Petite histoire du Costa Rica…

 » Il fallu 400 ans pour en faire une « Côte Riche »

Sa vraie richesse fût de ne pas en avoir pour les espagnols! Pas d’or, que des forêts impénétrables. Cette particularité du Costa Rica allait forger un peuple fier, libre, indépendant et pacifique.

…À l’époque précolombienne, les indigènes se répartissent sur le territoire du Costa Rica. Ils sont 400 000 individus à l’arrivée des espagnols, répartis en petites communautés. Il s’agit des Malekus, Chorotegas, Huetares originaires du nord de l’Amérique Centrale et des Bribris, Cabécares, Borucas et Guayamis issus du nord de l’Amérique du Sud

Le commerce et les échanges sont réalisés avec des indiens, tels les Mayas au nord et les Aztèques au sud. La sédentarisation s’accentue à partir de l’an 800

L’agriculture et la chasse sont les principales activités des indiens, mais à l’époque précolombienne au Costa Rica il existe aussi un peu de pêche »…(Extraits)

A lire en entier! http://cactustour.com/fr/costa-rica/lhistoire-et-leconomie/histoire-du-costa-rica/

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 » Les espagnols délaissés par le royaume du Guatemala, capitale de la colonisation espagnole en Amérique Centrale, sont obligés de « pacifier » leur relation avec une partie des indiens pour survivre. D’où peut-être un relatif respect entre les différentes communautés et une certaine idée de la paix qui perdure dans l’esprit des costariciens à ce jour. »

C’est sûr sans respect mutuel, aucune communauté ne peut survivre de façon pacifique et harmonieuse

PS- les photos viendront plus tard: ce n’est pas mon ordi 😉

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Auteur : Tingy

Romancière féministe : je viens de publier " Le temps de cuire une sauterelle " :-)) Et de rééditer : "Le Père-Ver" et "Le Village des Vagins" (Le tout sur Amazon) ... et peintre de nombreux tableaux "psycho-symboliques"... Ah! J'oubliais : un amoureux incroyable, depuis 46 ans et maman de 7 "petits" géniaux...

2 réflexions sur « Petite histoire du Costa Rica… »

  1. Cristina LILA

    Symphonie pour flûte et violoncelle
    avec une basse
    suspendue et aléatoire

    Et soudain, le vent se lève
    Arbres enracinés dans le sol
    leur feuilles bruissent déchirées par de sombres nuages,
    Fourmillant comme des taureaux noirs –
    Une poignée de soleil frappe le miroir du lac.
    Le suave Piccolo saupoudre ses chants d’oiseaux
    Et tandis que les collines sombres
    Dans un océan de violons en arc,
    Mémoire du monde entier,
    Comme une couronne solaire
    Par leurs cris lancinants,
    Tous les tympans explosent
    Sur l’enclume d’argent –
    La forêt semble prendre feu, perturbée,
    Les oiseaux se cachent sous les feuilles, tremblants,
    Le violoncelle gémit en basses timides
    Le vent vicieux
    Gonfle les jupes de la pluie
    Soudainement inondées.
    Le rythme chaotique de timbales,
    Les cors de chasse anglais stimulent
    Les chiens, museaux au vent humide,
    Animal blessé, respiration angoissante,
    Allongé sur un lit de feuilles sèches
    Murmure doux, les narines se dilatent,
    L’organiste pédales cliquetis tragiques,
    Pauses au plafond de la cathédrale –
    Double harpe brillante sous les doigts,
    Appel d’offres,fragiles clepsydres,
    La guitare fête sa sonorité,
    Se plaindre, gémir, respirer une dernière fois,
    Murmures mélodieux de la flûte,
    La trompette blesse les papillons de nuit –
    Chaudière en cuivre, cuillères, couvercles et casseroles,
    Les filles sont en sueur, leurs seins vont exploser;
    En se penchant gourmands sur le clavecin.
    Hautbois au ventres ronds qui gonflent
    Dans la nuit chaude,
    L’orgue royal élargit l’horizon,
    L’animal soupire,
    Des larmes coulent sur son museau humide
    Inondant ses yeux brillants atterrés.
    La lumière diffusée par les violons piccolo
    Brise la douleur.
    Les tambours font briller le ciel au dessus de la forêt,
    Les castagnettes s’entendent au loin –
    Agonie des animaux perdus
    Dans notre propre oubli!

    fin

    Bisous,

    Cristina

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