Par Hugo PASCUAL
«Le féminisme radical» donne naissance à des pédophiles ou à des hommes «dérangés» sexuellement qui entrent dans les ordres et abusent sexuellement des enfants. Voici lavis tranché du cardinal américain Raymond Burke, rapporte The Independent.
Figure de la frange la plus conservatrice de lEglise, celui qui, lannée dernière, a été démis de ses fonctions à la tête de la plus haute cour du Vatican par le pape François, estime dans une interview pour le site The New Emangelization que «le féminisme radical, qui agresse lEglise et la société depuis les années 1960, a laissé les hommes très marginalisés».
Connu pour sa véhémente opposition à une plus grande tolérance de léglise envers les couples homosexuels et les personnes divorcées, il sen prend cette fois au féminisme qui pousse lEglise à «constamment se pencher sur les problèmes des femmes au lieu daborder les questions importantes et critiques des hommes» comme «les dons particuliers que Dieu donne aux hommes pour le bien de la société».
Il explique que les droits des femmes conduisent les hommes à grandir sans véritable identité, causant de véritables ravages plus tard dans leur vie. Des hommes qui de ce fait sont «pauvrement formés» et tombent dans «la pornographie, la promiscuité sexuelle, lalcool, la drogue et toute une gamme de dépendances».
Toujours selon Burke, la perte didentité sexuelle quentraîne chez les hommes le féminisme radical, conduit aussi les pédophiles à devenir prêtres. «Il y a eu une période où les hommes, féminisés et confus au sujet de leur propre identité sexuelle, sont entrés dans les ordres. Malheureusement certains de ces hommes souffrant de troubles, ont abusé sexuellement de mineurs» explique-t-il, «une tragédie terrible que léglise pleure.»
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«le féminisme radical, qui agresse lEglise et la société depuis les années 1960, a laissé les hommes très marginalisés».
Une certitude: l’Eglise catholique agresse les femmes depuis… plus de 2 000 an(!) Et elle est en partie responsable du mauvais sort réservé aux femmes, sur la planète
«le féminisme a laissé les hommes très marginalisés».
A l’image de ce vieux cardinal ?
Si j’étais une mauvaise langue je dirais, au vu de sa photo, qu’il ressemble à une vieille « folle » moins sympa que Michel Serrrault à l’époque, mais je ne le dirai pas bien sûr:
Chacun a le droit de se déguiser en ce qu’il lui semble devoir lui octroyer un max de respect -indu !-… d’office!