(Ph. Non contractuelle).
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Par Christina Cautrrucci , traduit par Peggy Sastre
… »Les femmes souffrant de dépression sont quasiment deux fois plus nombreuses que leurs homologues masculins. De même, elles ont deux fois plus de risque d’être atteintes d’un trouble anxieux généralisé, d’attaques de panique ou d’une phobie spécifique. Pour autant, les études scientifiques menées sur ces pathologies, et sur le stress bien souvent susceptible de les exacerber, se sont longtemps limitées aux hommes.
Historiquement, les scientifiques ont préféré tester des populations animales exclusivement mâles, notamment pour s’éviter les complications méthodologiques liées aux fluctuations hormonales et autres cycles reproductifs des femelles (et, par extension, des femmes arrivant en bout de chaîne expérimentale). Aujourd’hui, comme le détaille un récent article de Science News, les psychologues et les neuroscientifiques se mettent enfin à différencier sexuellement les cerveaux de leurs animaux de laboratoire afin de voir si, selon le sexe, les animaux réagissent différemment au stress. Des études qui pourraient permettre, à terme, de mieux comprendre les inégalités sexuelles en matière de dépression et de troubles anxieux, et ce, afin de mieux soigner ces maladies »…(Extrait)
http://www.slate.fr/story/112985/stress-hormones-discrimination-femmes-deprimees
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Vu l’environnement sociétal, politique et religieux où les a ‘enfermées’ les mâles, depuis la nuit des temps
On pourrait se demander comment se fait-il que les femmes n’aient pas encore totalement …disparu de la planète ? ? ? :-((
C’est pour cette endurance exceptionnelle qu’elle enterrera le dernier…mâle de la planète !!!