» Quand il n’y a plus d’énergie pour appeler au secours… Le cri du désert serait-il un silence ? Inaudible silence ? Combien faudra-t-il de silences d’enfants, de femmes, d’hommes, mourant de faim ? A la fois carnet de voyage et journal intime, le récit de ces jours passés dans un pays d’Afrique possède la force d’un témoignage direct. Chant d’amour puissant et poétique… violent aussi : cri de colère, cri de révolte. L’Afrique serait-elle la banlieue du monde développé ? L’auteur est témoin des cris silencieux qui se perdent dans le désert. La sensation troublante de marcher avec la narratrice sur la terre rouge-ocre pénètre le lecteur d’une connaissance nouvelle et riche. Ce texte est un cadeau qui permet de se restituer dans l’humanité.
Présentation de l’éditeur.
Biographie de l’auteur
Esther Gaubert est comédienne, metteur en scène, auteur de théâtre. Sa profonde empathie pour les souffrances de l’humanité, son admiration pour ses beautés et ses grandeurs, ont très tôt orienté sa créativité dans un engagement total aux côtés de l’autre, quel qu’il soit. Nourrie par les voyages, par l’art, on dit d’elle qu’elle est » Chercheur en Humanité « .
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Témoignage de femme…
En tout cas, le Burkina est la rose du désert mais ça n’a pas empeché de revendiquer dans ces temps-ci coté militaires que civiles pour plus rendre la rose encore plus rose. Tu parles ainsi de mon cher pays. bisou grande soeur
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j’aime beaucoup « chercheur en humanité » : ça résonne bien dans ma tete !!!
apres le soleil on cherche l’humanité…
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« ça résonne bien dans ma tete !!! »
Que trouvent-ils ces chercheurs là, à ton avis ?
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