« Avortement : la dépénalisation partielle en vigueur
La Criminal Code (Amendment) Act établit quatre conditions dans lesquelles lavortement pourra être pratiqué légalement dans certains cas spécifiques, notamment les risques pour la vie et la santé de la mère. Ou alors sil y a un risque considérable que la grossesse aboutira en une malformation sévère du ftus.
Linterruption volontaire de grossesse peut également se faire dans des cas dagressions sexuelles, cest-à-dire viol, inceste ou relations sexuelles avec une mineure de moins de 16 ans. Dans le dernier cas, la femme ou la fille ne peut y avoir recours au-delà de la 14e semaine de grossesse.
Le choix de la femme reste primordial. Nous ne faisons que lui donner le choix dans certaines circonstances, plutôt que de ne pas avoir de choix. Ça a été une décision sage, courageuse et audacieuse du gouvernement, a affirmé Yatin Varma.
Ce sont les spécialistes, notamment les obstétriciens ou les gynécologues qui sont enregistrés sous la Medical Council Act, qui procureront le traitement. Il faut cependant quil y ait plainte à la police pour ces cas afin que lavortement puisse se faire. Toutefois, si une personne a fait une fausse déclaration de viol à la police dans le but dinterrompre sa grossesse, elle est passible dune peine demprisonnement ne dépassant pas 10 ans »…
***************************************************************************
« audacieuse « ?
C’est exagérément…exagéré comme qualificatif, non ?
« Nous ne faisons que lui donner le choix dans certaines circonstances( !) » » QUEL véritable « choix », lui reste-t-il dans son « choix de vie » -nombre de grossesses à assumer – à elle ?
Ce qui en ressort, en définitive, c’est que cela ne règle en rien les problèmes de pilule « mal dosée » ou oubliée, de la peur du cancer liée à son utilisation, du stérilet qui n’arrête pas de faire saigner, de la pose correcte du préservatif féminin hyper glamour(!), des « méthodes » de contraception qui foirent, du refus absolu d’avoir 15 -ou plus, jusqu’à ménopause – de grossesses ET accouchements ET élevage d’enfants. Tous ces « problèmes » sont attribués d’office aux nanas, pendant que Monsieur se réserve le droit de copuler… librement: « Des torrents de sperme …irresponsable », et la capote honnie
Zuuuut! J’oubliais : « JE baise, TU te dé-merdes » !
PS- L’article est illustré de la photo de trois…MECS(!), « statuant » sur le VENTRE des femmes, mais non pas sur le pénis/SPERME des mecs !
Ainsi va le monde des femmes, partout sur la planète :##