» Il fallu 400 ans pour en faire une « Côte Riche »
Sa vraie richesse fût de ne pas en avoir pour les espagnols! Pas d’or, que des forêts impénétrables. Cette particularité du Costa Rica allait forger un peuple fier, libre, indépendant et pacifique.
…À lépoque précolombienne, les indigènes se répartissent sur le territoire du Costa Rica. Ils sont 400 000 individus à larrivée des espagnols, répartis en petites communautés. Il s’agit des Malekus, Chorotegas, Huetares originaires du nord de lAmérique Centrale et des Bribris, Cabécares, Borucas et Guayamis issus du nord de lAmérique du Sud
Le commerce et les échanges sont réalisés avec des indiens, tels les Mayas au nord et les Aztèques au sud. La sédentarisation s’accentue à partir de lan 800
Lagriculture et la chasse sont les principales activités des indiens, mais à l’époque précolombienne au Costa Rica il existe aussi un peu de pêche »…(Extraits)
A lire en entier! http://cactustour.com/fr/costa-rica/lhistoire-et-leconomie/histoire-du-costa-rica/
*******************************************************
» Les espagnols délaissés par le royaume du Guatemala, capitale de la colonisation espagnole en Amérique Centrale, sont obligés de « pacifier » leur relation avec une partie des indiens pour survivre. Doù peut-être un relatif respect entre les différentes communautés et une certaine idée de la paix qui perdure dans lesprit des costariciens à ce jour. »
C’est sûr sans respect mutuel, aucune communauté ne peut survivre de façon pacifique et harmonieuse
PS- les photos viendront plus tard: ce n’est pas mon ordi 😉
Merci pour cette petite page d’histoire.
Bizzz 😉
J’aimeJ’aime
Cristina LILA
Symphonie pour flûte et violoncelle
avec une basse
suspendue et aléatoire
Et soudain, le vent se lève
Arbres enracinés dans le sol
leur feuilles bruissent déchirées par de sombres nuages,
Fourmillant comme des taureaux noirs –
Une poignée de soleil frappe le miroir du lac.
Le suave Piccolo saupoudre ses chants d’oiseaux
Et tandis que les collines sombres
Dans un océan de violons en arc,
Mémoire du monde entier,
Comme une couronne solaire
Par leurs cris lancinants,
Tous les tympans explosent
Sur l’enclume dargent –
La forêt semble prendre feu, perturbée,
Les oiseaux se cachent sous les feuilles, tremblants,
Le violoncelle gémit en basses timides
Le vent vicieux
Gonfle les jupes de la pluie
Soudainement inondées.
Le rythme chaotique de timbales,
Les cors de chasse anglais stimulent
Les chiens, museaux au vent humide,
Animal blessé, respiration angoissante,
Allongé sur un lit de feuilles sèches
Murmure doux, les narines se dilatent,
L’organiste pédales cliquetis tragiques,
Pauses au plafond de la cathédrale –
Double harpe brillante sous les doigts,
Appel d’offres,fragiles clepsydres,
La guitare fête sa sonorité,
Se plaindre, gémir, respirer une dernière fois,
Murmures mélodieux de la flûte,
La trompette blesse les papillons de nuit –
Chaudière en cuivre, cuillères, couvercles et casseroles,
Les filles sont en sueur, leurs seins vont exploser;
En se penchant gourmands sur le clavecin.
Hautbois au ventres ronds qui gonflent
Dans la nuit chaude,
L’orgue royal élargit l’horizon,
Lanimal soupire,
Des larmes coulent sur son museau humide
Inondant ses yeux brillants atterrés.
La lumière diffusée par les violons piccolo
Brise la douleur.
Les tambours font briller le ciel au dessus de la forêt,
Les castagnettes s’entendent au loin –
Agonie des animaux perdus
Dans notre propre oubli!
fin
Bisous,
Cristina
J’aimeJ’aime