« Nos élites, trop souvent complaisantes par rapport à l’islam politique», a-t-elle dit.

Arte ce jour..lynchage pour fornication hors mariage au Pakistan

(Lapidation; illustration non contractuelle)

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Par David Rémillard Le Soleil

« (Québec) La militante et auteure Djemila Benhabib a profité d’une table ronde au Salon international du livre de Québec, samedi, pour livrer une charge à fond de train contre les approches trop «légères» de Philippe Couillard et de Justin Trudeau face à la menace djihadiste.

Constamment applaudie par le public, fort nombreux à s’être déplacé pour assister à cette table ronde sur le thème du djihad, Mme Benhabib a utilisé une bonne partie du temps qui lui était consacré pour interpeller les différents ordres de gouvernement. Elle a accusé les premiers ministres Justin Trudeau et Philippe Couillard d’aborder la montée «de l’islam politique» et radical «avec légèreté».

«La première responsabilité, à mon sens, d’une femme ou d’un homme politique, c’est de nommer le mal. Aujourd’hui, c’est l’islam politique qui assassine, au nom d’un dogme, au nom d’une interprétation particulière de la religion. La première responsabilité c’est de nommer le mal, et ensuite c’est de mettre en place des stratégies contre la montée de cet islam politique», a-t-elle affirmé en entrevue au Soleil, après la table ronde.

Selon Mme Benhabib, qui parcourt le Québec d’un bout à l’autre pour faire la promotion de son nouveau livre et pour donner des conférences, il y a un décalage entre les actions posées par les gouvernements et les inquiétudes des citoyens.

«Il y a un fossé entre cette population et nos élites, trop souvent complaisantes par rapport à l’islam politique», a-t-elle dit. «Lorsqu’on a les yeux tournés vers l’Europe [attentats de Bruxelles et de Paris], on ne peut qu’être inquiet. La question c’est : quoi faire pour ne pas que ça vienne chez nous, quoi faire pour continuer d’avoir la tranquillité que nous avons? Je ne vois pas nos gouvernements poser des gestes.»

http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/societe/201604/16/01-4972071-les-elites-trop-legeres-envers-lislam-radical-croit-benhabib.php

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« L’auteure d’origine algérienne a aussi dit constater que sa liberté d’expression était déjà diminuée depuis quelques années. «Lorsque j’ai publié Ma vie à contre-Coran [en 2009], je ne sentais pas autant de pression. La pression s’exerce à chaque jour, à chaque minute, à chaque instant. Et ça, c’est parce que nous vivons à une époque de judiciarisation du débat public.» Elle soutient que la marge de manoeuvre est mince pour ne pas être taxée d’islamophobie. »

Pourquoi n’aurait-on pas le droit d’être islamophobe, alors que l’islam (y compris les autres religions ) est misogyne ?

Définition de misogynie. Littéralement « haine des femmes », est un trait de caractère qui se manifeste par un sentiment de mépris, éventuellement d’hostilité, à l’égard des femmes. Bien que la misogynie concerne surtout les hommes, certaines femmes manifestent également ce trait de caractère. »http://fr.wikipedia.org/wiki/Misogyne

« Définition d’islamophobie. Etymologie : construit à partir de islam, religion des musulmans, et phobie, venant du grec ancien phobos, peur, effroi. Une phobie : est une peur, une crainte, une angoisse irraisonnée, instinctive, par rapport à quelque chose. » http://www.toupie.org/Dictionnaire/Islamophobie.htm

Depuis QUAND la peur, l’angoisse, la crainte, l’horreur devant des…FAITS(!)  -lapidation, attentats meurtriers,  misogynie liberticide, etc-  suscitant, normalement(!),  le rejet, seraient …illégales ou répréhensibles ?

Et répéter en boucle que » l’islam est une religion de paix » , cela a-t-il un sens, quand on lit ce qui suit ?

« Le Coran-  Le Coran est un recueil des injonctions de Mahomet émises au début du VIIème siècle et il lui aurait été directement dicté par le concept fantaisiste de « Dieu » lui-même. L’identité du narrateur alterne entre ce « Dieu » et ce personnage présenté comme un prophète. Le Coran ne brille ni par sa profondeur philosophique, ni par son humanisme. Je développe ici les divers points qui détachent ses propos haineux à l’encontre des incroyants, la violence physique qu’il prône à leur égard ainsi que le traitement humiliant réservé aux femmes. L’Ancien Testament trace, dans la plupart des domaines, la voie suivie par le Coran. La structure du texte n’est qu’une litanie de menaces, de répétitions et d’injonctions, vouée à marteler et soumettre le croyant à une morale guerrière et discriminatoire. Un Coran qui serait une référence visionnaire et poétique n’est que pure imagination.

Les références indiquées dans ce commentaire personnel du Coran sont extraites de l’édition publiée par GF-Flammarion en format poche (1970, numéro 237). La traduction de l’arabe a été effectuée par Kasimirski.

La guerre sainte

La guerre sainte si souvent invoquée et mise en pratique actuellement ne trouve pas son origine dans la folie de certains cerveaux mais dans le texte fondateur de la religion musulmane. Dès la sourate II, verset 186, l’appel à la guerre exhorte le croyant à l’action: « Combattez dans la voie de Dieu contre ceux qui vous feront la guerre. ». Afin d’éviter une trop grande latitude d’interprétation du mot « combattez », le verset suivant se montre très explicite: « Tuez-les partout où vous les trouverez, et chassez-les d’où ils vous auront chassés. La tentation à l’idolâtrie est pire que le carnage à la guerre. ». Le combat vise à l’imposition de la foi par la force (II,189): « Combattez-les jusqu’à ce que vous n’ayez point à craindre la tentation, et que tout culte soit celui du Dieu unique. ». Le Coran ne se manifeste pas par un style particulièrement métaphorique mais montre beaucoup de clarté dans ses intentions (II, 190): « Quiconque agira violemment contre vous, agissez de même à son égard « . La justification du meurtre de l’infidèle revient plus loin (II, 214): « La tentation à l’idolâtrie est pire que le carnage « . Enfin, la sourate II se termine sur un cri patriotique (II, 286): « Donne nous la victoire sur les infidèles « .

Habilement, le rédacteur résout le cas des croyants morts au combat en leur délivrant un billet direct pour le paradis (III, 151): « Si vous mourrez ou si vous êtes tués en combattant dans le sentier de Dieu, l’indulgence et la miséricorde de Dieu vous attendent. », et, plus explicitement, (III,163): « Ne croyez pas que ceux qui ont succombé en combattant dans le sentier de Dieu soient morts: ils vivent près de Dieu, et reçoivent de lui leur nourriture « . Ces deux versets faisaient probablement partie du bagage religieux inculqué à ces gamins iraniens envoyés à la boucherie lors de la guerre Iran Irak dans les années 1980. La sourate suivante insiste encore sur ce sens du sacrifice à la gloire de ce dieu bourreau (IV, 76): « Que ceux qui sacrifient la vie d’ici-bas à la vie future combattent dans la voie de Dieu; qu’ils succombent ou qu’ils soient vainqueurs, nous leur donnerons une récompense généreuse. » . Mais avant de mourir, le combattant aura eu l’assurance des faveurs privilégiées dont il bénéficiera par rapport au croyant resté au foyer (IV, 97): « il [Dieu] a destiné aux combattants une récompense plus grande qu’à ceux qui restent dans leurs foyers. ».

Comme dans tout système autoritaire où l’obéissance aveugle prime sur le jugement personnel, le croyant doit se soumettre aux ordres, le temps employé dans le Coran étant systématiquement l’impératif (IV, 86): « Combats dans le sentier de Dieu et n’impose des charges difficiles qu’à toi-même. Excite les croyants au combat. ». La bestialité coranique répand sa haine sans interruption (IV, 93): « S’ils [les infidèles] ne se mettent pas à l’écart, s’ils ne vous offrent pas la paix et ne s’abstiennent pas de vous combattre, saisissez-les et mettez-les à mort partout où vous les trouverez. « . Le Coran n’est pas avare de termes pour désigner les légions de « Dieu » en parlant de milice (V, 61): « Ceux qui prennent pour protecteur Dieu, son apôtre, et les croyants sont comme la milice de Dieu; la victoire est à eux. » . Aucune accalmie dans la violence des propos répandus, l’issue de la guerre est claire (VIII, 7): « Le Seigneur cependant a voulu prouver la vérité de ses paroles et exterminer jusqu’au dernier des infidèles. ». Le mode d’exécution est précisé peu après (VIII, 12): « Abattez leurs têtes et frappez les extrémités de leurs doigts. », avec, plus loin, un autre moyen d’en finir (VIII, 52): « Quel spectacle, lorsque les anges ôtent la vie aux infidèles! ils frappent leurs visages et leurs reins, et leur crient: Allez goûter la peine du feu. ». Toutefois, la justification mystique vient pour raffermir le croyant (VIII, 17): « Ce n’est pas vous qui les tuez, c’est Dieu. ».

Le discours typiquement militaire de l’exaltation de l’armée à propos de sa supériorité apparaît immanquablement dans cet ouvrage rompu au maniement des masses (VIII, 66): « O prophète! excite les croyants au combat. Vingt braves d’entre eux terrasseront deux cents infidèles. Cent en mettront mille en fuite, parce que les infidèles n’ont point de sagesse. », mais le verset suivant corrige les estimations à des performances plus modestes (VIII, 67): « Dieu veut alléger votre tâche, car il connaît votre faiblesse. Cent braves d’entre vous vaincront deux cents ennemis, et mille triompheront de deux mille par la permission de Dieu qui est avec les intrépides. ». La stratégie d’attaque reste néanmoins assez simple (IX, 5): « Les mois sacrés expirés, tuez les idolâtres partout où vous les trouverez, faites-les prisonniers, assiégez-les et guettez-les dans toute embuscade. « . Une fois encore le croyant est rappelé à la déraison (IX,29): « Faites la guerre à ceux qui ne croient point en Dieu ni au jour dernier, qui ne regardent point comme défendu ce que Dieu et son apôtre ont défendu, et à ceux d’entre les hommes qui ne professent pas la vraie religion. ».

Le Coran n’échappe pas à des considérations plus économiques (IX,34): « Annonce un châtiment douloureux à ceux qui amassent l’or et l’argent, et ne le dépensent point dans le sentier de Dieu. », mais le croyant n’a pas à craindre le combat gratuit (XXIX, 5): « Quiconque combat pour la foi combat pour son propre avantage. ». Au fur et à mesure de la lecture de l’ouvrage, les sourates passent mais la barbarie reste identique (XLVII, 4): « Quand vous rencontrerez les infidèles, tuez-les jusqu’à en faire un grand carnage, et serrez les entraves des captifs que vous aurez faits. ». La fin du texte approchant, le général félicite ses soldats (LXI, 4): « Il [Dieu] aime ceux qui combattent en ordre dans son sentier, et qui sont fermes comme un édifice solide ». Il rappelle le patriotisme religieux (LXI, 11): « Croyez en Dieu et en son apôtre, combattez dans le sentier de Dieu, faites le sacrifice de vos biens et de vos personnes; cela vous sera plus avantageux si vous le comprenez. », ou encore, finalement, (LXVI, 9): « O Prophète! fais la guerre aux infidèles et aux hypocrites, sois sévère à leur égard. La géhenne [le feu] sera leur demeure. Quel affreux séjour. ».

Le Coran n’est donc qu’un mélange désordonné de haine, de violence, d’appel au meurtre. La structure du texte n’est qu’une inlassable répétition, un déchaînement autoritaire et coléreux où la guerre est définitivement sainte.

La femme objet

La condition féminine fait partie des plus grands scandales générés par le Coran. La hiérarchie entre femmes et hommes doit obéir à la règle machiste fort répandue (II, 228): « Les maris sont supérieurs à leurs femmes ». La femme idéale est plus proche de l’esclave soumis que d’une personne apte à décider de sa vie (IV, 38): « Les hommes sont supérieurs aux femmes à cause des qualités par lesquelles Dieu a élevé ceux-là au dessus de celles-ci, et parce que les hommes emploient leurs biens pour doter les femmes. Les femmes vertueuses sont obéissantes et soumises. ». Ou encore, sur la servitude à laquelle la femme est assignée (VII, 188): « C’est lui qui vous a créés tous d’un seul homme, qui en a produit son épouse afin qu’il habitât avec elle, elle porta d’abord un fardeau léger et marchait sans peine. ».

La femme est une possession du mâle dont il peut disposer comme bon lui semble, tant en ce qui concerne l’épouse (II, 223): « Les femmes sont votre champ. Cultivez-le de la manière que vous l’entendrez, ayant fait auparavant quelque acte de piété. », que les filles (II, 220): « Ne donnez point vos filles aux idolâtres tant qu’ils n’auront pas cru. ». Et comme tout bien de consommation est jeté lorsqu’il n’a plus les faveurs de l’utilisateur, la femme peut être répudiée avec facilité et la procédure est précisée en (II, 229 à 233) et (LXV, 1 à 4). Le mépris dans lequel sont tenues les femmes éclate dans l’équivalence « 1 homme = 2 femmes » lors du besoin de témoins dans le règlement d’un litige en (II, 282): « Appelez deux témoins choisis parmi vous; si vous ne trouvez pas deux hommes, appelez-en un seul et deux femmes parmi les personnes habiles à témoigner; afin que, si l’une oublie, l’autre puisse rappeler le fait. ». Cette même inégalité de traitement prévaut aussi dans les droits de succession (IV, 12): « Dieu vous commande, dans le partage de vos biens entre vos enfants, de donner au fils mâle la portion de deux filles; s’il n’y a que des filles, et qu’elles soient plus de deux, elles auront les deux tiers de la succession; s’il n’y en a qu’une seule, elle recevra la moitié. », ainsi que (IV, 175). La primauté de l’homme provient de son apparition première (III, 193): « Les femmes sont issues des hommes. », et (IV, 1): « O hommes! craignez votre seigneur qui vous a créés tous d’un seul homme; de l’homme il forma sa compagne. ». La polygamie est officiellement acceptée en (IV, 3): « Si vous craignez d’être injustes envers les orphelins, n’épousez que peu de femmes, deux, trois ou quatre parmi celles qui vous auront plu. », et Mahomet montre l’exemple (XXXIII, 6): « Le prophète aime les croyants plus qu’ils ne s’aiment eux-mêmes; ses femmes sont leurs mères. » et (XXXIII, 27) ainsi que (XXXIII, 47): « O prophète! il t’est permis d’épouser les femmes que tu auras dotées, les captives que Dieu a fait tomber entre tes mains, les filles de tes oncles et de tes tantes maternels et paternels qui ont pris la fuite avec toi, et toute femme fidèle qui livrera son cœur au Prophète, si le Prophète veut l’épouser. ».

Le machisme musulman ne se limite pas à établir une supériorité homme – femme mais prévoit aussi la réprimande violente et l’exprime avec la plus grande clarté (IV, 38): « Vous [les hommes] réprimanderez celles dont vous avez à craindre l’inobéissance; vous les relèguerez dans des lits à part, vous les battrez; mais aussitôt qu’elles vous obéissent, ne leur cherchez point querelle. Dieu est élevé et grand. ». Le Coran montre ici son vrai visage de religion rétrograde et agressive, qui ne survit que par la terreur qu’il inspire aux unes et par l’attribution d’une supériorité factice à des hommes dépourvus de raison. De même en (IV, 19): « Si vos femmes commettent l’action infâme (l’adultère), appelez quatre témoins. Si leurs témoignages se réunissent contre elles, enfermez-les dans des maisons jusqu’à ce que la mort les visite ou que Dieu leur procure un moyen de salut. ». La mort pour les femmes adultères, seul remède pour un islam brutal qui, par contre, n’envisage pas le cas de l’homme adultère. Autre exemple d’infidélité conjugale à la charge des épouses en (LXVI, 10), avec toujours la mort comme issue pour une religion de la domination masculine. Appeler à la mort de l’autre, de celui qui est différent, n’est pas la marque d’une réflexion particulièrement élaborée comme voudraient nous en persuader les théologiens.

La psychose musulmane sur la nocivité de toute forme de coquetterie féminine trouve son origine en (XXIV, 31) et a, depuis, donné lieu à une généralisation délirante. Le point culminant en est le port du voile, prescrit dans le cas d’une conversation avec les femmes de Mahomet (XXXIII, 51): « Si vous avez quelque demande à faire à ses femmes, faites-la à travers un voile; c’est ainsi que vos cœurs et les leurs se conserveront en pureté. ». De même en (XXXIII, 57): « O prophète! prescris à tes épouses, à tes filles et aux femmes des croyants, d’abaisser un voile sur leur visage. Il sera la marque de leur vertu et un frein contre les propos des hommes. ». Remarquer que le port du voile par les hommes aurait le même effet « protecteur », mais cette suggestion n’est probablement que blasphème. La femme soumise et devant fuir les regards masculins n’a pas à espérer d’émancipation au paradis (XXXVII, 52): « Auprès d’eux [les justes au paradis] seront des femmes au regard modeste, et leurs égales en âge. ». Enfin, les femmes ne sont que marchandise dont la valeur dépend de leur soumission à l’islam (LX, 10).

Le Coran réduit donc la femme au rang de spectatrice et domestique de l’homme. Elle peut être échangée ou rejetée comme pour tout produit de consommation courante, elle est à la charge du mari au même titre que le bétail. Le maître peut disposer d’elle comme il l’entend et user de la force à son encontre. L’adultère semble être une exclusivité féminine, le mâle n’étant pas redevable envers son sujet. Parler ici de misogynie est trop faible pour exprimer le mépris et la soumission dont les femmes sont l’objet. On ne peut que constater que le monde musulman actuel est resté fidèle à ces préceptes préhistoriques. L’Iran l’a rappelé en 1995 à la conférence de Pékin sur la condition féminine (même attitude inacceptable de la part du Vatican). Le port du voile, commandé par le Coran, est adopté à des degrés divers: foulard qui se limite à la couverture de la chevelure, tissu qui ne laisse que les yeux comme unique appel au secours, grilles infligées par les Talibans, ou encore couverture complète du visage. Officiellement un rempart contre les regards masculins déplacés, ce voile protège plus efficacement les sociétés musulmanes contre leur propre barbarie en soumettant au silence la moitié de leur population.

Les interdits du Coran »…(Extrait) .    La suite ici : http://atheisme.org/coran.html

Bref !  En tant que femme, autrement dit en tant… qu’être humain avec des DROITS(!!!) HUMAINS, peut-on, lé-gi-ti-me-ment(!), ressentir de la PHOBIE  pour… TOUTES les religions ? (La phobie n’est pas synonyme…de l’agression !!!)

La foi -en un ou des Dieux- de chacun est respectable, mais pas les religions: pour exiger et mériter le respect, il faut…RESPECTER les AUTRES, TOUS les autres DIFFERENTS ! (Qui agissent dans le respect d’autrui)

Les religions ne sont PAS, Dieu: elles ont été inventées par des mecs, -avec pénis et testicules!- qui…OSENT(!) parler au nom de Dieu, pour contrôler les consciences et se faire du fric …

‘L’Intelligence Suprême’  -si elle existe-  EST par essence un pur…‘ESPRIT'(!!!),  NON accessible à l’humain et en aucune manière de sexe mâle, barbu, vengeur, haineux, guerrier, misogyne, homophobe et j’en passe…

En résumé, je suis d’accord avec la militante  Djemila Benhabib  : « Nos élites, trop souvent complaisantes par rapport à l’islam politique»

Et concernant le comportement d’autres religions, qui s’autorisent à vouloir IMPOSER leurs PROPRES visions du monde à…TOUS !!!

Auteur : Tingy

Romancière féministe : je viens de publier " Le temps de cuire une sauterelle " :-)) Et de rééditer : "Le Père-Ver" et "Le Village des Vagins" (Le tout sur Amazon) ... et peintre de nombreux tableaux "psycho-symboliques"... Ah! J'oubliais : un amoureux incroyable, depuis 46 ans et maman de 7 "petits" géniaux...

Une réflexion sur « « Nos élites, trop souvent complaisantes par rapport à l’islam politique», a-t-elle dit. »

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