Publié à l’origine sur Unwritten par Jenna Beykirch
… »Je ne suis pas en train de dire que le fait de l’avoir trompé était justifié par ses propres écarts. Je dis juste que j’y réfléchis souvent, et que je me demande pourquoi je ne me sens pas coupable d’avoir trompé Thomas. Ma réponse est invariablement la même : c’est quelque chose que je voulais faire pour moi. Ca ne fait pas de moi une salope, ça ne fait pas de moi une mauvaise personne, sans morale. Je n’ai pas grandi dans une famille qui m’aurait déséquilibrée, et je ne suis pas insensible.
Après avoir trompé, j’ai compris que je préférais de loin des relations occasionnelles à l’enfermement dans une relation malheureuse. J’ai aussi réalisé que je ne suis pas non plus faite pour tromper ; je ne pourrais pas le refaire. L’avoir trompé m’a aussi ouvert les yeux sur le fait qu’il y a dans ce monde des personnes qui me correspondent mieux que Thomas.
Je suis en paix avec mes choix et lorsque je prends un peu de recul pour contempler ma vie, je ne vois absolument rien à y changer »…(Extrait).
Ce blog, publié à l’origine sur le HuffPost Women, a été traduit de l’anglais par Mathieu Bouquet. »
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Trompeuse , « Ca ne fait pas de moi une salope, ça ne fait pas de moi une mauvaise personne, sans morale. »
Côté sexe, non; côté »moralité », cela dépend quand même, du « contrat » moral existant entre deux partenaires
Les trompeurs bénéficient, eux, d’office, d’une aura flatteuse, alors qu’eux aussi, mentent -à longueur de vie, parfois,- à leur compagne
Je suis restée incrédule quand une encore jeune blogueuse s’est fendu d’un post qualifiant une nana libre d’attaches – qui se permettait de coucher avec qui, quand, où et combien de fois elle le désirait – de…salope !!!
Alors qu’elle approuvait et collaborait à de vraies saloperies bloguestes, commises par des blogueurs…mâles :##
Y a encore du boulot !