… » Timothy Searchinger, chercheur à luniversité de Princeton et au World Resources Institute, estime que «le problème de lavenir alimentaire durable est plus grave que ce que les gens pensent».
Le rapport de la Banque mondiale, estime que les taux de fécondité en Afrique subsaharienne, il est de 5,6 enfants par femme sont plus élevés dans les pays où les femmes ne connaissent pas les choix reproductifs qui soffrent à elles. En gros, là où elles nont pas accès à la contraception.
Gordon Cornway, dans son ouvrage One Billion Hungry fait le lien entre droits des femmes, meilleures production et consommation de nourriture et progrès futurs en termes de sécurité alimentaire. En clair, si on donne aux femmes un contrôle sur leur vie et sur leurs choix, alors les filles pourront être scolarisées plus longtemps. Elles auront des enfants plus tard. Au Mali, les femmes bénéficiant dune éducation secondaire ou supérieure ont en moyenne trois enfants; celles qui ne vont pas à lécole en ont sept.
Aujourdhui, les habitants dAfrique subsaharienne sont les plus affamés du monde. Cest donc en donnant le contrôle de leur vie aux femmes qui empêchera cette région de mourir de faim »…
(Extrait).
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« Le féminisme, arme fatale contre la famine en Afrique
Si l’on veut lutter contre la famine en Afrique subsaharienne, il faut commencer par apprendre à lire aux filles. »
Peut-être aussi distribuer des… préservatifs ?
Et pour le plus « récalcitrants », la vasectomie… d’office, avec conservation de sperme ?( La Chine a bien réussi à l’époque à imposer l’enfant… unique !)