Par Fatima Al-Kassab
… »Ces résultats vont à l’encontre des suggestions mentionnées par les groupes anti-avortement aux Etats-Unis pour qui les femmes qui avortent souffrent plus tard d’un « syndrome de stress post-avortement traumatique », maladie mentale qui n’est pas reconnue par l’Association américaine de psychiatrie.
…L’étude a trouvé par contre, que les niveaux d’« intensité émotionnelle » baissent tandis que les niveaux de bonheur, d’estime de soi et de tranquillité des femmes augmentent »…(Extrait).
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« les femmes qui avortent souffrent plus tard d’un « syndrome de stress post-avortement traumatique », maladie mentale qui n’est pas reconnue par l’Association américaine de psychiatrie. »
Ont…INVENTE, de toute pièce, les pro-life* ! :##
Mais chacun sait qu’ils ne reculent devant rien, allant jusqu’à commettre un…meurtre !
MALADE mental…TOI-MÊME* !!!
PS- Vite, une étude pour savoir le pourcentage de mecs qui regrettent d’avoir condamné leur partenaire sexuelle à recourir à une IVG, en omettant sciemment de mettre une capote à Popaul ?
Et juste pour information: une autre étude pour savoir de combien d’enfants -10, 50, 100 ?- des mecs désireraient subvenir aux besoins jusqu’à leur majorité en pratiquant des galipettes sans préservatif, si une juste loi les y condamnait ? (Un mâle humain est TOUJOURS(!) RESPONSABLE, pour moitié, des vies que son sperme engendre!)