Objet sexuel: y compris de se croire obligée(!) d’aller ‘jusqu’au bout’ et… d’être JUSTE une pompe/objet à sperme marital ou patronal ? (Illustration détournée et non contractuelle).
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Par Peggy Sastre
… »Être sexuellement valorisée par son partenaire
Comment réconcilier ces deux perspectives et ces deux pôles de recherche ? En prenant conscience d’un fait, là encore, pas si difficile à comprendre : il n’y a pas qu’une sorte d’objectivation.
N’être qu’un objet dans les yeux (et le bulbe rachidien) du premier type qui passe ne comporte pas le même genre de risques que lorsque vous êtes sexuellement valorisée par un partenaire que vous avez choisi et chéri. Notamment, en connaissant intimement l’homme qui vous objective, il est possible que vous ayez obtenu certaines preuves de son engagement. Vous pouvez aussi savoir qu’il peut, par ailleurs et à d’autres occasions, vous apprécier pour le reste de vos atouts.
À l’inverse, même dans un couple « stable », une femme sera bien moins satisfaite par l’objectivation de son partenaire s’il n’est intéressé que par ses caractéristiques sexuelles et s’il semble fuyant.
Objectivation sexuelle et satisfaction maritale
Une récente étude, menée par trois chercheurs en psychologie affiliés à l’Université Northwestern et à l’Université de Floride confirme la nuance : les femmes aiment bien être des objets sexuels, tant qu’elles le sont aux yeux de partenaires dont elles ont éprouvé le sérieux conjugal.
À la faveur de deux expériences, rassemblant des couples dans leur première année de mariage – 113 pour la première, 108 pour la seconde – Andrea L. Meltzer, James K. McNulty et Jon K. Maner montrent que la corrélation entre objectivation sexuelle et satisfaction maritale est, chez les femmes, directement liée à la perception qu’elles ont de l’attachement et de l’engagement de leur époux.
Quand ce dernier leur semble présent, aimant, dévoué, elles sautent au plafond s’il les valorise sexuellement. À l’inverse, au moindre petit signe de détachement, l’objectivation sexuelle devient beaucoup moins satisfaisante, voire carrément affligeante. Un effet totalement absent chez les maris, et ce dans n’importe quel sens »…(Extrait).
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Des chercheurs(!) qui n’arrivent pas à faire la DIFFERENCE(!!) entre… JOUER(!!!) à être un OBJET sexuel
Et …ÊTRE pour de vrai, un OBJET(!!) sexuel !!!
C’est grave docteur ?
Il ne faut pas faire une ‘étude’ poussée pour savoir que des femmes ont intégré le fait qu’un homme c’est un…homme(!) et donc, se sont adaptées* à la réalité du pénis pour le séduire et tenter(!) d’en faire sa chasse gardée : « Voilà ma tragédie : je suis un homme. Autrement dit, le seul animal de la Création qui a sa queue devant et qui ne cesse de courir après » (Franz-olivier Giesberg).
Mais jusqu’à un certain* point …de rupture(!) concernant des nanas à la dignité et à l’intégrité, REBELLES : https://tingytanana.com/2008/08/31/savoir-tenir-la-queue-d-un-homme-et-celle-d-une-casserole-voil-agrave-le-destin-d-une-femme-selon-les-parents-m-acirc-les-de-marie-jo-4661766/
Et « Sonia Feerstack soulève un autre problème[…] la pornographie, « en substituant l’excitation au désir », en contribuant au souci de performances, ravale la sexualité à une technique des pratiques. Il est donc « urgent de rattraper le désir par la queue »! Le drôle de jeu de mots emprunté à Picasso, me fait personnellement penser que la sexualité participe d’une création, au-delà donc des pratiques, ou des modèles. » Par Marie-Laure Susini. https://tingytanana.com/2015/06/08/desir-et-ennui-mortel-urgent-de-rattraper-le-desir-par-la-queue-20526837/
« Pratiques ou modèles » issus ESSENTIELLEMENT(!) de la sexualité…MASCULINE(!!) avec sa DICTATURE(!!!) du PENIS/Roi ?
Des ‘chercheurs'(!) n’arrivant pas à faire la différence entre JOUER à être un objet sexuel et… l’ ÊTRE pour de vrai !!! La différence ? Comme pour les antibiotiques pas « automatiques » : des modèles et des pratiques… masculines(!), ne sont pas systématiquement(!!)… BIENVENUS !!!
Bref ! à chacune SA sexualité ?
Kom TU ve, TU chwaz !