Cibelle…

Vidéo :

Tristeza não tem fim, felicidade sim
Tristeza não tem fim, felicidade sim…

A felicidade é como a gota
De orvalho numa petala de flôr
Brilha tranquila depois de leve oscila
E cai como uma lágrima de amor

Tristeza não tem fim, felicidade sim
Tristeza não tem fim, felicidade sim…

A felicidade é como a pluma
Que o vento vai levando pelo ar
Voa tão leve, mais tem a vida breve
Precisa que haja vento sem parar

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Traduction à améliorer ;)(google) :

La tristesse n’a pas de fin, mais le bonheur
La tristesse n’a pas de fin, mais le bonheur …

Le bonheur est comme une goutte de
Rosée sur un pétale de fleur
La lumière brille tranquille après oscille
Et tombe comme une larme d’amour

La tristesse n’a pas de fin, mais le bonheur
La tristesse n’a pas de fin, mais le bonheur …

Le bonheur est comme une plume
Le vent est à la tête de l’air
Il vole alors la lumière, la plupart ont la vie courte
Il déclare qu’il n’y a pas de vent d’arrêt

São Paulo Confessions by Suba (1999) –
(written by Tom Jobim, Vinicius De Moraes)
Felicidade – Happiness

Suba (born Mitar Suboti?, June 23, 1961 in Novi Sad, FPR Yugoslavia — died November 2, 1999 in São Paulo, Brasil) was a Serbian-born musician and composer who was set to become one of Brazil’s most prominent producers when he died of smoke inhalation during a fire in his studio in November 1999.

Cibelle is a multi-media performance artist, singer-songwriter and music producer. Cibelle’s music is difficult to classify; she has been called a self-styled purveyor of « Tropical Punk ». Cibelle Cavalli was born in Sao Paulo, Brazil, 1978, and now resides in east London, UK.
After meeting the Serbian-born producer Suba in a bar, she appeared as the main vocalist on his album, São Paulo Confessions, on Ziriguiboom (Crammed Discs’ Brazilian imprint) in 1999. It was a mixture of traditional and electronic sounds which has been said to be years ahead of the Brazilian Electronic music boom. São Paulo Confessions is regarded as an important precursor and a landmark album for Brazilian Electronic Music. Suba died shortly after the album’s release.

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Traduction à améliorer ;)(google) :

Suba (né Mitar Suboti, Juin 23 1961 à Novi Sad, le FPR-Yougoslavie -?
Décédé le 2 Novembre 1999, à São Paulo, Brésil, il était un musicien d’origine serbe et compositeur, qui est devenu l’un des producteurs les plus importants du Brésil. Il meurt de l’inhalation de fumée lors d’un incendie dans son studio en Novembre 1999.

Cibelle est une artiste multi-média, singer-songwriter et producteur de musique. Sa musique est difficile à classer, elle a appelé un pourvoyeur soi-disant de « Tropical Punk ». Cibelle Cavalli est né à Sao Paulo, Brésil, 1978, et réside maintenant à l’est de Londres, Royaume-Uni.
Après avoir rencontré le producteur d’origine serbe Suba dans un bar, elle est apparue comme la chanteuse principale de son album, São Paulo Confessions, sur Ziriguiboom (empreinte brésilienne Crammed Discs « ) en 1999.
C’était un mélange de sons traditionnels et électroniques qui a été dit les années à venir de l’essor de la musique électronique brésilienne. São Paulo Confessions est considéré comme un important précurseur et un album de point de repère pour la musique électronique brésilienne. Suba est mort peu après la sortie de l’album.

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J’aime « l’ambiance »…

Lien http://www.youtube.com/watch?v=M_yezHBNlA8

Kenya: un village …de FEMMES!!

Vidéo: Kenya, le village des femmes
Un film de Francois de Roubaix

 » Dans le village d’Umoja, qui jouxte le parc national de Samburu, au Kenya, il n’y a que des femmes. Fuyant les mutilations sexuelles, les mariages forcés et la violence conjugale, elles ont trouvé refuge dans ce havre de paix fondé en 1990. C’est le cas de Napora, violée par un inconnu puis battue et chassée par son mari. Solidaires, les habitantes d’Umoja se sont créé une nouvelle vie et exercent des activités traditionnellement masculines, comme l’élevage ou l’abattage. Une véritable provocation pour la société patriarcale kényane…

…L’histoire de Napora illustre bien le destin de nombreuses femmes d’Umoja. Pendant la corvée de bois, elle a été violée par un inconnu. Lorsqu’elle raconta l’agression à son mari, celui-ci la battit et la chassa. Rejetée et humiliée, elle trouva finalement refuge à Umoja. Aujourd’hui, la communauté de femmes lui offre sécurité et réconfort, mais les blessures physiques et morales de la jeune femme sont loin d’être guéries.
En souahéli, Umoja signifie « unité » et c’est effectivement ce que les femmes trouvent ici. Elles se réunissent régulièrement pour discuter dans la maison commune ou sous l’immense acacia situé au centre du village. Ensemble, elles essaient de surmonter leurs traumatismes. « Nous voulons être heureuses et oublier nos problèmes », déclare Rebecca Lolosoli la fondatrice du village. « Exit humiliation, mépris et maltraitance, rien que du respect ! » tel est le mot d’ordre. A Umoja, la cohabitation repose sur des règles édictées par les habitantes et tout y est mis en commun. Par ailleurs, les villageoises ont toutes un toit sur la tête et des terres, élèvent du bétail qu’elles abattent de leur main : des droits et des tâches interdits aux autres femmes de la région.
Dans le Samburu en effet, lorsqu’une femme se marie, elle devient automatiquement la propriété de son mari. Il est inconcevable qu’elle possède de la terre ou du bétail. Les hommes d’Archer’s Post, le village voisin, se sentent menacés par la nouvelle indépendance des habitantes d’Umoja. Lorsque les villageoises viennent y faire leurs courses, elles sont harcelées et traitées avec mépris. Pourtant, elles ne se laissent pas impressionner et n’hésitent pas à s’engager au niveau politique pour défendre la cause des femmes kenyanes. Ainsi, Rebecca Lolosoli voyage même régulièrement à l’étranger afin de sensibiliser l’opinion publique internationale sur la situation des femmes de son pays. Elle est optimiste : « l’avenir sera meilleur ». Soucieuses de conforter leur indépendance financière, les habitantes d’Umoja envisagent de créer dans leur village un camp de touristes, une étape de plus sur la voie du respect et de l’autodétermination. »
Source Arte.

Lien http://videos.arte.tv/fr/videos/kenya_le_village_des_femmes-3753826.html

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Com :

Noé – Dim., 13. mars 2011, 17h45Merci à ARTE, qui nous propose là encore, des reportages véritablement de qualité. Ce que je voudrais écrire, et dire, et d’ailleurs, l’on voit dans le reportage deux jeunes hommes qui témoignent à visages cachés, et ils témoignent de leur peur du pouvoir de ces femmes, et confirment que ce pouvoir qui prend de l’ampleur les effraie. Car ils réalisent enfin leur faiblesse d’homme. Je résume pourquoi l’homme est terrorisé par la femme qui a le pouvoir. Pourquoi les hommes maltraitent-ils les femmes ainsi ? Ici ou ailleurs ? Les hommes n’ont malheureusement pas le pouvoir de mettre au monde les enfants, et ça, c’est une véritable puissance que les femmes ont. Et oui, mettre au monde un enfant, c’est assurer une descendance. Les hommes sont totalement effrayés de ne pas avoir le pouvoir de mettre au monde un enfant, car c’est là, qu’ils peuvent perdre le contrôle. Ils n’ont le contrôle de rien quand une femme est enceinte. Encore plus maintenant dans les pays occidentaux. Car Comment cela va-t-il se passer ? Et si ma femme partait avec l’enfant ? Etc. By la progéniture et la descendance. Voilà pourquoi les hommes briment le pouvoir des femmes et ont toujours essayés de faire en sorte que ce soit l’homme qui « grâce » à son petit pouvoir, celui de la violence, ait le dessus sur la femme. Pour lui faire peur, et ainsi éviter des idées d’indépendance qui pourrait ainsi lui faire perdre le contrôle et le pouvoir d’une descendance.

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Quand j’ai écrit mon second roman « Tingy-tanàna le Village des Vagins », je ne savais pas qu’il existait…REELLEMENT des villages de femmes en Chine et au Kenya, par ex…

J’avais une OVERDOSE de mainmise MASCULINE, imposée par la loi du plus fort, PARTOUT : dans la société, dans le couple, dans la pub, dans le sexe, dans la culture, dans la politique, dans les religions…

Un proverbe dit : Quand tu rejettes le monde dans lequel tu vis, CREE-toi…Le tien- Tingy 😉 –

Ce fut vraiment ju-bi-la-toire de créer un monde RESERVE aux nanas, avec NOS lois, loin des VIOLENCES masculines, sans AUCUNE religion (sauf dans le coeur de chacune!), où on peut faire l’amour avec des mecs…En DEHORS du village !!!

Tâche harassante et…INGRATE !

Burn out maternel: quand les mères n’en peuvent plus
De Véronique MARTINACHE (AFP) – 9 mars 2011

[ PARIS — « Je n’en peux tellement plus que j’en viens à ne plus vouloir de mes enfants »: dans son récit « Mère épuisée », une jeune femme témoigne du burn out maternel, encore trop peu reconnu, ni baby blues, ni dépression d’après accouchement.

La trentaine, Stéphanie Allenou, éducatrice spécialisée de formation, est mère de trois enfants, une fille qui aura 8 ans en juin et des jumeaux de 6 ans tout juste.

Elle raconte dans son livre les trois premières années de sa vie de mère, les naissances, l’allaitement, les nuits sans sommeil, les journées qui n’en finissent pas, l’isolement qui s’installe. Les mille et une difficultés quotidiennes qui s’enchaînent sans répit: séances d’habillage collectif avant les sorties, trajets marathon, bêtises à répétition…

On assiste à sa descente aux enfers.

« Une sourde angoisse monte petit à petit. La rage intérieure que je tente de maîtriser est croissante, et j’explose fréquemment. Je crie fort. De plus en plus fort. Je tape maintenant facilement : des fessées le plus souvent, des gifles parfois », écrit-elle. « La relation que j’entretiens avec mes petits est devenue maltraitrante », analyse-t-elle.

« C’est un témoignage d’une honnêteté incroyable », décrypte la psychologue et psychanalyste Sophie Marinopoulos, qui dirige à Nantes un service de Prévention et de promotion de la santé psychique et un lieu d’accueil parents-enfants, « Les pâtes au beurre ». Les deux femmes se sont rencontrées à l’occasion d’une conférence organisée par Stéphanie Allenou au cours de ce qu’elle appelle sa « reprise en main ».

« L’épuisement maternel peut aller jusqu’au burn out. C’est un état d’épuisement qu’on retrouve chez des personnes qui ont énormément investi leur tâche, d’une façon très émotionnelle et d’une façon très idéalisée, comme dans le burn out professionnel », explique la psychologue.

« On voit ces mères petit à petit entrer dans une espèce de rythme effréné », poursuit-elle.

« On voit Stéphanie toujours faire plus et accélérer pour pouvoir correspondre à cette image de bonne mère. On voit ses symptômes arriver : fatigue, insomnie, irritabilité, hyperactivité, manque d’attention, manque de motivation. Le stress bien entendu est omniprésent ». Jusqu’à « la dépersonnalisation, le moment où elle quitte sa propre humanité, où elle devient un automate ».

Pour Sophie Marinopoulos, le risque majeur c’est le passage à l’acte suicidaire…]

Pour lire TOUT l’article passionnant :
Lien http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5g-KyasrfR56-bh9SJu7YWArUXhow?docId=CNG.4ff9a102202803d25f7684fc1a18f514.391

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OUI , Je vais bien !!!

TOUT baigne !

Je n’ai pas de Net dans mon nouveau chez moi; j’ai fait une demande aux télécoms mauriciens, donc wait and see 😉

Je n’ai pas de voiture non plus, enfin si, mais mon amoureux…Travaille, lui ! Comme vous l’avez vu sur la photo, on habite en dehors de la ville, sur une petite falaise/ vue mer.

Enfin, j’ai décidé de me remettre(un peu, y a pas l’feu et puis il est presque fini!), à mon troisième roman.: « Mayna, la fille du fleuve Sambirana ». Encore un truc féministe: des nanas s’attaquent au tourisme sexuel à Nosy Be….En utilisant TOUS les moyens, légaux et pas !
Je compte le faire publier pendant mes « vacances » (Hihihi!) en métropole, cet été.

Ah oui, j’oubliais: j’ai une nana TOUTE nue qui patiente sur une toile de 70cmx100 sur la terrasse, en attendant que je la recouvre de peinture chaude…

Bref, TOUT baigne ! [ Je sais, je touche du bois 😉 ]

Tout cela pour vous dire…MERCI de votre fidélité

Malgré mes …Infidélités passagères !

Solidarité …Féminine ? ? ?

Soleil Rouge L.Lavilgrand(SE réaliser, SOI !!!)

« Tous les soirs, Saima Muhammad fondait en larmes. Elle était désespérément pauvre, son mari, un bon à rien, n’avait pas de travail. Frustré et irascible, il battait Saima tous les après-midi. Leur maison dans la banlieue de Lahore, au Pakistan, tombait en ruine. Et puis, à la naissance de son second enfant, qui s’avéra être également une fille, les choses empirèrent pour Saima.

Sa belle-mère, une vieille bique dénommée Sharifa Bibi, se mit à exacerber les tensions : « Elle n’aura jamais de garçon, dit Sharifa à son fils. Tu devrais te remarier. »

C’est à ce moment-là que Saima rejoignit un groupe de solidarité féminine affiliée à une organisation pakistanaise de microfinance, la fondation Kashf. La jeune femme contracta un prêt de 65 dollars. Elle investit la somme dans des perles et du tissu qu’elle transforma en belles broderies destinées à être vendues sur les marchés de Lahore. Saima devint la femme d’affaires la plus importante du quartier et elle put rembourser l’intégralité des dettes familiales, envoyer ses filles à l’école, rénover sa maison »…

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Quand femme VEUT elle PEUT

TOUT réside dans le verbe…VOULOIR

Souvent dépendant du degré de CONFIANCE en SOI !

J’espère qu’elle a quitté le mari et …La belle-mère 🙂

Le sex-shop de Khadija…

A Bahreïn !

« Où peut-on acheter de la lingerie, des sex toys et onguents destinés à améliorer le plaisir sexuel des femmes dans une région du Golfe qui fronce les sourcils sur les écrans ouverts de la sexualité?

Chez une dame parée de son foulard traditionnel, bien sûr.

Le sex shop de Khadija Ahmed a survécu contre toute attente et un certain contrôle particulièrement intense de fonctionnaires des douanes depuis son ouverture à Bahreïn en 2008.

La boutique d’Ahmed, spectacle rare dans la région, vend une large gamme de lingerie, crèmes pour retarder l’orgasme masculin et jouets sexuels sur la petite Khadija Maison Mode sud de Manama, ou à travers son site web (www.khadijamall.com) à des clients partout dans la région.

Modestement vêtue d’une abaya noire traditionnelle fluide et d’un foulard, Ahmed a déclaré à Reuters que la plupart des articles qu’elle vend sont déjà disponibles dans les boutiques de mode de Bahreïn et les pharmacies de toute façon, et qu’elle ne vend pas certains produits pour éviter de remuer la colère du public.

« Je ne vends pas de vibreurs par exemple, car cela est contre l’islam », at-elle dit, ajoutant que sa foi a interdit la reproduction ou l’affichage des parties sensibles du corps. Toutefois, d’autres jouets tels que des bagues de vibrations sont très bien, dit-elle.

Ahmed a dit qu’elle n’a pas rencontré beaucoup de peine avec le public à Bahreïn; une fois elle a remplacé la lingerie dans sa fenêtre d’affichage avec des robes courtes, après des plaintes des voisins et d’une mosquée voisine.

Discuter et afficher le sexe en public est un sujet tabou dans la plupart des pays du Moyen-Orient, mais les érudits musulmans ont également dit que les jouets sexuels sont légitimes s’ils sont utilisées par les couples mariés.

Bahreïn est considéré comme l’un des pays le plus libéral dans le Golfe, ce qui permet la vente d’alcool dans les bars et les magasins désignés. Les Saoudiens, les Qataris et les Koweïtiens se rendent au royaume insulaire chaque week-end pour profiter de sa vie nocturne.

Le défi le plus récent d’Ahmed est un cas juridique en cours sur une plainte déposée par un fonctionnaire des douanes. Elle a souvent du mal à obtenir que ses expéditions soient dédouanées et une fois elle est tombée sur un gros problème quand un fonctionnaire a refusé un transfert d’outils de massage et d’anneaux de vibrations.

« Ce sont des gens à l’esprit fermé …. ou peut-être qu’ils sont simplement jaloux, dit-elle.

Ahmed, dit qu’elle n’est pas au courant de tous les magasins similaires dans la région, et qu’elle a beaucoup de clients en provenance des Émirats arabes unis et en Arabie saoudite profondément conservatrice.

«Parfois, j’ai été personnellement livrer avec mon frère, mais seulement pour des commandes supérieures à 150 ($ 398 ) dinars de Bahreïn, dit-elle.

Elle envisage maintenant l’ouverture de succursales à Dubai, au Liban et dans l’un des centres commerciaux de Bahreïn, parce que son magasin est devenu trop petit pour afficher l’ensemble de ses produits sur les étagères. »
(Reportage par Frederik Richter, édité par Johnston et Cynthia Paul Casciato )

Source Reuters- traduction google.

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« Je ne vends pas de vibreurs. »

…Le pénis des Bahreïnis l’a échappé belle!

Effets pervers du Pénis-Roi…

Vidéo-

« Le nombre total d’IVG dans le monde en 2003 a été estimé à 42 millions.

L’avortement clandestin en Afrique Un drame silencieux qui tue 300 000 femmes tous les ans .

Généralement réalisés dans des conditions sanitaires médiocres, les avortements clandestins sont la cause de complications graves et même d’une forte mortalité féminine dans de nombreux pays.

48 % des avortements pratiqués dans le monde en 2003 l’ont été dans des conditions dangereuses[1]. Plus de 97 % de ces avortements dangereux avaient lieu dans des pays en voie de développement .

Ce sont près de 20 millions d’avortements qui sont ainsi pratiqués chaque année en dehors de structures adaptées ou par des praticiens n’ayant pas les compétences requises, ou auto-administrés par la femme elle-même.

Beaucoup de femmes en meurent chaque année, souvent à la suite d’hémorragies, de septicémies ou d’empoisonnements, et des millions d’autres femmes en gardent des séquelles ».

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Je bande, j’éjacule, POINT BARRE !!!

"We Want Sex Equality", révolution en jupons…

Par François-Guillaume Lorrain.
 » À partir de l’histoire vraie d’ouvrières qui ont osé se mettre en grève…

Elles étaient 183. Elles s’appelaient Vera Sime, Gwen Davis… et travaillaient chez Ford de Dagenham, une usine à l’est de Londres de 40 000 ouvriers, la plus grande d’Angleterre. Elles cousaient les sièges de voitures, faisaient un travail qualifié, mais ne touchaient que 85 % du salaire d’un ouvrier non qualifié. Un jour de juin 1968 est arrivée une chose inouïe : elles ont osé se mettre en grève. Marre d’être payées comme des sous-hommes. D’abord, on les a regardées de haut, mais quand elles ont fini par bloquer la chaîne de production, la musique n’a plus été la même. Après trois semaines de grève, Barbara Castle, secrétaire d’État à l’Emploi, sorte de Mrs Thatcher travailliste, les a invitées à prendre un thé et a dit oui à leurs revendications.

Les vraies couturières de Dagenham n’étaient pas aussi charmantes et colorées que les actrices de We Want Sex Equality. Ici, l’Arlette Laguiller british est affublée de robes de Chelsea Road et de problèmes de couple.

Sexe et lutte sociale : le mélange fait bon ménage dans le cinéma anglais populaire – Full Monty, Calendar Girls – qui sait rendre la travailleuse drôle, sexy et émouvante. Rien à voir avec un documentaire Arte sur la grève chez Lip.

Au début, on n’y croit pas, elles non plus à vrai dire, comme ces machos de syndicalistes ou de patrons, et puis on se laisse prendre au charme discret de l’ouvrière qui savait encore – ah, les sixties – aller au paradis main dans la main avec son mari. Bon enfant, bien joué et entraînant.  »
Nigel Cole réalise un film enlevé qui allie sexe et lutte sociale.
en salle le 9 mars.

Source Le Point.

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« Un jour de juin 1968 est arrivée une chose inouïe : elles ont osé se mettre en grève. Marre d’être payées comme des sous-hommes. D’abord, on les a regardées de haut, mais quand elles ont fini par bloquer la chaîne de production, la musique n’a plus été la même. »

Un exemple pour toutes les « mal payées » du Monde ?

Les femmes n’ont AUCUNE idée de leur REEL POUVOIR

Unies et déterminées, elles pourraient ENRAYER la MARCHE du …MONDE

Pour EXIGER un monde de JUSTICE et de RESPECT pour elles TOUTES !

Je SAIS : ce n’est pas demain la veille

La polygamie en…FRANCE ?

polygamie
Regardez la Vidéo –

Elle concerne… 500 000 enfants !!! Beaucoup de violences entre les femmes et les enfants. Exemple Fanta, 3 ans( La Courneuve), ébouillantée par une co-épouse…En province jusqu’à …4 ou 5 épouses ! Jusqu’à 35 dans un appartement . Les allocations familiales sont détournées par le mari: des enfants mal nourris, l’argent repart dans les pays d’origine!( Polygamie AUTORISEE jusqu’en…1993, avant d’être interdite par Pasqua). AUCUNE femme ne VEUT vivre comme cela…NI les enfants! Elles ont besoin d’aide juridique pour décohabiter.

« Un rapport plutôt alarmant sur la polygamie en France a été publié. Il dénonce son caractère destructeur pour les femmes et les enfants qui la subissent. Son auteur Sonia Imloul, notamment responsable d’une association de prévention de la délinquance, critique « l’absence de données fiables » sur la polygamie, interdite en France et dans l’Union européenne.

Il y aurait entre 30 000 et 50 000 familles polygames en France selon une étude menée par Sonia Imloul responsable de l’association « Respect 93 » en région parisienne et ancienne membre du Conseil économique et social.

Interdite en France depuis la loi de 1993 dans le cadre des regoupements familiaux, la polygamie est pourtant encore pratiquée, essentiellement par des familles originaires d’Afrique noire. Souvent considérée comme une fatalité les autorités publiques ont du mal à la combattre.

Aujourd’hui, pour Sonia Imloul, il est donc urgent de lever le tabou et de dénoncer le caractère dévastateur de la polygamie sur les femmes et surtout sur les enfants qui ne peuvent bénéficier d’une éducation digne de ce nom. Dans ce rapport, l’auteure avance aussi des mesures, notamment pour relancer la politique de décohabitation des co-épouses afin de leur permettre d’aller vivre ailleurs avec leurs enfants ainsi que d’obtenir un titre de séjour. Sonia Imloul demande également la mise en place d’une commission d’enquête parlementaire sur le sujet.  »

Sonia Imloul, auteure du rapport sur la Polygamie en France(2009).
Aucun enfant issu de famille polygame ne peut en sortir indemne.

Sonia Imloul : responsable de l’Association « Respect 93 »en région parisienne et ancienne membre du conseil économique et social.

Lien: http://www.youtube.com/watch?v=xFdmxF4J6Ag

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« Souvent considérée comme une fatalité, les autorités publiques ont du mal à la combattre. »

TOUT ce qui CONCERNE les FEMMES, relève de la « FATALITE » (!!!), pour les politiciens: alibi très commode pour ne pas perdre un potentiel électorat?

Ou indulgence et indifférence, parce que DES politiciens français auraient eux-mêmes, plusieurs maîtresses ?

Je crois surtout que TOUTES les injustices faites aux femmes, par des mecs,

Finit par sembler… »PAS GRAVE » à la société française:

Ça ferait partie de la…VIE des femmes

Et pas de quoi chier une pendule !