1 147 pages vues hier; merci pour l’intérêt ! :-))

(Pointez souris pour légende).
Mer à 28° à côté du bateau et soleil de feu à Maya Beach, c 'est si ...bon !(sur l'air de la chanson

« Au cours de ma vie, mes plus grands bienfaiteurs ont été les voyages et les rêves. »
Lettre au Greco: souvenirs de ma vie de Nikos Kazantzakis.

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 » La maison Kessel -et celle de Tingy ;)- est une auberge ouverte sur le monde, que les vents traversent en une lancinante complainte, celle de l’appel au voyage. »
Kessel, le nomade éternel.

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« En voyage vous perdez vos convictions aussi facilement que vos lunettes, mais il est plus difficile de les remplacer. »
Tour du monde d’un sceptique de Aldous Huxley.

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 » La vie est un voyage. Le voyage est court. Essayons de le faire « en première classe ». »
Jean D’Ormesson ou l’élégance du bonheur.

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« L’eau qui stagne immobile et sans vie devient saumâtre et boueuse. Au contraire, l’eau vive et chantante reste pure et limpide. Ainsi, l’âme de l’homme sédentaire est un vase où fermentent des griefs indéfiniment remâchés. De celle du voyageur jaillissent en flots purs des idées neuves et des actions imprévues. »
Gaspard, Melchior et Balthazar de Michel Tournier

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« Les voyages donnent aussi une très grande étendue à l’esprit : on sort du cercle des préjugés de son pays, et l’on n’est guère propre à se charger de ceux des étrangers. »
Mélanges inédits de Montesquieu.

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« Le temps se dilue quand on voyage. »
Aude Le Corff

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 » Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage, Ou comme cestuy-là qui conquit la toison, Et puis est retourné, plein d’usage et raison, Vivre entre ses parents le reste de son âge !. »
Joachim du Bellay

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(dicocitations.com/citations-mot-voyage-)

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Merci pour la visite et douce nuit !

"Nous avons atteint un niveau de bassesse" …

Source Sipa Media :

« Nous avons atteint un niveau de bassesse »

Réagissant aux propos Sophie Marceau qui avait traité le président de « goujat » et de « lâche » dans le magazine QG, l’icône du cinéma français les a jugés « extrêmement grossiers ».

…Une sortie que n’a pas du tout appréciée,Catherine Deneuve, comme elle le fait savoir dans La Nouvelle République : « Je trouve ça très grossier. Extrêmement grossier. Je suis étonnée de voir la facilité avec laquelle les gens – dont les journalistes – parlent du président de la République. Les couvertures des journaux avec Flamby… Je trouve ça honteux. Nous avons atteint un niveau de bassesse. Il y a quand même d’autres choses à dire ! »

L’héroïne des Parapluies de Cherbourg tient visiblement à ce que l’on respecte la fonction présidentielle, quel que soit le locataire de l’Élysée. « Je comprends qu’on puisse lui reprocher des choses, mais pourrait-on rester sur un terrain un peu plus élevé, quand même ? Un goujat et un lâche ! On dirait qu’on parle du mari de sa meilleure amie qui vient d’être quittée… Je trouve ça incroyable », s’indigne l’actrice de 70 ans, en pleine promo pour le dernier film de Pierre Salvadori, Dans la cour.

Trop désinvolte, Sophie Marceau ? Catherine Deneuve semble en tout cas considérer qu’elle manque cruellement de retenue : « Je ne parlerais pas du président de la République comme ça, que je l’aime ou pas. Et elle [Sophie Marceau] précise qu’elle n’a pas voté pour lui ? Mais ça ne regarde qu’elle ! Les isoloirs sont faits pour ça » …

http://www.lepoint.fr/people/quand-catherine-deneuve-defend-francois-hollande-17-04-2014-1814073_2116.php

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« Je ne parlerais pas du président de la République comme ça, que je l’aime ou pas…Nous avons atteint un niveau de bassesse » …

En effet, autres temps autres mœurs ?

« Un niveau de… bassesse » affirme-t-elle ?

Jusque sur blog.fr ! Un vieux machin* très imbu de sa personne, n’hésite pas à venir sur mon blog pour me traiter de « con » [pas « conne » mais con ;)] -l’origine* peut-être ?- parce que j’ai le toupet d’écrire des articles qui lui déplaisent ! (Il faut que je précise que je ne vais pas sur son blog: ceci explique sûrement cela)

Il m’avait lancé une invitation, -quand il s’était mis sur blog.fr,- que j’avais acceptée avant de comprendre qu’il ne cherchait qu’à se constituer rapidement une petite cour, chargée de… commenter(!) SES articles. J’ai précisé, assez rapidement aussi que je m’en retournais à mes nanas, ce qui a dû froisser son petit ego! C’est fragile, finalement ces vieux machins :yes:

« Nous avons atteint un niveau* de bassesse » ?

Sans aucun doute ! Dû* à l’éducation au…respect d’autrui(!), reçue des parent ou… pas ! :##

Après, c’est trop tard: le « vernis » -quand il y en a un !- finit par craquer un jour ou l’autre: alors viennent le dénigrement et l’insulte au lieu de l’argumentation dans la tolérance …

Merci Mme Deneuve pour votre remarque !

15 ans, nourrie avec de l’eau et du pain dans un garage, avec un chien et un singe…

« Avec du pain et de l’eau pour seuls aliments, la jeune fille ne pesait que 20 kg quand elle a été recueillie. Hospitalisée, elle a confié qu’elle n’avait été autorisée à sortir qu’à deux reprises en neuf ans…

En 2001, sa mère naturelle l’avait confiée en adoption, incapable de subvenir aux besoins d’un 8e enfant. Pendant les premières années, elle a reçu des visites de sa famille biologique, avant qu’elles ne cessent en 2005.

Le couple adoptif, adepte du culte de la Sainte-Mort très répandu en Amérique latine et considéré païen par l’Eglise, a été interpellé et mis en examen pour mauvais traitements, privation illégale de liberté et esclavagisme.

C’est la soeur de la victime, âgée de 18 ans, qui a retrouvé sa trace et alerté les forces de l’ordre.(Extrait).

http://.nouvelobs.com/monde/20140417.OBS4263/argentine-enfermee-9-ans-dans-un-garage-par-ses-parents-adoptifs.html?cm_mmc=EMV-_-NO-_-20140417_NLNOACTU17H-_-enfermee-9-ans-dans-un-garage-par-ses-parents-adoptifs#xtor=EPR-3-%5BActu17h%5D-20140417

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« En 2001, sa mère naturelle l’avait confiée en adoption, incapable de subvenir aux besoins d’un 8e enfant. »

Le récit ne précise pas si le ou les géniteurs des 8 enfants ont prévu, après l’adoption, de baiser, enfin, avec une capote ou pas ? :##

"Sacrés Français!" de Stanger Ted

Peter Bu (Visiteur) -http://www.aneries-sur-les-femmes.fr :

 » A ce sujet, vous pouvez lire Stanger Ted « Sacrés Français! ». Stanger, journaliste de Newsweek qui a fait le tour du monde et vit depuis longtemps en France, nous connait bien.
« Langue de bois : première langue étrangère enseignée dans les « Grandes écoles.» »
« La France est peut-être la première destination touristique du monde, mais ce n’est pas l’hospitalité française qui en est responsable. » Il n’est pas tendre (mais il sait être drôle).

Après, pour vous remettre de l’image qu’il donne des Français, lisez son « Sacrés Américains! ». « … ont voit chaque année débarquer (en France) des hordes de touristes américains si parfaitement fidèles aux pires stéréotypes. Lourdauds, bruyants et habillés comme des « kids » de 10 ans, ils ont le culot d’entrer dans des magasins en présumant que le personnel parle anglais. Eh bien, chers Français, sachez que ces contingents sont nos élites ! Les Américains qui ne voyagent pas sont bien pires. »

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J’ai pu constater pour ma part, que beaucoup de « voyageurs » osent faire ailleurs ce qu’ils n’oseraient pas faire dans leur propre pays:##

PS- Merci pour l’info, Peter !

"Des hommes sont devenus des chiens. Ils sont là. Et parmi eux de plus en plus de loups."

Par Benoît Rayski, historien, écrivain et journaliste:

 » Silence on viole !

Ce qui s’est passé dans cette ville de l’Essonne donne envie de vomir. Mais aussi permet de s’interroger sur une surdité collective…

…Une jeune fille de dix huit ans sort du RER. Sous la menace d’un couteau elle est entraînée dans un terrain vague. Et pendant deux heures elle est violée et re-violée. Torturée. Battue jusqu’au sang. Il faut bien que jeunesse se passe…
Les auteurs ont été arrêtés. Des mineurs dont un multirécidiviste déjà condamné pour viol. Ils vivent dans un foyer de la région. Ils sont âgés de 11 (11 ans !) à 17 ans. Un juge les a mis en examen pour viol avec « actes de barbarie ». Interrogé par lui ils ont invoqué une circonstance atténuante : « toutes les Françaises sont des putes. » Ce qui leur a valu une inculpation supplémentaire pour « racisme ».

…Alors parlons-en. Pourquoi ? Non pas pour eux : ils sont déjà perdus. Mais pour leurs copains, leurs familles, leurs amis. Pour des milliers d’autres qui doivent savoir que ce genre de sauvagerie ne sera ni accepté ni impuni. Pour des millions d’autres qui, eux, ont besoin de savoir qu’ils seront protégés et que les criminels seront punis. C’est ce qui se passerait si les journaux faisaient leur travail au lieu de s’intéresser uniquement à un notaire escroc, un conseiller municipal corrompu, ou un banquier indélicat.

On vérifiera au moment du procès des jeunes barbares la publicité accordée au verdict. Quant à Marseille un voyou tue un autre voyou à la kalachnikov ça fait du bruit. Beaucoup de bruit. Les ministres défilent les uns après les autres dans la citée phocéenne. Et même le premier d’entre eux. Mais il semblerait qu’une jeune fille violée ne vaut pas un dealer abattu…
Naguère pour évoquer les petits faits divers (rien à voir avec celui-ci) on parlait dans les journaux de « chiens écrasés ». Cela valait juste quelques lignes. Mais le viol d’Evry aurait certainement fait la « Une ». Pierre Lazareff, grand journaliste s’il en fut, répétait cette maxime à ses collaborateurs. « Un chien qui mord un homme c’est sans intérêt, mais un homme qui mord un chien… » Eh bien nous y sommes. Des hommes sont devenus des chiens. Ils sont là. Et parmi eux de plus en plus de loups.

Read more at http://www.atlantico.fr/decryptage/france-orange-mecanique-evry-violee-parce-que-toutes-francaises-sont-toutes-putes-benoit-rayski-1044244.html#xi1e5yRlgZ88ceJK.99

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« Pierre Lazareff, grand journaliste s’il en fut, répétait cette maxime à ses collaborateurs. « Un chien qui mord un homme c’est sans intérêt, mais un homme qui mord un chien… » Eh bien nous y sommes. Des hommes sont devenus des chiens. Ils sont là. Et parmi eux de plus en plus de loups. »

En effet !

« toutes les Françaises sont des putes », se justifient les violeurs…

No comment, sinon je risque d’être traitée de raciste, concernant les violeurs, moi aussi ! Et avec raison: j’ai toujours été emmerdée grave par les « mêmes » !!!

Viols dans l’armée: " témoignage du capitaine Carole’

AFP

« les violences sexuelles dans l’armée ne touchent pas que les soldates du rang: son grade de capitaine n’a pas protégé Carole, qui raconte à l’AFP les mois de harcèlement puis le viol qu’elle a subi de la part de son supérieur hiérarchique.

Alors que le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian doit présenter un rapport sur «la prévention des risques de harcèlement sexuel et moral» dans l’armée française, cette jeune femme de 35 ans, qui témoigne sous couvert de l’anonymat, raconte les mois de calvaire auxquels elle a mis fin en démissionnant.

«C’était mon colonel, mon chef de corps, j’étais directement sous ses ordres», dit-elle. «Un jour, sans que j’aie rien vu venir, lors d’un déplacement il m’a déclaré sa flamme. J’ai été très embarrassée, c’était mon supérieur direct. J’ai décliné, je lui ai expliqué que j’étais mariée, que ce n’était pas possible».

«Cela peut arriver partout, dans n’importe quelle entreprise, mais le problème est qu’à partir de ce moment il s’est autorisé à être insupportable», poursuit-elle. «Comme si je ne pouvais pas ne pas lui succomber. Le harcèlement a commencé: il m’a bombardé de mails et de textos du genre +je pense à toi+ ou +tu me rends dingue+, m’a fait venir sous tous les prétextes dans son bureau, a tenté de me toucher la cuisse, le genou, de me prendre la main».

– «J’étais terrorisée» –

Elle ajoute que son chef, commandant le régiment dans lequel elle avait une fonction de cadre, s’est fait de plus en plus insistant jusqu’au jour où, à l’occasion d’un déplacement professionnel à Paris, il l’a agressée et violée.

«J’ai mis des mois à pouvoir en parler, à oser prononcer le mot de viol», dit-elle. «Je m’en suis voulue, je me disais : on fait des sports de combat et je n’ai pas été capable de l’arrêter, de lui jeter quelque chose à la tête. Mais dans ce cas on est terrorisée. J’étais terrorisée».

Carole constitue un dossier, se rend à Paris, saisit les instances supérieures de l’armée de terre. «Il y a eu une enquête interne, mais les loups ne se mangent pas entre eux», accuse-t-elle. «Tout ce que j’ai obtenu est un coup de téléphone du général de la brigade qui m’a dit: +Ne faites pas de vagues+. Alors j’ai porté plainte au civil».

Accusé de viol et de harcèlement sexuel, le colonel, qui depuis a pris sa retraite de l’armée, est convoqué par les gendarmes qui le placent 48 heures en garde à vue puis le libèrent. Il est mis en examen.

«Le viol est un crime, il risque les assises mais quand ? Je n’ai plus confiance», dit Carole. «Le comble est que l’armée fonctionne sur des principes de stricte discipline, on obéit aux ordres, mais est incapable de s’appliquer ses propres principes».

La parution fin février d’un livre-enquête sur le sujet, la rédaction du rapport remis mardi au ministre, «tout cela est bien. Les choses bougent un peu. Mais c’est insuffisant», estime-t-elle. «Parce que c’est toujours pareil: à la fin, ce sont toujours nous qui partons. Ce sont les victimes qui partent et les agresseurs qui restent sans être inquiétés».

http://www.liberation.fr/societe/2014/04/15/violences-sexuelles-dans-l-armee-le-temoignage-du-capitaine-carole_997841

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«J’ai mis des mois à pouvoir en parler, à oser prononcer le mot de viol», dit-elle. «Je m’en suis voulue, je me disais : on fait des sports de combat et je n’ai pas été capable de l’arrêter, de lui jeter quelque chose à la tête. Mais dans ce cas on est terrorisée. J’étais terrorisée».

Un jour que l’on avait invité un prof de fac ami- il a écrit un livre sur Martin Luther King et un autre sur Kennedy qui font référence- et sa compagne à déjeuner, il m’a suivie dans la salle à manger (les autres se trouvaient dans le salon), et m’a tripotée pendant que je me débattais…en silence !!! J’ étais enceinte jusqu’aux yeux !

Mon ex-mari prof de gym aurait dit que c’était de ma faute…(Il avait beaucoup d’admiration pour les hommes de lettres, lui le « physique » tout en muscles)

Ce serait aujourd’hui ?

Je lui arrache les testicules avec les… dents si nécessaire !

Kiffer un morceau sympa, sans subir les trémoussements porno des chanteuses ???

« Par Alice Pfeiffer

“Regarde comme j’ai l’air d’être un bon coup, d’ailleurs la levrette c’est ma spécialité” semble dire Miley Cyrus à chaque fois qu’elle exécute fièrement ses quelques mouvements de twerk amateurs, le tout agrémenté d’une langue pendouillante.

Et c’est, grosso modo, le message sous-jacent de ses coéquipières qui s’adonnent au même secousses de bassin évocatrices : Rihanna plus bonne que la plus bonnes de ses copines au bord d’une piscine (le tout documenté sur son compte Instagram), Kim Kardashian pour faire monter l’audimat de son show de télé réalité, Katie Perry pour se démarquer de la chanteuse pop moyenne.

Sexiste, cette danse ? Bien au contraire, vous assureront certains spécialistes. Si seulement ces starlettes avaient pris le temps d’en lire son histoire, elles y découvriraient une expression d’indépendance des carcans hétéronormés.

Le mouvement voit le jour dans les années 90 à la Nouvelle Orléans, au cœur de la scène très queer « Bounce », notamment avec la chanson de DJ Jubilee « Do the Jubilee All » en 1993, où il invite les foules à twerker en groupe. Des trémousses qui ne sont pas sans rappeler des danses rituelles afro telles que la Capoiera au Brésil ou le Mapouka en Côte d’Ivoire.“Des populations d’esclaves exécutaient ces danses tout au long du commerce triangulaire, afin de mettre en processus et en mouvement un travail de mémoire” explique Fannie Sosa, twerkeuse féministe engagée, doctorante en la matière, qui donne des conférences et des cours d’initiations. Pour elle, cette danse est l’héritière de ces rituels anciens, car elle est née au sein de groupes marginalisés, ghettoïsés, aux périphéries de la société. “On bootyshake pour se rappeler qu’on est en vie et qu’on est libre. Le corps sort de son emprisonnement social.”

Et si le twerk a été recyclé par la culture rap et hip-hop, mettant exclusivement en scène des femmes imitant des positions sexuelles synonymes de domination (doggy style etc.), son versant plus éthique est la clé d’un bootyshake féministe. Comme à ses débuts, hommes, femmes, queers, trans secouent en unisson leur “carrefour du corps” aux cours de Fannie Sosa. Chacun imite pénétrant et pénétré, dominant et dominé pour réunir “ces deux forces habituellement scindées dans la société” et se souvenir que chaque humain est l’origine d’un acte sexuel »…(Extraits)
http://obsession.nouvelobs.com/pop-life/20140418.OBS4446/samedi-11h-secouer-ses-fesses-pour-l-egalite-des-sexes-le-twerk-peut-il-etre-feministe.html?cm_mmc=EMV-_-NO-_-20140419_NLNOACTU17H-_-secouer-ses-fesses-pour-l-egalite-des-sexes-feministe-le-twerk

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Des com

« Après les seins, les fesses. Il existerait donc une twerkeuse …féministe (???) engagée doctorante en la matière… les bras m’en tombent. On est mal barrées les filles !  »

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« La femme ne peut pas tomber plus bas ,elle a atteint une niveau de vulgarité qui frôle le malaise  »

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« Si c’est cela qu’on appelle lutter pour le féminisme … alors je n’ai sûrement rien compris à la cause ! Voir toutes ces chanteuses de plus en plus dénudées se trémousser en prenant des poses alanguies, c’est sûrement agréable pour les hommes qui regardent, mais je ne vois pas en quoi c’est « féministe » ?  »

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« Un niveau de vulgarité qui frôle le malaise  » ?

En effet ! :##

Sur Caal+, De Caunes, dans un petit clip, singeait je ne sais plus quelle « trémousseuse porno/chanteuse célèbre », en léchant le mur devant lui tout en simulant l’acte sexuel; la chanteuse/trémousseuse en question, présente sur le plateau a quand même manifesté de la…gêne

On la comprend !

Quand on kiff un morceau sympa, on ne désire pas forcément une séquence porno en accompagnement – du moins si on n’est pas un mec! 😉

"Tu sens la pute"…(García Márquez)

Par Par Didier Jacob:

« Tu sens la pute »…

García Márquez passe ses vacances en famille, à Sucre, et approfondit sa connaissance du corps féminin.

On l’appelait Nigromanta. Elle allait fêter ses 20 ans à Noël, et avait un profil d’Abyssine et une peau chocolatée. Au lit elle était joyeuse. Elle jouissait par saccades voraces et elle avait de l’amour un appétit qui ne semblait pas humain tant il était endiablé.

Le premier assaut nous rendit fous. Son mari, un géant avec une voix de petite fille, comme Juan Breva, avait été officier de police chargé du maintien de l’ordre dans le sud du pays, et il avait la mauvaise réputation de tuer des libéraux à seule fin de ne pas perdre la main. Ils vivaient dans une pièce divisée par un paravent de carton, avec une porte donnant sur la rue et une autre sur le cimetière. Les voisins se plaignaient de ce que Nigromanta dérangeait les morts par ses hurlements de chienne comblée, mais plus elle hurlait de plaisir plus les morts devaient se sentir heureux d’être dérangés par elle.

La première semaine, je dus m’échapper de la chambre à quatre heures du matin parce que nous nous étions trompés de jour et que l’officier pouvait arriver d’un moment à l’autre. Je sortis par la porte donnant sur le cimetière et courus entre les feux follets, poursuivi par les aboiements des chiens nécrophiles.

Sur le deuxième pont du canal, je vis s’avancer une masse colossale que je ne reconnus qu’au moment où nous nous croisâmes. C’était le sergent en personne, qui m’aurait trouvé dans son lit si j’avais tardé cinq minutes de plus. «Bonjour petit Blanc», me dit-il sur un ton cordial. Je lui répondis sans conviction: «Dieu vous garde, sergent.» Il s’arrêta pour me demander du feu. Je craquai une allumette et m’approchai de lui pour protéger la flamme du vent de l’aube. Quand il se redressa, la cigarette allumée, il me déclara sur un ton enjoué: «Tu sens la pute que c’en est indécent.»

Ma peur s’évanouit plus vite que je ne l’aurais cru car le mercredi suivant je m’endormis, et en ouvrant les yeux je trouvai devant moi un rival outragé qui me contemplait en silence, debout au pied du lit. Ma terreur était si grande que j’avais du mal à respirer. Nigromanta, aussi nue que moi, tenta de s’interposer, mais le mari l’écarta du canon de son pistolet en disant: «Te mêle pas de ça. Les affaires de lit se règlent avec du plomb.» Il posa le revolver sur la table, déboucha une bouteille de rhum, la posa à côté de son arme et nous commençâmes à boire sans dire un mot, assis l’un en face de l’autre.

Peu après, Nigromanta apparut, enveloppée dans un drap et toute prête à faire la fête, mais il braqua son pistolet sur elle et lui dit: «C’est une affaire d’hommes.» D’un bond, elle se cacha derrière le paravent. Nous avions vidé la première bouteille quand le déluge s’abattit. Le géant déboucha la deuxième, appuya le canon de son arme sur sa tempe et planta sur moi des yeux glacés. Il pressa la détente, mais un claquement sec retentit. Il pouvait à peine contrôler le tremblement de sa main quand il me tendit le revolver. «A toi», dit-il.

C’était la première fois que je tenais une arme dans mes mains et je fus surpris de la sentir si lourde et si chaude. Je ne savais pas quoi faire. Une sueur glacée coulait dans mon dos et mes entrailles bouillonnaient d’une écume brûlante. Je n’eus même pas l’idée de tirer sur lui et lui rendis le revolver sans me rendre compte que je renonçais à ma seule chance. «Quoi? Tu chies dans ton froc? s’écria-t-il, ironique et méprisant. Tu aurais pu y réfléchir avant de venir ici.»

Alors le sergent ouvrit le barillet, en sortit la seule douille qu’il contenait et la jeta sur la table: elle était vide. Ce que j’éprouvai en cet instant s’apparentait beaucoup plus à une humiliation terrible qu’à un soulagement.

A quatre heures, l’averse s’était calmée, mais la tension nous avait épuisés et je ne me rappelle pas à quel moment il me donna l’ordre de me rhabiller. J’obéis avec la solennité qu’exigeait un duel. Au moment de me rasseoir, je m’aperçus que c’était lui qui pleurait. Au bout d’un moment il se moucha dans ses doigts et se leva. «Tu sais pourquoi tu repars vivant?», me demanda-t-il. Et il répondit comme pour lui-même: «Parce que ton père est le seul qui ait réussi à me guérir d’une saloperie de chaude-pisse dont personne en trois ans n’avait pu venir à bout »… (Extrait)

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« L’auteur de « Cent ans de solitude », mort à l’âge de 87 ans, a raconté dans ses Mémoires sa première visite au bordel, sa découverte de Cervantès et la première fois où une arme à feu s’est posée sur sa tempe ». Extraits ici:

http://bibliobs.nouvelobs.com/documents/20140418.OBS4399/toutes-les-vies-de-gabriel-garcia-marquez.html?cm_mmc=EMV-_-NO-_-20140419_NLNOACTU17H-_-toutes-les-vies-de-gabriel-garcia-marquez

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«Tu sais pourquoi tu repars vivant?», me demanda-t-il. Et il répondit comme pour lui-même: «Parce que ton père est le seul qui ait réussi à me guérir d’une saloperie de chaude-pisse dont personne en trois ans n’avait pu venir à bout »…

Elle devait être vraiment…géante sa chaude-pisse 😉

Escort pour… femmes(!) : " Désir et « indépendance » sexuelle, assumés" ?

Par Ingrid Seyman :

…  » Selon la dernière étude Ined-Inserm, 70 % des Français estiment que les hommes ont plus de besoins sexuels que les femmes. Dans l’imaginaire collectif, un homme à femmes reste « un coureur », tandis qu’une femme « célibataire » ayant une vie sexuelle très active continue à être mal vue. En ayant recours à des escort boys et en le faisant savoir, leurs clientes brisent donc des clichés tenaces, mais surtout des tabous.

Marie Claire : Ces pratiques sont-elles révélatrices d’une nouvelle forme d’égalité sexuelle entre les genres ?

Tout dépend de la nature des prestations demandées !

Lorsqu’une femme demande à un escort de l’« accompagner » à un dîner mondain pour éviter d’être « mal vue » ou perçue par les autres couples comme une menace… sa démarche s’inscrit dans la répétition de schémas ancestraux. Le cas des femmes qui s’offrent les faveurs d’un homme est complètement différent. On est là en présence d’un désir et d’une « indépendance » sexuelle assumés.

Ce genre de pratiques illustre à sa façon une plus grande indifférenciation entre les genres et, in fine, un accès aux mêmes plaisirs et libertés. En ce sens, le phénomène des escort boys dessine aussi les contours d’une société plus égalitaire, où les femmes sont enfin « autorisées » à concrétiser leurs désirs »… (Extraits)

http://www.marieclaire.fr/,escort-boys-ils-nous-disent-ce-que-veulent-vraiment-les-femmes,20258,41469.asp#/xtor=cs1-170-%5Barticle_simple%5D-%5B696086%5D-%5Bles_plus_lus_lien_3%5D-%5Bbloc_tops%5D?slide=6

(*) Dernier ouvrage paru : « Guerre des sexes : stop ! » (éd. Flammarion).

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« En ce sens, le phénomène des escort boys dessine aussi les contours d’une société plus égalitaire, où les femmes sont enfin « autorisées » à concrétiser leurs désirs »…

« S’autorisent » serait plus juste !

Car : « une femme « célibataire » ayant une vie sexuelle très active continue à être mal vue. En ayant recours à des escort boys et en le faisant savoir, leurs clientes brisent donc des clichés tenaces, mais surtout des tabous. »

Kom tu ve tu choize:

Aucun mec n’est autorisé à dicter sa conduite à une femme; encore moins à gérer sa vie sexuelle !

Le sexualité de chacun(e) est un choix strictement personnel -dans le respect de tous !

Hier 1 194 pages vues et moi absente; sorryiiiiiiiiiiiii !

(Pointez souris pour légende ).

Merci pr votre présence, même qd j'suis ailleurs !(l'une des 4 ïîes)

On attend un minibus pour « monter » sur Krabi. Puis big bus pour le port de Don Sak, ensuite ferry pour Koh Pha Ngan et enfin taxi pour atteindre la plage et l’hôtel à Haab Salad…à l’heure où le soleil plonge dans la mer ! (Un pont en construction, doit remplacer les 2 bacs qui joignent Koh Lanta au « continent »: 1 heure et demie d’attente…)

Merci pour la visite et douce nuit 😉