOUS les femmes!
SI je veux, Quand je veux, Comment je veux et AVEC QUI je veux : nous le valons bien!

Pas comme l’EXIGENT encore, des machos RINGARDS et INCAPABLES de satisfaire leurs nanas!

Machos à qui je souhaite un W-E tendre, romantique, ludique, inventif, créatif, et …torride !
( Bein oui! C’est compliqué une nana…Mais tellement jouissive, pour LUI, quand elle ne se sent pas obligée de recourir à son mauvais numéro de porno…Pour lui faire croire qu’elle atteint le 7éme ciel !)

" Une pointe de couteau dans l’épaule depuis onze ans" et sa fille de 16 ans assassinée par son ex-concubin…

Mix-Cité
Image de Mix-Cité.

Une pointe de couteau dans l’épaule depuis onze ans
CLICANOO.COM | Publié le 21 mai 2009

Depuis 1998, Marie vit avec un bout de métal dans l’épaule. Une douleur physique qui ne cesse de lui rappeler le terrible drame au cours duquel elle a perdu sa fille aînée. Ce jour-là, son ancien concubin l’agresse violemment à coups de couteau. Miraculée, elle est opérée en urgences au CHR de Bellepierre. Mais, par négligence, les médecins laissent la pointe de l’arme plantée dans son épaule. Aujourd’hui, elle se bat pour que l’hôpital reconnaisse sa faute.
Marquée à jamais dans sa chair. À écouter Marie raconter sa terrible histoire, il est difficile d’imaginer que plus de dix années se sont écoulées depuis. Les mots sont toujours aussi douloureux et difficiles à prononcer. Et c’est les yeux embués de larmes qu’elle relate ce qu’elle a vécu. Le 25 novembre 1998, Marie est sauvagement agressée par son concubin de l’époque, Dominique Chane. Elle veut le quitter mais il ne supporte pas cette idée. Alors méthodiquement, il prépare son passage à l’acte et tente de la tuer. Étranglée puis frappée de plusieurs coups de couteau, Marie parvient à échapper au monstre qui la poursuit dans son appartement. Mais ce dernier déverse sa haine sur Magalie, 16 ans, la fille aînée de Marie. Des coups qui seront fatals à l’adolescente.
“On me disait que c’était psychologique mais je souffrais vraiment”
Blessée à la tête, au cou, au dos, à l’épaule, Marie s’en sort miraculeusement et est hospitalisée au CHR de Bellepierre. Les médecins l’opèrent en urgence. Plusieurs plaies sont suturées un peu partout sur son corps. Marie s’en sort. Les jours passent. Mais une douleur persiste au niveau de l’épaule. Elle la signale à son médecin traitant. “On me disait que c’était psychologique mais je souffrais vraiment, raconte-t-elle. Je sentais comme un courant électrique. C’était toujours endolori”. Allergique à l’aspirine et aux anti-inflammatoires, Marie n’a pas d’autres choix que souffrir. “J’avais tellement mal que je vomissais chaque jour. Mon épaule était très gonflée.” En 2004, elle décide d’aller voir un autre médecin. Ce dernier décide de réaliser une radio. La réponse à la souffrance endurée depuis six ans apparaît comme une évidence. Un morceau de métal de 18 mm est resté coincé dans la tête de son humérus, à l’épaule. Il s’agit de la pointe du couteau de son agresseur. Tout s’éclaire. “Je me suis alors souvenue qu’après le drame, les policiers sont venus m’interroger à l’hôpital car ils ne trouvaient pas la pointe du couteau. Je pensais qu’elle était restée dans le corps de ma fille et que c’est pour ça qu’elle était morte.” Dès lors, Marie n’a qu’une obsession, se débarrasser du morceau de métal. “Mais les médecins m’ont dit que c’était trop tard, que l’os s’était reconstruit par-dessus et que je risquais d’être paralysée si l’on m’opérait de nouveau.” Souffrant toujours, Marie se voit opposer le refus d’être de nouveau opérée. Elle doit accepter son calvaire en silence. Elle décide alors d’attaquer le CHR de Bellepierre. “J’ai été bien prise en charge. Ils m’ont sauvé la vie. Mais je veux juste qu’ils reconnaissent leur responsabilité car aujourd’hui je ne peux plus travailler.” Depuis environ un an, la douleur s’est faite plus supportable. “Je suis en arrêt maladie et ça commence à aller mieux, avance-t-elle. Mais je dois reprendre le boulot en juillet prochain. Et ça risque d’être difficile. Je ne sais pas si j’en suis capable.”
Frédérique Seigle

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No limit ! Même des enfants ne sont pas épargnés: l’année dernière un moniteur de bateau s’est noyé AVEC l’enfant qu’il avait eu de sa compagne, après l’avoir étranglée, parce qu’elle lui avait dit qu’elle le quittait!

JOIN AND INVITE FEMALES ONLY …

All Facebook Females Unite In One Group! {JOIN AND INVITE FEMALES ONLY!! }

Behind every great women a man checking out her ass, Men were born between the legs of a woman, yet still men spend all their life & time trying to go back between the legs of a WOMAN! WHY? BECAUSE THERES NO PLACE LIKE HOME!!…

Here is the link to our group All Facebook Females Unite In One Group! {JOIN AND INVITE FEMALES ONLY!! }:

http://www.facebook.com/topic.php?topic=10512&post=53990&uid=52623258398#/group.php?gid=52623258398

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AUCUNE INSULTE SEXISTE…FEMINISTE, POSSIBLE; AUCUNE ! Machos et machelles à la niche!

Facebook:  » Remarque: les groupes qui attaquent une personne en particulier ou un groupe de gens ne sont pas tolérés (groupe à caractère raciste, sexiste ou incitant à d’autres types de discrimination, insultes). La création d’un tel groupe entraînera la suppression immédiate de votre compte Facebook. »

Sur blog.fr, c’est permis…grâce à la collaboration ACTIVE de certains, trop heureux de canaliser leur mal-être existentiel et à la collaboration passive de certains autres, qui comptent les points avec jubilation. ( On a le blog qu’on mérite : j’aime ferrailler contre la bêtise et la méchanceté! Pour les vaincre ? NON ! Pour les reproduire dans mes romans… en l’ ETAT…Too much !!! )

Hyperréaliste: tellement bluffés par l’IMAGE de la piscine qu’ils la contournaient !!!

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Saississant!
L’artiste a passé 12 heures par jour pendant cinq jours pour réaliser l’image d’une crevasse de 250 m² en 3 dimensions.
Il a ensuite persuadé les passants que l’illusion était réelle et que le trou était bel et bien au milieu de la rue.
Edgar Mueller, 40 ans, a utilisé de la peinture acrylique murale pour créer cette scène.
M. Mueller déclare avoir été inspiré par Julian Beever, un artiste britannique qui réalise des scènes tout aussi réalistes mais moins dramatiques comme une piscine dessinée à la craie.
Les passants avaient été tellement bluffés qu’ils la contournaient !!!

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Je suis fascinée par tant de talent !

Ça relativise de nombreux barbouillages « pompeux » !

" AUCUNE connotation féministe"…ATTENTION DANGER !!!

Femm moiWebcam ce jour.
JE CITE:  » Mon blog ne revêt pour autant AUCUNE CONNOTATION FEMINISTE. Il se veut défenseur d’un principe d’égalité totale entre tout être humain, quel qu’il soit, d’où qu’il soit, et du respect… » . ******* C’est EXACTEMENT LA DEFINITION du FEMINISME, dans le dictionnaire; si, si, si !!!!!!! 88|*******
C’est ahurissant, des propos comme ceux-là !…
Féminisme dans le « Petit Larousse Illustré » : Doctrine qui préconise l’ AMELIORATION et l’ EXTENSION du RÔLE des FEMMES dans la SOCIETE.
Lutte pour l’EGALITE des DROITS
REVENDIQUE pour les FEMMES la LIBRE DISPOSITION de LEUR CORPS et l’ABOLITION de TOUTES les FORMES de DISCRIMINATION !!!:yes:

Où as-tu LU que le féminisme revendique une quelconque SUPERIORITE ?
Où as-tu LU qu’il prône la HAINE des mecs ?

Dans la caricature qu’en a faite de bons gros beaufs machos, pour décrédibiliser la lutte de femmes POUR des femmes qui sont dans la MERDE machiste ?

Même né ESCLAVE, TOUT ÊTRE HUMAIN aspire à l’EGALITE entre HUMAINS!!!
Le FEMINISME EXIGE le RESPECT des FEMMES, dans TOUTE leur PERSONNE: physique , sexuelle, psychologique…
Je ne cherche pas à te convaincre: si tu peux écrire de telles choses, c’est que le formatage culturel a bien fonctionné.
Je veux JUSTE que tu sois HONNÊTE avec la SIGNIFICATION des mots !
Je sais , je ne me suis pas faite une amie, à l’instant, mais je ne supporte pas qu’on travestisse la vérité des mots, pour conforter un jugement personnel erroné( Qui est pour chacun d’entre nous , le résultat de notre vécu…PERSONNEL)

Sur mon blog féministe, il y a de nombreux …mecs!
Parce que les injustices, les discriminations, les violences physiques, les assassinats, concernent l’humanité toute entière, et non pas un sexe en particulier!!!

J’ai juste de la colère contre TES MOTS, pas contre TOI!
Parce que  » Le féminisme n’a JAMAIS tué PERSONNE, alors que le MACHISME TUE TOUS les JOURS »( B. Groult)
Je ne désire pas que tu me répondes; je voulais juste répondre à des inepties,qui saccagent les actions de celles qui luttent pour que cessent les REELLES HORREURS que vivent des millions de femmes dans le monde: nous sommes un tout petit peu la « mémoire » de toutes
les assassinées du machisme,qui sont mortes dans une indifférence abyssale.
Bonne continuation à toi.
Tingy

PS- …Je ne suis pas une « lesbienne-mal-baisée-et-frustrée » (définition du féminisme)! J’ai un amoureux génial depuis 34 ans et sept enfants réussis…et de VRAIS amis ! Je n’ai aucun besoin d’argent et je voyage comme je respire! J’ai écrit deux romans féministes qui se sont bien vendus ( un 3ème en chantier) et je peins de nombreux tableaux (huile , fusain, gouache , aquarelle, pastel gras…) Comme tu vois, une vie pleine et belle…(Je touche du bois !).
Sauf que je SAIS ce que peut ÊTRE les violences machistes.
Non pas IMAGINEES, mais VECUES, et que TOUTES les inégalités, toutes les discriminations, l’absence de RESPECT pour leur personne ENTIERE, toutes les VIOLENCES envers les femmes, me sont IN-SUPPORTABLES, au sens littéral du terme!

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Féministe, FIERE de l’ être…Et tant qu’il le faudra !( Mes 2 mamies sont mortes…sans être malades(!), à 96 ans, et 98 ans…et mon père aura…100 ans en 2012… Moi? Je pète le feu, ça s’entend et ça se voit, non ?)

Ce n’est pas contre le féminisme qu’il faut se battre: il n’a JAMAIS TUE PERSONNE!!!

Il faut se mobiliser contre le SEXISME, le MACHISME, la MYSOGYNIE, l’HOMOPHOBIE,(générés par les religions et l’abyssale bêtise humaine), qui TUENT TOUS les JOURS!!!

Le monde CREVE de l’INDIFFERENCE de chacun face aux IGNOMINIES de TOUS !!!

Il est normal que la société engendre des « cancers » sociaux, mais INHUMAIN et SCANDALEUX que l’indifférence complice, génère des métastases qui pourrissent et détruisent la VIE de MILLIONS de FEMMES…et d’hommes, dans le monde!

Quant aux machos et aux machelles, le toutou vous répond d’avance!!!( Passez VOTRE chemin, comme je le fais pour vous).
Cacas interdits

" Déni de la question de la trahison dans le couple "…

LEMEGALODON.NET

Barbara Wagner | Criminalisation des séropositifs
Pénalisation de la contamination : entretien avec Barbara Wagner, présidente de Femmes positives
(Le Journal du sida)

« Nous voulons être reconnues en tant que victimes »
Barbara Wagner, présidente de l’association Femmes positives, raconte sa douleur et celle des femmes séropositives de son association, qui ont été contaminées dans le cadre de leur mariage ou de leur concubinage. Incomprise et rejetée par l’essentiel du milieu associatif, Femmes positives se bat, sans aucune ressource, pour que chacune d’elles obtienne reconnaissance et réparation, deux conditions essentielles pour commencer à se reconstruire.

Comment est née l’association « Femmes positives » ?

Barbara Wagner : Les femmes qui ont créé l’association en 2003, à Marseille, ont en commun d’avoir été contaminées au VIH par leurs compagnons. Nous nous sommes rencontrées les unes les autres chez nos avocats, ou dans des associations qui ne faisaient pas cas de notre situation : n’entrant ni dans la catégorie des femmes battues, ni dans celles des femmes violées, personne ne souhaitait nous prêter attention. Nous avons donc décidé de nous représenter nous-mêmes. Aujourd’hui nous sommes une vingtaine, le plus souvent en situation précaire et sans compagnon, avec des enfants à charge et des relations familiales généralement difficiles à gérer. Beaucoup d’entre nous ont fait des dépressions nerveuses et ont dû s’arrêter de travailler. Nous subissons en outre des traitements antirétroviraux qui ont été dosés pour des hommes et qui ne sont pas adaptés à notre morphologie. Tout concourt à nous donner l’impression que les femmes sont considérées comme une quantité négligeable dans cette épidémie.
Que revendiquez-vous ?
Nous voulons être reconnues en tant que victimes. Pour l’heure, tout le monde nous renvoie à notre propre responsabilité : nous sommes dans la situation des femmes violées dans les années 1970, sauf que ni la vieille garde féministe, ni personne ne s’intéresse à nous. Nous avons été trahies par des personnes que nous aimions et qui disaient nous aimer, mais qui ne nous ont pas parlé de leur séropositivité. C’est extrêmement dur à vivre. En ce qui me concerne, tant qu’un procès n’aura pas établi que mon compagnon est responsable de ma contamination, je n’arriverai pas à me reconstruire. En outre, ces hommes qui ont commis des actes graves continuent d’en commettre au moment même où nous parlons. La justice française a la responsabilité de nommer ces actes et d’empêcher qu’ils se reproduisent davantage. A Femmes positives, nous ressentons la culpabilité de cette inaction, mais ce n’est pas à nous d’aller avertir les filles que fréquentent nos anciens compagnons qu’elles sont en danger. Nous demandons donc à la justice de faire son travail. Pour qu’elle y parvienne, il nous paraît nécessaire de fournir un cadre juridique ˆ donc d’initier un projet de loi ˆ à la question de la contamination.
La prison vous paraît-elle être une sanction adaptée ?
Nous n’agissons pas par un esprit de vengeance, mais avec le désir profond d’être soutenues et d’éviter de nouveaux drames. Nous ne cherchons donc pas à mettre nos anciens compagnons en prison, mais à faire reconnaître qu’ils sont responsables d’actes qui ont détruit nos vies. Parce que nous vivons notre contamination comme une condamnation à mort, nous nous adressons au pénal. La prison n’est cependant pas une solution : vu les conditions de vie qui y règnent, on peut douter qu’y séjourner soit d’une quelconque utilité et ne nuise pas plutôt qu’autre chose aux détenus. Il nous paraît donc nécessaire que des alternatives soient mises en place. Le plus essentiel est d’assurer aux accusés un suivi psychologique. Prenons l’exemple de l’homme de Strasbourg : il a réitéré le même scénario de contamination avec plusieurs jeunes femmes et c’est de la bouche de la police que sa dernière compagne a appris qu’il était séropositif ! Sans prise en charge psychologique, qu’est-ce qui pourrait l’empêcher de recommencer ? Autre constat : le fait que nos compagnons n’aient généralement pas fait grand cas de leur infection et n’aient pas cherché à se soigner nous invite à penser que l’accompagnement actuel de la séropositivité n’est pas suffisant. Les médecins et les associations ont un rôle préventif à jouer dans ce sens. Il faut organiser des groupes de paroles pour inciter les séropositifs à parler de leur situation à leur partenaire. Il faut leur montrer que des couples sérodiscordants peuvent parfaitement vivre ensemble. Voilà les soucis qui nous animent.
Avez-vous la sensation d’être entendues ?
Pour le moment, nous nous sentons très seules, nous n’avons pas de local (juste une permanence à la Cité des associations) et pas de ressources : la mairie de Marseille nous a octroyé 500 euros et nous attendons des subventions du conseil général. Nous fonctionnons grâce à nos adhésions et à nos propres deniers, qui sont très limités. Tout cela ne nous permet pas de nous faire connaître.
Mais le plus dur est de nous voir marginaliser par les associations de séropositifs, qui oublient que nous sommes séropositives nous-mêmes. Elles ne comprennent pas que ce n’est pas à la séropositivité que nous nous en prenons, mais à ceux qui contaminent sciemment d’autres personnes. Au prétexte que les séropositifs vivent déjà une situation suffisamment pénible, certaines associations refusent de les inciter à parler de leur séropositivité à leur partenaire. Nous sommes les sacrifiées de cette politique du silence et du déni de la question de la trahison dans le couple.
Vu l’autisme qui règne dans le milieu associatif, nous allons devoir alerter le grand public de notre situation. Cela ne va pas toutefois sans nous poser un problème d’image. Nous avons certes été invitées à passer à la télévision, mais nous craignons d’être stigmatisés, nous et nos enfants, par le milieu dans lequel nous vivons.
Il faut que nous parvenions à dépasser ces peurs, afin de rendre le débat public et d’aider des femmes qui vivent les mêmes drames que nous à sortir de leur isolement.Propos recueillis par L. D
Site LEMEGALODON.NET.

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Pour un mari coureur ( pléonasme ?), ce serait une mesure de survie pour sa femme que d’adopter régulièrement la capote !!!

En ce qui me concerne…je ne lui laisserais AUCUNE possibilité d’en contaminer d’autres!!!
AU-CUNE !!!

Une femme APPARTIENT à un mec…Même divorcée de lui . Point.

Pas de justice pour la rescapée d’un viol

Le 21 mai 2004, Alexandra Hidalgo était arrachée de sa voiture par des individus armés dans la capitale vénézuélienne Caracas. Jetée dans une fourgonnette, les yeux bandés et emmenée dans un endroit isolé, elle était violée et torturée pendant 7 heures par un groupe d’hommes, dont l’un fut identifié comme son ancien mari. Vers 11h30, elle fut ensuite ramenée dans le centre de Caracas et abandonnée, toujours les yeux bandés, en face de l’école de sa fille.
Moins de deux mois avant l’attaque, Alexandra Hidalgo avait divorcé d’Ivan Sosa Rivero après 14 ans de mariage, pour cause d’abus sexuels, physiques et psychologiques.
Ivan Sosa Rivero, un lieutenant-colonel de l’armée vénézuélienne, a nié toute implication dans l’enlèvement. Lorsqu’il a appris qu’Alexandra l’avait reconnu, il aurait menacé de la tuer elle et ses enfants si elle parlait. Malgré cela, Alexandra Hidalgo est parvenue à accumuler suffisamment de preuves sur le téléphone mobile d’Ivan Sosa Rivero pour obtenir son arrestation. Accusé d’enlèvement, de viol et de complicité de vol de véhicule, il a été placé en détention pendant plus de 4 mois.
Toutefois, il n’a jamais été traduit devant un tribunal et 14 audiences ont été reportées par ses avocats. Il a été libéré sous condition en avril 2005 et a depuis lors disparu sans laisser de traces. Deux autres assaillants ont été condamnés à 8 ans de prison, deux autres hommes ont été déclarés non coupables et un dernier est toujours introuvable.
Alexandra Hidalgo vit dans la crainte qu’Ivan Sosa Rivero ne s’en prenne à elle et elle affirme qu’il a été vu à proximité de son appartement en avril 2008.
Venezuela- Amnesty International.

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En FRANCE, des hommes nous le RAPPELLENT, sans cesse en assassinant leurs compagnes!
minou

"On ne pense qu’à ca" : Michel Reynaud ; éd Flammarion.

RMC – Michel Reynaud, auteur de « On ne pense qu’à ca. » éd Flammarion
jeudi 23 avril 2009 à 13:48

Présentation de l’éditeur
Ca y est, on sait tout – ou presque – de l’amour. Qu’il existe un gène de la fidélité et une hormone de l’attachement. Qu’une femme est plus désirable pendant l’ovulation. Que l’être humain, comme l’oiseau chanteur, est socialement monogame mais par nature polygame. Que l’amour dans un couple s’autoalimente par la grâce des neurones miroirs :  » si tu m’aimes, je t’aime « . Et que, si notre enfance détermine en partie notre vie amoureuse adulte, nos gènes sont aussi responsables de notre tempérament sexuel. Quoi d’autre encore ? Que l’organe sexuel majeur est le cerveau, lieu de toutes les débauches et fournisseur infatigable de dopamine, cette molécule du plaisir, du désir et de la motivation, neuromédiateur fondamental de l’aventure amoureuse. Résultat : nous sommes tous des love addicts, des dépendants affectifs. Spécialistes, les auteurs ont croisé les données les plus récentes issues de disciplines aussi variées que l’éthologie (étude du comportement des animaux), la génétique, l’imagerie médicale, la sociologie, l’addictologie, la neurobiologie, la psychologie… pour écrire ce livre ludique et savant, riche en informations et d’accès aisé. Pédagogues experts, ils révèlent les ficelles de la séduction, les ressorts du désir et de l’appétit sexuel, les secrets de l’orgasme, le psychisme de la passion et les mystères de l’addiction amoureuse ou sexuelle. Grâce à eux, on sait donc tout – ou presque – de l’amour. Car s’ils lèvent le voile sur les arcanes universels du sentiment amoureux, grâce au ciel, la magie de chaque histoire restera toujours intacte.

Biographie de l’auteur
Professeur de psychiatrie et d’addictologie, le Pr Michel Reynaud a publié une vingtaine d’ouvrages spécialisés et grand public, dont L’Amour est une drogue douce… en général (Robert Laffont). Il est le conseiller scientifique de l’émission  » L’Odyssée de l’amour  » diffusée sur France 2. Le Dr Laurent Karila est psychiatre-addictologue. Il a publié une dizaine d’ouvrages spécialisés et de nombreux articles scientifiques dans le champ de l’addictologie.

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« L’Amour est une drogue douce » … pour QUI ?

“la neurobiologie de l’amour”:une odyssée dans les coulisses biologiques du sentiment humain le plus éternel et universel.

Que se passe-t-il en nous, dans notre corps, dans notre cerveau, lorsque nous tombons amoureux .

Pour écrire une thèse sur “la neurobiologie de l’amour”, une jeune scientifique, Emilie, prend pour cobaye sa meilleure amie et co-locataire, Juliette.

En effet, Juliette vient de vivre sous ses yeux un coup de foudre dévastateur. Alors qu’elle allait épouser un chef d’entreprise prometteur dont elle se croyait amoureuse, un jeune musicien américain la bouleverse corps et âme…

Grâce aux connaissances les plus récentes collectées par Emilie dans de multiples domaines scientifiques et aux pouvoirs « magiques » de l’image de synthèse, nous allons découvrir de l’intérieur comment réagit le corps amoureux de Juliette et celui de son partenaire, John. Coups au coeur et coups de chaud, bafouillages et parade de séduction, extase des sens, passion qui tourne à l’obsession, souffrance de la rupture, le film montre comment ces phénomènes trouvent leur explication dans l’étonnante mécanique qui lie notre cerveau au reste de notre corps.

Une odyssée dans les coulisses biologiques du sentiment humain le plus éternel et universel. Un sentiment qui, malgré les avancées scientifiques actuelles, conservera heureusement toujours sa part de mystère.

( Mardi 26 mai sur France 2) .

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Si des hommes et des religions ne s’en étaient pas mêlés…Ce serait LE fantasme , VECU au quotidien (?) par chacun et chacune, en toute liberté…et dans le respect de tous…

Mais des religions et des mâles décrètent que les femmes qui couchent sont des « chaudasses »( terme péjoratif, très à la mode, en ce moment…Sans pendant masculin!)
La femme respectable c’est la « LEUR », celle qui se plie à LEURS diktats ! Pas celles qui disposent de LEURS corps: QUAND et COMMENT et AVEC QUI elles le désirent!

Parce qu’ils s’imaginent, à tort, qu’ils détiennent un DROIT de REGARD sur le sexe des femmes !( Compagnes, croyantes…)