La principale ennemie de la femme: la femme des religions ?

Une femme servante ou génitrice...des hommes!

« La Bible de Jérusalem:

 » Genèse, chapitre 30 :

Gn 30:1- Rachel, voyant qu’elle-même ne donnait pas d’enfants à Jacob, devint jalouse de sa sœur et elle dit à Jacob : Fais-moi avoir aussi des enfants, ou je meurs !
Gn 30:2- Jacob s’emporta contre Rachel et dit : Est-ce que je tiens la place de Dieu, qui t’a refusé la maternité ?
Gn 30:3- Elle reprit : Voici ma servante Bilha. Va vers elle et qu’elle enfante sur mes genoux : par elle j’aurai moi aussi des enfants !
Gn 30:4- Elle lui donna donc pour femme sa servante Bilha et Jacob s’unit à celle-ci.
Gn 30:5- Bilha conçut et enfanta à Jacob un fils.
Gn 30:6- Rachel dit : Dieu m’a rendu justice, même il m’a exaucée et m’a donné un fils; c’est pourquoi elle l’appela Dan.
Gn 30:7- Bilha, la servante de Rachel, conçut encore et elle enfanta à Jacob un second fils.
Gn 30:8- Rachel dit : J’ai lutté contre ma sœur les luttes de Dieu et je l’ai emporté; et elle l’appela Nephtali.
Gn 30:9- Léa, voyant qu’elle avait cessé d’avoir des enfants, prit sa servante Zilpa et la donna pour femme à Jacob.
Gn 30:10- Zilpa, la servante de Léa, enfanta à Jacob un fils.
Gn 30:11- Léa dit : Par bonne fortune ! et elle l’appela Gad.
Gn 30:12- Zilpa, la servante de Léa, enfanta à Jacob un second fils.
Gn 30:13- Léa dit : Pour ma félicité ! car les femmes me féliciteront; et elle l’appela Asher.
Gn 30:14- Étant sorti au temps de la moisson des blés, Ruben trouva dans les champs des pommes d’amour, qu’il apporta à sa mère, Léa. Rachel dit à Léa : Donne-moi, s’il te plaît, des pommes d’amour de ton fils,
Gn 30:15- mais Léa lui répondit : N’est-ce donc pas assez que tu m’aies pris mon mari, pour que tu prennes aussi les pommes d’amour de mon fils ? Rachel reprit : Eh bien, qu’il couche avec toi cette nuit, en échange des pommes d’amour de ton fils.
Gn 30:16- Lorsque Jacob revint des champs le soir, Léa sortit à sa rencontre et lui dit : Il faut que tu viennes vers moi, car je t’ai pris à gages pour les pommes d’amour de mon fils, et il coucha avec elle cette nuit-là.
Gn 30:17- Dieu exauça Léa, elle conçut et elle enfanta à Jacob un cinquième fils;
Gn 30:18- Léa dit : Dieu m’a donné mon salaire, pour avoir donné ma servante à mon mari; et elle l’appela Issachar.
Gn 30:19- Léa conçut encore et elle enfanta à Jacob un sixième fils.
Gn 30:20- Léa dit : Dieu m’a fait un beau présent, cette fois mon mari m’honorera, car je lui ai donné six fils; et elle l’appela Zabulon.
Gn 30:21- Ensuite elle mit au monde une fille et elle l’appela Dina.
Gn 30:22- Alors Dieu se souvint de Rachel, il l’exauça et la rendit féconde.
Gn 30:23- Elle conçut et elle enfanta un fils; elle dit : Dieu a enlevé ma honte;
Gn 30:24- et elle l’appela Joseph, disant : Que Yahvé m’ajoute un autre fils ! Comment Jacob s’enrichit »…

http://www.biblia-cerf.com/BJ/gn30.html

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« voyant qu’elle-même ne donnait pas d’enfants à Jacob  »

Une femme ne « DONNE » pas un enfant à un homme:

Ils fabriquent une vie à deux, point !

Avant les tests ADN, impossible d’attribuer à un géniteur, SON enfant !

La nature* s’en fout complètement -et probablement les mâles préhistoriques –

Seule compte pour elle* la survie de l’espèce

Mais les religions sont passées par là

et se sont autorisées à contrôler le ventre et le sexe des femmes

Pour la seule satisfaction des…mâles* (préserver LEUR descendance)

Dont elles clament la supériorité* définitive et absolue

Dans maints passages de la bible et autres inventions/mâles/religieuses

Sans que les femmes/cathos/et autres dévotes n’aient jamais trouvé à en redire

…Elles en redemandent, en formant des générations de filles inférieures et soumises et de petits mâles supérieurs promus à la voie royale !

Ainsi va le monde des femmes: une servante et/ou un ventre

AMEN !

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Auteur : Tingy

Romancière féministe : je viens de publier " Le temps de cuire une sauterelle " :-)) Et de rééditer : "Le Père-Ver" et "Le Village des Vagins" (Le tout sur Amazon) ... et peintre de nombreux tableaux "psycho-symboliques"... Ah! J'oubliais : un amoureux incroyable, depuis 46 ans et maman de 7 "petits" géniaux...

Une réflexion sur « La principale ennemie de la femme: la femme des religions ? »

  1. Culte de la virginité : l’hymen, un mythe patriarcal
    Origine du culte de la virginité
    La chasteté avant le mariage, et donc la virginité, est le seul garant de la reconnaissance de paternité, fondement de la société patriarcale. Le sexe hors mariage engendre des enfants sans père. Sans mariage, pas de paternité garantie, pas de filiation paternelle garantie. C’est pourquoi dans toute société patriarcale traditionnelle, le sexe sans mariage est interdit par une police des moeurs (exemple : la charia islamique).
    Ce qu’est réellement l’hymen

    On parle parfois de l’hymen comme le nom d’une membrane, c’est-à-dire une sorte de couvercle, qui couvrirait l’entrée du vagin et qui se déchirerait lors des rapports sexuels. Il est important de savoir que l’hymen n’existe pas dans la réalité. Ce qui existe en fait, c’est un pli de la membrane autour des bords de l’entrée du vagin, que l’on appelle la couronne vaginale. La couronne vaginale a un aspect qui diffère selon les femmes et elle n’a pas de fonction particulière.

    La réalité du dépucelage

    L’hymen n’existe pas en tant que telle. Il n’y a pas de vierge au sens littéral du terme ( hymen ). On peut parler de virginité quand la jeune fille n’a pas eu de pénétration par un sexe d’homme. La douleur ressentie lors d’un premier rapport est celle du vagin qui se distend , et peut saigner un peu. Les filles qui pratiquent la masturbation avec pénétration d’objet ne ressentent aucune douleur au premier rapport sexuel. On parle souvent de la masturbation chez les petits garçons , presque jamais de celle des petites filles. Or, quand elles se masturbent, elles ne découvrent leur clitoris qu’après avoir exploré leur vagin avec leurs doigts. Toutes les petites filles qui font du cheval ont les muscles du vagin très souples et ne souffriront pas lors de leur 1er rapport sexuel. D’ailleurs, une femme qui n’a pas de rapports pendant une longue période, peut ressentir les mêmes douleurs qu’à son premier, les muscles du vagin étant inactifs…
    Virginité et culte du sang

    Un bon nombre de gens croient à l’existence de l’hymen et que c’est une preuve de la virginité de la fille (qu’elle n’a pas eu de rapports sexuels). Les gens qui croient que l’hymen existe croient aussi qu’il se déchire lorsque la fille a des rapports sexuels la première fois, et que ses organes génitaux saignent. La vérité est que 70 % des filles environ ne saignent pas lors de leurs premiers rapports sexuels. Il n’est pas non plus possible de voir au vagin d’une fille si elle est vierge ou non.
    Le culte de la virginité, une coutume obscurantiste actuelle

    Dans un certain nombre de cultures il est important que la fille soit vierge lorsqu’elle se marie et cela doit donc « se prouver » á travers un saignement durant le premier rapport sexuel. Cela produit de gros problémes pour les filles qui vivent dans ces cultures puisque la plupart d’entre elles ne saignent pas. Les raisons qui conduisent certaines femmes à saigner sont qu’elles ne sont pas suffisamment excitées, qu’elles sont nerveuses et tendues. Une autre alternative étant qu’elles ont une malformation des parois du vagin qui sontalors dans ce cas véritablement (partiellement) attachées ensemble. Environ 60 % des femmes (en Suède) ne saignent absolument pas lors de leur premier rapport et la majorité de celles qui saignentproduisent seulement un écoulement qui n’est pas de la couleur attendue (litteralement ‘déteint’). Cela aboutit tout simplement à faire courir nombre de jeunes filles musulmanes dans les hôpitaux pour se faire refaire l’hymen.

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