Par William Molinié avec A.C
… » Alors que plusieurs médias rapportaient que l’homicide avait eu lieu pendant un « contrôle », le ministre de l’agriculture Stéphane Le Foll a démenti cette information. Il ne s’agissait pas d’un contrôle mais d’une « démarche de conseil ». Le porte-parole du gouvernement a dénoncé « un événement grave » et précisé que ce n’était « pas le chef d’exploitation » qui était « l’auteur du crime ». Une enquête a été ouverte et confiée à la brigade de recherche de Rodez. Le procureur de la République de Rodez, qui s’est exprimé au cours d’une conférence de presse en fin de journée, a déclaré que les motivations du frère de l’exploitant « demeurent très floues ». Il assure que l’éleveur « a traîné et tué » la conseillère agricole, qui est « morte étouffée, noyée » dans l’étang »…(Extrait).
**********************************
La colère paysanne justifierait-elle toutes sortes de violences ?
Et concernant la colère des femmes, mal-traitées, dans les familles, dans la société, dans les religions, sur la planète
Ainsi que la colère des femmes mal PAYEES dans leur JOB et EXPLOITEES de façon honteusement décomplexée, à la MAISON (!), violentées et/ou violées par leur mari, etc…
Leur défoulement public violent/rage destructrice -avec…une bombe nucléaire, au moins(?)- serait autant compris et justifié que les saccages/destructions diverses/désordres sociétaux…récurrents(!), perpétrés par les agriculteurs, les chauffeurs, les taxis et autres couillus…?
PS- Séjournant en France, l’année dernière, j’avais ralenti le pas dans l’entrée d’une grande surface, -pour attendre Monamoureux que j’avais ‘perdu’ en chemin- quand un type balèze m’a tendu un ‘journal/tract’, que j’ai refusé poliment : »Non merci ». J’ai voulu continuer ma route, mais il m’a barré le chemin et fourré le papier contre ma poitrine en me disant: » C’est pour la cause paysanne ! », avec un air vraiment méchant…
Non! je n’ai pas osé lever mes… petits poings
Et j’ai été soulagée que mon homme ne soit pas présent: il s’en serait pris à lui, trop heureux de cracher sa rage…