Muchas gracias a la Vida !

Gracias a la vida !!!

Chantons avec elle, sur la vdéo ? 😉

Gracias A La Vida (Merci À La Vie)

Gracias a la vida
Merci à la vie
Que me ha dado tanto
Qui m’a tant donné
Me dio dos luceros
Elle m’a donné deux étoiles
Que cuando los abro
Que quand je les ouvrent
Perfecto distingo
Une parfaite distinction
Lo negro del blanco
Du noir du blanc
Y en el alto cielo su fondo estrellado
Et dans le ciel haut son fond étoilé
Y en las multitudes
Et dans les multitudes
El hombre que yo amo.
L’homme que j’aime

Gracias a la vida
Merci à la vie
Que me ha dado tanto
Qui m’a tant donné
Me ha dado el oído
Elle m’a donné l’ouïe
Que en todo su ancho
Que dans toute sa grandeur
Graba noche y día
Qui enregistre nuit et jour
Grillos y canarios
Criquets et canaries
Martillos, turbinas, ladridos, chubascos
Marteaux, turbines, écorces, averses
Y la voz tan tierna de mi bien amado.
Et la voix si douce de mon bien-aimé

Gracias a la vida
Merci à la vie
Que me ha dado tanto
Qui m’a tant donné
Me ha dado el sonido
Elle m’a donné le son
Y el abecedario
Et l’alphabet
Con él las palabras
Avec lui les mots
Que pienso y declaro
Que je pense et déclare
« madre, amigo, hermano »
 »mère, ami, frère »
Y luz alumbrando la ruta del alma del que estoy amando
La lumiere illuminant la route de l’âme de celui que j’aime

Gracias a la vida
Merci à la vie
Que me ha dado tanto
Qui m’a tant donné
Me ha dado la marcha
Elle m’a donné la marche
De mis pies cansados
De mes pieds fatigué
Con ellos anduve
Avec eux j’ai marché
Ciudades y charcos
Villes et flaques d’eau
Playas y desiertos, montañas y llanos
Plages et déssert, montagnes et lac
Y la casa tuya, tu calle y tu patio.
Et ta maison, ta rue et ta cour

Gracias a la vida
Merci à la vie
Que ma ha dado tanto
Qui m’a tant donné
Me dio el corazón
Elle ma donné le coeur
Que agita su marco
Qui agite son cadre
Cuando miro el fruto
Quand je regarde le fruit
Del cerebro humano
Du cerveau humain
Cuando miro el bueno tan lejos del malo
Quand je regarde le bien si loin du mal
Cuando miro el fondo de tus ojos claros.
Quand je regarde le fond de tes yeux clairs

Gracia a la vida
Merci à la vie
Que me ha dado tanto
Qui m’a tant donné
Me ha dado las risas
Elle m’a donné les rires
Y me ha dado el llanto
Et ma donné les pleurs
Así yo distingo
Ainsi je le distingue
Dicha de quebranto
Dite de coupure
Los dos materiales que forman mi canto
Les deux matériels qui forment mon chant
El canto de todos que es el mismo canto
Le chant de tous qui est le même chant
El canto de todos que es mi propio canto
Le chant de tous qui est mon propre chant
¡Gracias a la vida !
¡Merci à la vie !

http://www.lacoccinelle.net/255495.html

Beaucoup d’autres les apprécient aussi !;) (Merci)

HIbis

 » Bonjour je vous envoie une invitation car j’aime beaucoup vos sujets bon week-end »

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Bienvenue dans mon blog, chère blogueuse !

Ils me tiennent beaucoup à coeur, ces sujets :yes:

Merci pour ton com si sympa

Bon Week-end à toi aussi

Pour cath…Si vous avez des infos ?

Cath (Visiteur)
samedi, 17. mars, 2012 @ 10:22:09

 » bonjour,
je ne trouve pas où signer la pétition « Nous sommes tous Amina Al Filali ». Pourriez-vous m’indiquer le lien qui conduit à cette page ?

Par avance, merci.

Bonne journée. »

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Je n’ai pas trouvé non plus, désolée!

Amicalement

PS- Si infos, de préférence dans les messages
Merci!

"Causette" : n’en jetez plus !!!

« Avec une diffusion de 75 000 exemplaires, « Causette », mensuel féminin et féministe a gagné son pari. Sur le fond et sur le ton, avec une ligne résolument « plus féminine du cerveau que du capiton « . Le Monde 05-03-2011

« Causette transgresse toutes les règles de la presse féminine française. » The Times 02-12-2010

« Il y a un an, personne ne pensait qu’il existait une troisième voie entre les féminins et les news généralistes.» Télérama 26-05-2010

« Un hybride dans la presse féminine, qui mérite bien ce lifting. »
Marianne 26-04-2009

« Une certaine renaissance de la presse papier, observée avec l’arrivée réussie de titres comme XXI ou Books, semble gagner aussi la presse féminine. » Inrockuptibles 31-03-2009

« Une initiative qui n’est pas pour déplaire à Brigitte Grésy, rapporteuse de la commission sur l’Image de la femme dans les médias. Il est urgent, selon elle, de briser cette « pensée unique dans la représentation symbolique des femmes ».» Rue89 06-03-2009

« De So Foot aux sites Rue89 et Bakchich en passant par XXI et Générique, jamais on n’a vu autant de média bien anglés, détenteurs d’un ton différent. Le dernier-né de cette nouvelle génération s’appelle Causette. » VoxPop avr-mai-2009

« Un style différent, des photos de qualité supérieure et un contenu plus élitiste, Causette se veut résolument différente. C’est réussi. »
Le Journal du Dimanche 28-07-2009

« Merci les filles ! »
Le Nouvel Observateur 18-11-2010

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Rwanda : «Causette» accuse la France de viols

Génocide . Le mensuel féminin a été menacé et piraté après une enquête sur la plainte de trois Tutsies contre des soldats français.
Libération.

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La meilleure façon d’accréditer le témoignage des victimes ?

« Causette, plus féminine du cerveau que du capiton » :

J’adore !!!

" Soigner l’homme violent"?..Heuu, de façon radicale ?

Ala folie

Violences : soigner l’homme violent

[ Selon Michela Marzano, philosophe, chercheuse au CNRS : « À la base de la violence il y a une crise existentielle profonde qui pousse l’auteur à considérer la femme comme rien »

Quel est le profil de l’homme violent ?

Il s’agit souvent d’individus qui n’acceptent pas la « résistance » du réel, c’est-à-dire le fait que parfois la réalité s’oppose à leur désir, que parfois les autres ne répondent pas exactement à leurs demandes. Ce qui les amène à vouloir forcer ce qui résiste, à vouloir plier ceux ou celles qui leur opposent un refus. Si l’on analyse le cas particulier des violences sexuelles envers les femmes, l’on se rend compte que les violeurs forcent leurs victimes à se plier à leurs exigences, sans prendre en compte leur refus. Ce qui devient possible à partir du moment où l’autre n’est plus pris en compte comme autre, et qu’il n’est donc plus reconnu comme un être humain digne de respect : son « non » devient un « oui », car la seule chose qui compte est la volonté de celui qui exerce la violence. Les hommes violents sont souvent des individus qui n’arrivent pas à s’inscrire dans le monde et dans la société de façon satisfaisante : à la base de leur violence il y a une crise existentielle profonde qui les pousse à considérer les autres, et notamment les femmes, comme « rien », peut-être aussi parce qu’eux-mêmes n’arrivent pas à donner beaucoup de valeur à leur vie, et n’arrivent pas non plus à obtenir une considération adéquate de la part des autres (et notamment des femmes). La violence, de ce point de vue, apparaît comme le seul recours possible, comme le seul moyen pour s’imposer, en montrant ainsi à la société qu’il y a au moins les victimes de leur violence qui ont dû se plier à leur volonté et leur puissance.
Que peut-on faire pour lutter contre cette violence, comment tenter de la prévenir ?
L’éducation peut jouer un rôle très important, en permettant aux individus de prendre une mesure des effets dramatiques que la violence peut avoir. De ce point de vue, il faudrait peut-être commencer par faire comprendre aux jeunes l’existence de limites, et leur montrer comment ces limites font partie de la condition humaine. Et cela, non seulement parce que l’être humain est une créature « limitée » et « mortelle » (c’est-à-dire un être qui n’est pas tout-puissant), mais aussi et surtout parce que toute action humaine est limitée par la présence d’autrui et par son désir qui peut ne pas correspondre aux attentes que l’on a.
Autrui est toujours une limite à nos actions et à nos choix. Il existe une sorte d’infranchissable seuil qui nous sépare d’autrui, sauf à ne pas reconnaître celui-ci comme semblable à nous et, dans un même temps, à détruire la possibilité de notre humanité au sein du monde. Le problème est cependant que, aujourd’hui, on vit dans une société assez « clivée ». D’une part, on assiste à une dénonciation de la violence et à l’institution d’une espèce d’Etat de police ; d’autre part, cet Etat de police utilise à son tour une violence qui n’est pas moins extrême et qui ne prend pas du tout en compte l’humanité des coupables. D’une part, on assiste à la dénonciation de la violence des hommes vis-à-vis des femmes ; d’autre part, certaines femmes, qui se disent féministes, proposent comme seule solution à la détresse féminine l’utilisation d’un contre-pouvoir féminin.

Existe-t-il selon vous une spécificité ethnique et culturelle de la violence masculine envers les femmes ?

Non. Surtout pas ethnique. À la limite, on peut reconnaître que certaines cultures favorisent la violence contre les femmes à partir du moment où elles ne considèrent pas les femmes comme des êtres humains à part entière. Mais au-delà de ces spécificités culturelles, la violence intervient toujours là où l’on ne prend pas en compte autrui comme ayant droit au respect et qu’on n’accepte pas que l’objet de son désir puisse se soustraire à l’envie de le posséder, de l’avaler, de le faire sien.

Pourtant certaines politiques publiques, mises en place récemment, tentent justement de répondre à cette problématique ?

Je crois que la tentative de résoudre le problème de la violence par une pénalisation toujours plus dure et plus violente des auteurs d’actes de violence n’est pas une réponse adéquate. Ce que l’on fait, en effet, c’est répondre à la violence par la violence, sans considération aucune du fait que les hommes violents sont des individus qui n’ont probablement pas pu développer chez eux ce que Freud appelle la « compassion ». Pour Freud, la compassion est l’une des « digues psychiques » qui structurent la subjectivité des individus, une « digue » qui s’oppose à la « cruauté ». Or, les hommes violents sont des individus qui, en général, n’ont pas de compassion vis-à-vis des autres, et notamment des femmes. Car les femmes, à leurs yeux, sont souvent des « choses », des « objets » dont on peut disposer complètement. Non seulement la femme n’est pas reconnue comme une semblable, comme une présence qui demande d’être respectée en tant que sujet, mais elle n’est pas non plus reconnue comme un être sensible : elle n’est plus un « autrui » qui peut contester le pouvoir et la violence des hommes. Chercher à opposer à cette violence une autre forme de violence qui réduit les coupables en « objets » contre lesquels exercer une forme de vengeance ne peut contribuer qu’à l’affirmation du principe selon lequel il y a des individus qui n’ont pas droit au respect que tout être humain mérite en tant qu’être humain.]
Propos recueillis par Guy Benloulou.

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 » qu’eux-mêmes n’arrivent pas à donner beaucoup de valeur à leur vie, et n’arrivent pas non plus à obtenir une considération adéquate de la part des autres (et notamment des femmes) ». Attention! Ils sévissent aussi, sur blog.fr : ils commencent par vous flatter journellement sur votre blog, puis par devenir agressifs devant votre relative « indifférence » ( dur, dur, de s’extasier sur des com débiles qui se veulent…Plein d’esprit!); qu’ils vivent comme un manque impardonable de reconnaissance de leur valeur, et passent à l’attaque avec des propos orduriers…

 » contribuer à l’affirmation du principe selon lequel il y a des individus qui n’ont pas droit au respect que tout être humain mérite en tant qu’être humain. » ?

Y a encore du boulot sur blog.fr !

Et dire que ce seront les « mêmes » qui se révolteront…Quand leur tour viendra…Ou celui d’un proche, dans la vie de tous les jours!

Comment? Eux ne le méritent pas ? On mérite TOUJOURS la société qu’on encourage, d’une manière ou d’une autre ! La violence de millions de mecs, saccage et détruit l’univers de millions de femmes et d’enfants dans le monde…Le mariage est une pure hérésie, pour des millions de gens: les frustrations affectives et sexuelles entre autres, les incompatibilités de genre,les désillusions abyssales qu’il engendre,etc…Transforment leur quotidien en enfer!

Bref! Soigner l’homme violent, de façon radicale ? Je connais bien un moyen…