(Pointez souris pour légende).
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Lorne Jaffe:
… »À un moment je me suis mis à répéter: « Mon père me disait que j’étais aussi énorme qu’une maison! » et je pleurais encore plus fort.
Je ne sais plus vraiment quand il a réellement dit ça. J’ai dû l’enfouir dans ma mémoire, mais je sais qu’en grandissant je voyais mon père afficher son intolérance et son cynisme envers les personnes en surpoids; ma mère et moi nous penchions du mauvais côté. Ce n’était qu’un des aspects de la personnalité de mon père qui faisait preuve parfois d’un sarcasme et d’une dureté féroces »…
La suite ici http://www.huffingtonpost.fr/lorne-jaffe/complexes-plages-hommes_b_5608656.html?utm_hp_ref=france
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Mon géniteur a toujours persévéré à me persuader que j’étais moche et nulle
Je vivais avec un sentiment de nullité, constant…
Je sais, aujourd’hui que la « vérité » paternelle, n’était pas objective, mais il reste toujours en arrière-plan
Comme un léger relent(!) de ses paroles…
Je pense que, bizarrement, ça m’a aidée à bien me construire: plus forte, plus lucide et plus indépendante…
C’est comme sur blog.fr: bizarrement(!) des blogueurs(euses) gratuitement agressifs, injurieux et violents, m’ont permis de porter ma voix jusque dans des contrées les plus reculées comme : la Papouasie Nouvelle Guinée, le Kazakhstan, le Belarus, la Finlande l’Indonésie, etc, 😉 -cf. la liste des 161 pays ci-contre
En ce qui me concerne, à un moment donné de ma vie,-après un terrible enfer conjugal- j’ai préféré saisir le « cactus » à pleines mains, plutôt que de baisser les… bras* -on va dire ça* pour rester correcte, hahaha!-
La résonnance d’un « impact » est bien sûr étroitement liée au « terreau » rencontré!
» à propos de l’enfance.
Monica Bellucci: Dans chacun de nous, il y a un enfant qui crie vengeance, même ceux qui ont eu une belle enfance. Parce que petit, on est dépendant de ses parents. Et ca peut être très violent, tout dépend des parents qu’on a en face de soi. Moi je suis quelqu’un de très indépendante, je n’ai jamais supporté qu’on me dise habille-toi comme ça, mange ça »…
http://www.7sur7.be/7s7/fr/1777/Deborah-Laurent-envoyee-speciale-a-Cannes/article/detail/856334/2009/05/16/Sophie-Marceau-se-vexe-Votre-question-est-deplacee.dhtml

C’est très intéressant. Mais j’ai eu la chance d’avoir les parents les plus formidables du monde…
Le seul léger traumatisme, c’est sur l’habillement. J’étais fagoté très mal et très arriéré par rapport aux autres élèves de la classe. Et ça a surtout été pénible quand la mixité est apparue en 4ème… J’ai ravalé ma honte… Parce que mes parents avaient peu d’argent, ma mère faisait les vêtements elle-même, avec des vieux patrons et des tissus pas chers… Alors je prenais sur moi et éventuellement j’étais de taille à cogner les railleurs…
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« éventuellement j’étais de taille à cogner les railleurs… »
Ne te fâche pas, mais j’ai toujours été…interpellée par la « facilité » avec laquelle les garçons se tapent dessus
Et tout le cercle autour qui « hurle à la mort » de l’un ou/et de l’autre…
Chacun a un « truc qui ne va pas » et qui focalise sa « honte »
Pourquoi ne pas appuyer là où ça fait mal: ce serait plus « terrible » que des coups, non ?
Ex: pôv tâche, t’a vu ta gueule ? ton nez, tes cheveux? T’as un problème avec ta quéquette ? …
Un proverbe africain dit qu’on oublie des coups, mais jamais une injure
Bon, évidemment, si l’autre en vient à frapper il faut répondre 😉
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