Par Manon Bouriaud
… »Elles ont tout compris. Afin d’éviter l’extinction de leur espèce et face à l’absence de mâles dans les environs, un groupe de poissons-scie femelles s’est reproduit sans accouplement dans la nature. C’est la première fois que les scientifiques ont constaté des « naissances virginales » à cette échelle chez des vertébrés, dont la reproduction dépend normalement des rapports sexuels.
Publiée lundi 1er juin dans la revue Current Biology, une étude revient sur cette découverte faite auprès d’une population de poissons-scie tident (Pristis pectinata) dans un estuaire en Floride (aux États-Unis) »…(Extrait).
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« Le processus de parthénogenèse est assez commun chez les invertébrés, mais très rares chez les animaux vertébrés, comme l’expliquent les chercheurs…C’est la première fois que les scientifiques ont constaté des « naissances virginales » à cette échelle chez des vertébrés, dont la reproduction dépend normalement des rapports sexuels… »
Concernant des scientifiques, sûrement, mais pour ceux qui ont écrit les fables misogynes de la Bible, ce n’est pas un…scoop !
« La parthénogénèse est un mode de reproduction où lovule se développe sans fécondation. Il se présente à létat naturel chez de nombreux insectes et quelques crustacés. Dans l’espèce humaine, la parthénogénèse n’a été vue que par les yeux de la foi. »(Wikipédia).
La « naissance virginale »* biblique est bien sûr un phénomène -non vérifié, ni vérifiable!- mais affirmé, et colporté par des millions de croyants dans le monde ! 😉
La femme serait-elle… souillée(!) par le sperme, selon cette croyance* ?
« Pour faire face à l’absence de mâles dans les environs »
Vous savez ce qui vous reste à faire, les filles: par-thé-no-gé-nez(!)
pour la reproduction de l’espèce humaine, si vous jugez qu’elle en vaut encore la peine :##
Pour l’extase, pas de problème: la nature dans sa grande bienveillance a doté les nanas d’un bouton de plaisir très performant 😉
Mais pas de panique concernant le genre humain, la tendresse et la sexualité partagée: pour l’instant, il y a encore beaucoup de mâles en circulation !
Beaucoup trop même ? « Il manque désormais 163 millions de femmes en Asie »
Et en Inde certains achètent une femme qui sert à deux frères
…ou plus !
Un jour, quand la dernière femme aura été éradiquée de la planète, par des « systèmes » patriarcaux/sexistes/machistes/misogynes:
-Les mâles feront le sexe entre eux, en toute…stérilité
-Ils se coltineront toutes les tâches nécessaires à leur propreté, à leur confort et à leur survie
-Ils continueront à se battre pour le pouvoir, le fric et la domination de l’autre
Jusqu’à l’extinction du dernier mâle humain
…Qui pourra peut-être parthénogéner, lui aussi, avant ?
Et donner naissance -obligatoirement!- à un autre mâle(!), avec lequel il pourra…sexer* et se battre* !
Les *deux « idéaux » masculins, relayés jusqu’à l’overdose(!), dans la majorité des films de grande distribution, depuis l’apparition de la…1ère pellicule !:##
SAMBO NANAS 
j’espere que nous en arriverons pas la…….la parthogenese oui mais pour ne donner que des filles.de toute facon la reproduction sexuée a montrer ses limites……pourquoi ne pas faire comme chez les animaux males:congelation du sperme…..et ensuite castration!on ne garde que les spermatos X et quelque Y pour la conservation de sperme.
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Aldous Huxley et Le meilleur des mondes, ,
avec tous les êtres humains conçus en et nés d’une éprouvette,
ça ne vous dit rien ?
Ah et vive le fameux sentiment maternel,
toujours aussi fort chez certaines éprouvettes !
– 光 – Luce –
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Je n’ai jamais compris ni aimé l’expression « amour maternel »; j’apprécie le « sentiment maternel » que j’associerais plutôt avec instinct qu’avec…amour 😉
Pour moi le « sentiment maternel » signifie que l’on n’est pas obligé d’aimer son petit, mais on doit absolument le protéger et l’aider*, parce qu’il est sacrément démuni pour survivre, si on le compare à d’autres bébés des mammifères!
Mais la pression sociétale est si forte -concernant l’amour matrenel obligé- que des mères culpabilisent*, -bien qu’elles s’occupent parfaitement de leurs petits- alors que des pères continuent…bravement:## à « secouer leur caleçon », comme disait ma grand-mère, sans devenir des objets de réprobation pour la société !
°°
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