[ …Lère des antihéroïnes.
« Nahnatchka Khan a raconté au New York Magazine son éclairante expérience personnelle : Jadis, jai travaillé sur une série où le personnage féminin devait pleurer ou crier dans chaque scène »…
lhéroïne des séries modernes peut désormais tout se permettre, laissant libre cours à ses pulsions, aussi sombres soient-elles…
Larchétype du personnage dédié à son boulot, sans vie privée et à la sexualité libre était jusquà présent masculin, note Audrey Fleurot, actrice dans Engrenages.
Mais les filles sen sont emparées, que ce soit dans Homeland, Damages, et je lespère Engrenages, où mon personnage se radicalise de plus en plus.
Jaime aussi beaucoup lenquêtrice de The Killing : elle ne change jamais de pull, elle na pas le temps ! On est définitivement sortis de lalternative entre la maman et la putain. ]…(extraits)
http://www.lesinrocks.com/2012/09/29/cinema/femmes-series-libres-11307882/
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Moi? j’aime ! 😉
C’est sûr, ça change des rôles stéréotypés et attendus: les sempiternelles pleurnicheries féminines et les prouesses du macho pur et dur…
« On est définitivement sortis de lalternative entre la maman et la putain. ?
Espérons-le ! :yes:
C’est certain, les temps changent 🙂
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