Par Hélène Mendigot,
« Quun homme regarde des films X « nest pas le signe obligatoire dune insatisfaction sexuelle », rassure Alain Héril, sexothérapeute, psychothérapeute.
Votre compagnon cherche ainsi à alimenter son imaginaire. « Les images pornographiques attisent les fantasmes et lui permettent de vivre une sexualité que lon ne peut pas expérimenter en temps normal », explique le spécialiste.
Pour autant, ce nest pas parce que votre homme navigue (par exemple) sur les sites sado-maso quil a forcément envie de vous ligoter ou de se faire piétiner par vos talons aiguilles !
« Il sagit juste dune excitation voyeuriste, précise Alain Héril. Et quand on sait limportance majeure du visuel chez les hommes… ». Peut-être est-il préférable de le laisser faire »
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» Et quand on sait limportance majeure du visuel* chez les hommes… ».
*AUCUN doute là-dessus, hahaha !
Mais la phrase du sexomachin m’a assise sur le Q :
« Peut-être est-il préférable de le laisser faire »
On dirait des conseils qu’il donnerait à une…maman, pour son …PETIT garçon gourmand de friandises !
Beurk !
La sexualité de chacun (dans le respect d’autrui), ne regarde QUE lui ou elle !
Quant au partenaire, il réagit selon…SA propre sexualité et…SON propre CHOIX de vie 😉 !
Le GROS problème ?
Les nanas ont appris (formatage sociétal, concurrence, lassitude, facteur de paix en couple, valorisation de l’image sexuelle de soi, etc…), non pas à SE faire plaisir, mais à faire plaisir aux mecs…
Même concernant des pratiques qui les révulsent
Mais qu’elles se…PERSUADENT(!)trouver…NORMALES*(!),les concernant, ELLES*:## !
La sexualité que l’on mérite ?
SAMBO NANAS 
bien vu tout ça, c’est que la sexualité n’est morale, rien n’est vraiment à rejeter, seulement, si c’est librement consenti, et voulu, il faut vraiment que cela entre dans nos consciences, plus de sexualité ou de pratiques, que l’on a pas envie, sinon c’est de la manipulation, de la domination, mais pas du sexe, aussi extravagant qu’il puisse être.
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« plus de sexualité ou de pratiques, que l’on a pas envie, sinon c’est de la manipulation, de la domination, mais pas du sexe, aussi extravagant qu’il puisse être. »
Exact 😉
« extravagant », je trouve que c’est bien le mot qui convient, concernant le sexe aujourd’hui
No limit !
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bonjour
oui c’est vrai, que le sexe est aujourd’hui traité avec beaucoup de bizarrerie, mais tu sais, si on se plonge dans l’histoire, dans le passé, certains peuples allaient même encore plus loin, que nous, par exemple quand j’ai lu le kama sutra, j’ai été sidéré, par leur tolérance, et même les pratiques, qui y sont décrites.mais cette médiatisation change tout, mais il est certain ,je dois le dire, que certaines pratiques, quand même me choquent, et comment on décrit soi disant,la sexualité dans la pornographie, c’est affligeant.
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» et comment on décrit soi disant, la sexualité dans la pornographie, c’est affligeant. »
Surtout pour les minots qui…s’éduquent(!) à la sexualité…avec le porno!
Tu sais ce qui me dérange avec la Kama Sutra ?
C’est cette façon de « retourner » essentiellement…la nana, dans tous les sens
Comme un objet UNIQUEMENT destiné au plaisir de l’homme 😉
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oui pour les enfants c’est sur la pornographie, c’est vraiment un sale truc, ça c’est sur, car ils croient que c’est ça
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Je ne te parle même pas de l’image de femme « salope », véhiculée :##
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Des nanas m’ont confié -dans les messages perso- que telle ou telle position du Kama Sutra*, « explorée » par leur mec, leur était désagréable ou carrément… douloureuse (J’ai déjà posté des articles sur ce sujet* )
Quand je leur ai demandé si elles avaient partagé ce ressenti avec leur partenaire, la réponse a été…non !
« affligeant. » comme tu dis 😉
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c ‘est vraiment une question à se poser, si c’est voulu, ou faire plaisir simplement à son mec, la je me pose vraiment une question, si vraiment plein de personnes ont dit qu’elles n’y ont pas pris de plaisir, d’abord, c’est terrible pour elle, car elles ont accepté un truc qui leur plaisait, et de la part de son mec, c’est un viol; pour moi, et comment le type, n’a t’il rien vu, c’est vraiment terrible, parce que le type a faut vraiment un sale truc, et pourquoi sa compagne a juste pas dit non, dans un couple normal, c’est légitime, c’est une question vraiment terrible pour moi.
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Je pense qu’une majorité de nanas est à reformater, question sexualité: leur apprendre à ne plus simuler, et à rechercher…LEUR plaisir, à… elles 😉
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oui je pense aussi, ça serait bien, je suis d’accord, rien de pire que simuler
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Je pense que ce conditionnement* sexuel féminin n’est pas près d’être éradiqué: des scènes de sexe dans des films ordinaires, sont là pour le rappeler au bon souvenir de ces dames! Hahaha !
Mais c’est souvent, vraiment trop…caricatural: juste mis pour exciter des mecs 😉 !
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Le conditionnement sexuel féminin tel qu’on le connaît aujourd’hui
n’a rien d’une malédiction édictée par un quelconque Dieu macho,
C’est la résultante d’un patient travail de désinformation et de culpabilisation
mené par une pléthore de générations de mâles complexés.
Aujourd’hui, il est temps que les femmes en prennent conscience
et surtout, refusent d’avaler une telle couleuvre.
J’ai moi-même eu la chance d’être éduquée très jeune (15 ans)
à l’art taoîste zen (*) d’aimer
et le conditionnement en question,
je serais bien curieuse de voir le premier mec
qui essaiera de me le transmettre
et qui ne sera pas reçu et salué d’un magistral éclat de rire !
– Non, mais ! –
Et si jamais il voulait tenter de me l’imposer,
je lui conseillerais simplement d’office
de bien numéroter ses abattis avant sa tentative,
En ces domaines et face à des gros bras agressifs,
ma mèche est vraiment très courte…
(*) cf. il comprend, entre autres,
la version chinoise du Kama-Sutra,
(en fait antérieure à ce dernier,
mais sans toutes les considérations puériles sur la société
et les rôles de l’homme et de la femme en société,
qui constituent en fait la majeure partie
des dits Kama Sutras indiens).
C’est plutôt un guide essentiellement pratique
sur l’art de jouir et de faire jouir
tout en prenant la vie du bon côté,
celui du bonheur tout simplement.
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« Le conditionnement sexuel féminin tel qu’on le connaît aujourd’hui
n’a rien d’une malédiction édictée par un quelconque Dieu macho,
C’est la résultante d’un patient travail de désinformation et de culpabilisation
mené par une pléthore de générations de mâles complexés. »
Comment tu parles des… mecs, toi, hahaha !
Mais, je confirme: » des générations de mâles complexés. »
Hélas pas près de lâcher leurs armes misogynes, utilisées de façon
Décomplexées !
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Zut, j’ai oublié de te demander dans quel pays tu vadrouilles en ce moment ?
Aux dernières nouvelles tu étais au Costa Rica 😉
Je pense que j’y retournerai, un jour, pour y séjourner quelques temps: j’y ai ressenti des « vibrations » super sympa, à cause de l’authenticité de sa nature, déjà…
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En ce moment je mène « la grosse vie sale » comme diraient mes « copains » de chez Bombardier Aéronautique, pas loin de chez moi au Costa-Rica, ce cher pays sans armée que j’ai décidé de faire mien à 18 ans et à me détendre surtout à faire de la plongée en apnée en eau douce, dans une des multiples réserves écologiques de la région (= 164 pour 26% de la surface totale du pays. (= Quel % en France ?).
L’hiver dernier, j’ai eu deux contrats assez corsés à respecter, – ce qui fut fait malgré tout, ouf ! -, mais ce fut assez payant et stressant pour que je m’octroie maintenant des vacances (bien méritées!)
Ici » l’authenticité de sa nature », n’a d’égal que celle de ses habitant(e)s que j’en suis venue à apprécier vraiment beaucoup.
Luce
PS: un autre pays de ce continent qui m’intéresse beaucoup et où je compte bien aller faire une virée bientôt, c’est l’Uruguay (là non-plus, il n’y a plus d’armée, dont la totalité du budget sert maintenant à offrir l’accès à l’école pour toutes et tous et dont le président (Pepe Mujica) a fait don de la totalité de son salaire de président à une fondation dédiée à aider les enfants en difficulté, lui-même n’ayant pas d’enfant et ne vivant que des maigres revenus de sa ferme qu’il juge amplement suffisants pour ses besoins.
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Luce- « PS: un autre pays de ce continent qui m’intéresse beaucoup et où je compte bien aller faire une virée bientôt, c’est l’Uruguay (là non-plus, il n’y a plus d’armée, dont la totalité du budget sert maintenant à offrir l’accès à l’école pour toutes et tous et dont le président (Pepe Mujica) a fait don de la totalité de son salaire de président à une fondation dédiée à aider les enfants en difficulté, lui-même n’ayant pas d’enfant et ne vivant que des maigres revenus de sa ferme qu’il juge amplement suffisants pour ses besoins. »
J’avais lu ça aussi et j’avais fait un parallèle avec Sarkozy et son resto de riches: le Fouquet’s
« un autre pays de ce continent qui m’intéresse beaucoup et où je compte bien aller faire une virée bientôt »
Notre prochain voyage en Amérique latine comportera…l’Uruguay, entre autres 😉
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Rappelle-moi combien de langues tu maitrises, STP ? 😉
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Maîtrisées ? Comme une locutrice originale, cinq; plus deux dans lesquelles je me débrouille un peu sinon pas trop mal.
Le français et le japonais ont été les deux langues « maternelles » de mon enfance au Japon. Le français par mes parents et le japonais par presque toutes les autres personnes de mon entourage. Ce fut l’époque où ma polyglotte de mère commença à me faire aussi suivre des cours d’anglais et d’espagnol et où j’ai commencé à m’initier très sérieusement au vietnamien avec ma meilleure amie d’enfance d’abord, (puis d’adolescence en Chine) dont c’était la langue maternelle. Ma mère, qui parlait parfaitement 7 langues ne réussissait pas à les parler sans qu’un locuteur original ne puisse voir que ce n’était pas sa langue première; son accent français restant toujours présent, tenais à ce que moi j’étudie les langues à un âge où on peut facilement éluder ce problème.
À 12 ans, avec le déménagement familial en Chine je me suis mise au Mandarin, version Beijing, ( 漢語 / hànyǔ) d’abord et bien vite aussi au Cantonais ( 粵語 / yuèyǔ), un idiome très important surtout dans le monde des affaires à Canton, Hong Kong, Macao et les communautés chinoises extra-territoriales. Toutefois, je ne connais pratiquement rien des 5 autres versions importantes du Chinois parlé, même si elles utilisent toutes à peu près la même écriture que le mandarin classique tel que parlé à Beijing. À 17 ans, pour le travail, j’ai aussi étudié intensivement le malais assez pour me débrouiller en malais évidemment mais aussi en Singlish, qui est la langue la plus parlée dans le milieu des affaires à Singapore et qui est en fait un mélange de mandarin et de malais, mâtiné d’anglais.
L’an dernier, j’ai aussi commencé à regarder du côté du portugais,
surtout dans l’optique d’une initiation à la capoeira, un art martial (africano-)brésilien dont je voulais surtout apprendre à maîtriser un coup spécifique ( le pisão rodado no chão: (un coup de pied frappé au terme d’un long build up rotatif qui permet à un maître de développer jusqu’à une tonne de pression au point d’impact, soit à peu près le double de la force d’un coup similaire des arts martiaux en extrême-orient et suffisamment fort pour jeter par terre pratiquement n’importe quel opposant. Bref, le genre de coup qu’on n’utilise pas souvent en combat réel, parce qu’il est trop long à développer, donc prévisible, mais qui peut être utile pour mettre fin à un affrontement où on a déjà une certaine maîtrise sur son adversaire récalcitrant). Je maîtrise maintenant assez bien ce coup mais évidemment avec une force beaucoup moindre qu’un vrai expert de capoeira !
Alors bien sûr si je mentionne le portugais brésilien, c’est pour le principe car je n’en suis encore vraiment qu’à un B,A, BA très superficiel de cette langue.
En fait, toutes les langues m’intéressent, mais pour le martien, je crains de devoir attendre longtemps avant d’en rencontrer un qui veuille bien me prendre comme élève …
Luce
ろうそくは、その光は何も失わない
別の点火プラグに通信することによって。
– 日本の諺 –
La bougie ne perd rien de sa lumière
en la communiquant à une autre bougie.
– proverbe japonais –
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» Maîtrisées ? Comme une locutrice originale, cinq; plus deux dans lesquelles je me débrouille un peu sinon pas trop mal »
Je suis admirative !
Je suis nulle en langue :##
Mais… j’ai d’autres qualités me réconforte Monamoureux :yes:
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Je n’ai pas de mérite: la vie et ma polyglotte de mère m’ont jetée dans la marmite à potion magique des langues multiples dès ma naissance, structurant mon oreille et ma tête pour fonctionner parfaitement en jouant à plus d’un jeu de langues, sons, concepts et cultures, à la fois.
Mon ex-tuteur et prof d’ethno-linguistique (celui-là même qui m’a aussi initiée à l’exercice de mon métier actuel) m’a déjà expliqué que, malgré ce que la plupart des gens croient « logiquement », en fait il est bien connu et reconnu qu’il est beaucoup plus facile d’apprendre une troisième ou une quatrième langue qu’une deuxième, parce que le processus de compartimentation de la pensée essentiel à la pluri-linguisation est déjà là, parfaitement fonctionnel après la deuxième ! Et ce, surtout si l’imprint en question a été fait tôt, quand l’esprit est encore le plus malléable.
Alors parce qu’il est né en le faisant, j’ai l’esprit qui peut jouer au français en parallèle avec le japonais ou l’anglais ou … – tout naturellement -.
Je n’ai aucun doute que tu as d’autres qualités précieuses, dont la combativité que tu manifestes ici dans ton blog et dans tes romans fait évidemment partie, pour la plus grande joie de tes lectrices comme moi (et lecteurs, sans doute) qui sont, comme toi, allergiques à la bêtise, au machisme claironnant, à la mauvaise foi, au syllogisme indécent, à la peur endémique érigé-e-s en système et à toutes ces sortes de choses, quoi.
Merci.
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« Je n’ai aucun doute que tu as d’autres qualités précieuses, dont la combativité que tu manifestes ici dans ton blog et dans tes romans fait évidemment partie, pour la plus grande joie de tes lectrices comme moi (et lecteurs, sans doute) qui sont, comme toi, allergiques à la bêtise, au machisme claironnant, à la mauvaise foi, au syllogisme indécent, à la peur endémique érigé-e-s en système et à toutes ces sortes de choses, quoi.
Merci. »
… venant d’une jeune personne intelligente, cultivée et indépendante, aussi bien dans la vie que dans sa tête, son corps… sans oublier son âme
…Merci à toi 😉
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« Je n’ai aucun doute que tu as d’autres qualités précieuses, dont la combativité que tu manifestes ici dans ton blog et dans tes romans fait évidemment partie, pour la plus grande joie de tes lectrices comme moi (et lecteurs, sans doute) qui sont, comme toi, allergiques à la bêtise, au machisme claironnant, à la mauvaise foi, au syllogisme indécent, à la peur endémique érigé-e-s en système et à toutes ces sortes de choses, quoi.
Merci. »
… venant d’une jeune personne intelligente, cultivée et indépendante, aussi bien dans la vie que dans sa tête, son corps… sans oublier son âme
…Merci à toi 😉
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Ah j’oubliais, on trouve ça où, ton:
« guide essentiellement pratique
sur l’art de jouir et de faire jouir
tout en prenant la vie du bon côté,
celui du bonheur tout simplement. » ?
Pour faire : « prendre la vie du bon côté,
celui du bonheur tout simplement. »
A tous les blogueurs de « blog.fr » ? 😉
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Moi, je l’ai trouvé en Chine, via un contact fréquenté dans le milieu des arts martiaux chinois où je frayais beaucoup,
i.e. ici, le kung-fu (*) sous toutes ses formes (Via mon sifu ou maître-enseignant)
(*) Pour citer wikipedia :
Les termes « gong » et « fu » traduits littéralement et séparément ont une tout autre signification que « arts martiaux » chinois.
Gong » désigne la « maîtrise », le « perfectionnement », la « possession d’un métier » ou une action en laquelle beaucoup de temps a été consacré.
Le terme est à rapprocher d’un point de vue sémantique de la notion d’artisan tel qu’il était usité en Europe au xixe siècle : ce terme désignait l’homme de métier
qui par un apprentissage auprès d’un maître acquérait cultures, techniques et savoir-faire.
Fu désigne les techniques en tant que contenu, soit l’énergie qui a été investie dans l’action de cette technique. On peut ainsi dire de quelqu’un qu‘il possède le gong fu en gastronomie, le gong fu en peinture, ou le gong fu en musique.
– Ou encore dans l’art d’aimer! – ajouterais-je.
On peut apprendre à mieux aimer tout comme on peut apprendre à mieux se battre, il suffit d’y mettre le temps et les efforts. Ainsi qu’assez d’humilité pour admettre que la science infuse a ses limites qui peuvent être contournées si on y met les efforts requis avec un guide compétent.
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« – Ou encore dans l’art d’aimer! – ajouterais-je.
On peut apprendre à mieux aimer tout comme on peut apprendre à mieux se battre, il suffit d’y mettre le temps et les efforts. Ainsi qu’assez d’humilité pour admettre que la science infuse a ses limites qui peuvent être contournées si on y met les efforts requis avec un guide compétent. »
« On peut apprendre à mieux aimer tout comme on peut apprendre à mieux se battre »
Exact !
Et cela concerne tous les » mieux aimer » :
– ses enfants
– sa femme ou son homme
– ses parents
– ses amis…
Concernant le « aimer le *prochain », comme le prône la Bible, c’est une farce: il est évident que l’on ne peut pas aimer tout le monde!
Par contre le *RESPECTER est incontournable: sans respect de l’INTEGRITE* de l’autre,- ce qui* n’a rien à voir avec le « fond de culotte » – respect de tous les « autres », la vie en société est un enfer…surtout pour les femmes !
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