Pourquoi l’infidélité des femelles ?

Une étude suggère en effet que ce comportement dit de “promiscuité (sexuelle)” dans le jargon des biologistes et évolutionnistes serait très avantageuse afin d’éviter la pure et simple extinction.

Ce comportement est par ailleurs risqué au niveau individuel car lors de l’accouplement, les risques d’être surpris par un prédateur est plus grand et reste consommateur en énergie et en temps ainsi qu’en calories pour l’ardente femelle.

Il faut comprendre au préalable qu’il existe un gène nommé SR (pour sex-ratio) qui introduit un biais dans l’égalité des sexes à la naissance.

Voici comment ce gène fonctionne.

Chez les males, le gène SR éradiquera tous les spermatozoïdes qui contiennent un chromosome Y.

Si vous vous souvenez bien, ce chromosome Y permet d’avoir des males avec deux chromosomes différents : X et Y (les femelles sont XX).

Bilan des courses : les descendants de males qui ont le gène SR seront des femelles uniquement.

Ces descendantes vont elles-même détenir le même gène SR et le transmettre lors d’un accouplement.

Vous voyez le tableau au final : on se retrouve avec une société d’ “amazones-mouches” ; très sympathique pour le dernier mâle survivant mais pas trop pour la communauté qui se retrouve dans une impasse génétique.

la population finit par mourrir sans descendants.

Afin de tester ce scénario d’horreur, les chercheurs ont donc comparé un groupe normal de mouches mâles et femelles pouvant avoir des partenaires multiples et un groupe de mouches mâles et femelles dont ces dernières ne pouvaient avoir le droit de s’accoupler qu’avec un seul partenaire.

Ils ont bien observé au bout du compte qu’au bout de 5 à 12 générations, la population strictement monogame s’éteignait d’elle-même, faute de mâles.

Cette expérience démontre le fait que pouvoir s’accoupler avec différents partenaires … fait la différence !

Pourquoi ?
L’astuce réside dans le fait que les mâles qui portent ce gène SR ne produise que la moitié du nombre normal de spermatozoïdes.

Lorsqu’ils tentent de féconder une femelle, leurs spermatozoïdes sont donc en net infériorité numérique par rapport aux spermatozoïdes d’un mâle qui ne porte pas ce drôle de gène.

La compétion des spermatozoïdes limite fortement la propagation de ce gène SR.

Source Imaginascience.

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Et…les nanas ?

Ce serait, peut-être, pour compenser le manque « d’imagination » de certains mecs ?

Pourquoi l’infidélité des femelles ?

[ Une étude suggère en effet que ce comportement dit de “promiscuité (sexuelle)” dans le jargon des biologistes et évolutionnistes serait très avantageuse afin d’éviter la pure et simple extinction.

Ce comportement est par ailleurs risqué au niveau individuel car lors de l’accouplement, les risques d’être surpris par un prédateur est plus grand et reste consommateur en énergie et en temps ainsi qu’en calories pour l’ardente femelle.
Il faut comprendre au préalable qu’il existe un gène nommé SR (pour sex-ratio) qui introduit un biais dans l’égalité des sexes à la naissance.

Voici comment ce gène fonctionne.

Chez les males, le gène SR éradiquera tous les spermatozoïdes qui contiennent un chromosome Y.
Si vous vous souvenez bien, ce chromosome Y permet d’avoir des males avec deux chromosomes différents : X et Y (les femelles sont XX).
Bilan des courses : les descendants de males qui ont le gène SR seront des femelles uniquement.

Ces descendantes vont elles-même détenir le même gène SR et le transmettre lors d’un accouplement.
Vous voyez le tableau au final : on se retrouve avec une société d’ “amazones-mouches” ; très sympathique pour le dernier mâle survivant mais pas trop pour la communauté qui se retrouve dans une impasse génétique.
la population finit par mourrir sans descendants.

Afin de tester ce scénario d’horreur, les chercheurs ont donc comparé un groupe normal de mouches mâles et femelles pouvant avoir des partenaires multiples et un groupe de mouches mâles et femelles dont ces dernières ne pouvaient avoir le droit de s’accoupler qu’avec un seul partenaire.
Ils ont bien observé au bout du compte qu’au bout de 5 à 12 générations, la population strictement monogame s’éteignait d’elle-même, faute de mâles.
Cette expérience démontre le fait que pouvoir s’accoupler avec différents partenaires … fait la différence !

« Pourquoi ? »
L’astuce réside dans le fait que les mâles qui portent ce gène SR ne produise que la moitié du nombre normal de spermatozoïdes.
Lorsqu’ils tentent de féconder une femelle, leurs spermatozoïdes sont donc en net infériorité numérique par rapport aux spermatozoïdes d’un mâle qui ne porte pas ce drôle de gène.
La compétion des spermatozoïdes limite fortement la propagation de ce gène SR. ]
Source Imagina sciences

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Et chez les nanas ?

Seulement pour palier au manque d’imagination masculine ?

Désir et…Agressivité !

désir de femme(fusain et pastel gras)
[ Mieux gérer son agressivité permet de libérer le désirTrop d’agressivité nuit au désir. Ravaler sa colère aussi. Trouver le juste équilibre, c’est ce que propose la thérapeute Brigitte Martel.

Directrice adjointe de l’Ecole parisienne de Gestalt, elle s’est spécialisée dans l’accompagnement des problématiques sexuelles.

« Pour moi, la question de l’agressivité est devenue un fil conducteur pour comprendre les baisses de désir sexuel et proposer des pistes de travail. Frederik S. Perls, le fondateur de la Gestalt, parlait d’une « saine agressivité » : celle du bébé qui crie et mord pour se nourrir, celle qui donne envie aussi de « mordre » la vie à pleines dents.

L’absence de désir sexuel est souvent liée à une mauvaise gestion de cette agressivité. Une de mes patientes s’inquiétait de ne plus ressentir de désir pour son mari. Je lui ai proposé d’imaginer son problème résolu, je l’ai encouragée à se ressentir « désirante », pleine d’appétit sexuel… Elle se bloquait, prenait l’air sévère. Elle a fini par me dire : « C’est bizarre, je n’y arrive pas, pourtant, c’est ce que je veux… » Jusqu’à lâcher en criant : « Ah, non, il ne mérite pas ça ! » Sa voix s’était durcie, son corps se bloquait. Peu à peu, en parlant avec moi, elle vint à réaliser que son manque de désir était une manière détournée de dire à son compagnon combien elle lui en voulait. Cette agressivité qu’elle ne pouvait exprimer s’était accumulée, elle lui nuisait mais, en même temps, elle la dégageait de toute responsabilité : « Si je me mets en colère contre lui, je suis responsable, alors que si je n’ai pas de désir, ce n’est pas ma faute… »

Ici, nous avions affaire à une agressivité déviée. Il y a aussi beaucoup de cas « d’hypoagressivité », typique de ceux qui n’osent pas s’affirmer. Souvent, les injonctions entendues dans l’enfance ont façonné leur corps. Ceux à qui on a répété : « Ne bouge pas comme ça ! », vivent avec un bassin rigide, bloqué. Ils ne s’autorisent pas à éprouver du désir. A l’inverse, ceux qui ont une agressivité débordante, les hyperagressifs, ont du mal à canaliser leur désir. Parmi eux, il y a ces hommes dont les femmes se plaignent : « Il me saute tout de suite dessus. » Quand on regarde le manque de désir sous ce prisme-là, on fait avancer la thérapie. Pour beaucoup de patients, il va s’agir de retrouver, de façon admise et cadrée, une bonne circulation de leur agressivité. Grâce aux fantasmes, par exemple. En groupe, ou lors de rêves éveillés, je leur propose d’explorer les images fantasmatiques qui leur viennent spontanément. Dans la plupart de ces films érotiques intérieurs, l’agressivité est présente : beaucoup parlent de soumission, de domination… Le traitement consiste à permettre à la personne de se « balader » dans son désir tout en comprenant qu’elle n’est pas obligée de passer à l’acte. Fantasmer, cela permet de récupérer et refaire circuler une agressivité que l’on n’agira pas. C’est une vraie révélation pour beaucoup de patients. Je pense à cet homme qui se plaignait de ne plus désirer sa compagne. Peu à peu, il m’avoua qu’il s’était interdit de regarder les autres femmes. Il n’osait pas fantasmer. Résultat, il avait éteint tout appétit en lui. Pouvoir jouer avec sa vie fantasmatique permet de réguler son agressivité.

Selon moi, la bonne santé sexuelle repose sur la fluidité entre tendresse et agressivité. La première est souvent invoquée, la seconde, oubliée. Or, c’est aussi en acceptant et en valorisant son pôle agressif que le pôle « tendresse » d’une personne pourra prendre toute sa valeur dans la relation sexuelle. » ]
Pascale Senk

Source Psychologies.

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« la bonne santé sexuelle repose sur la fluidité entre tendresse et agressivité »…

c’est bein vlai ça !!!

Porno féminin…

Amours masquées ( Pastel gras).

 » Porno féminin : à quoi ça ressemble ?

Si les femmes s’attaquent à l’industrie du sexe, ce n’est pas pour rien. Souvent négligées, elles ne se reconnaissent peu ou pas dans le porno typiquement masculin. Comment combler ce manque ?

Exit les femmes parfaites qui gémissent follement à la moindre caresse -quand il y en a-, exit l’image d’une femme objet, et enfin exit les prouesses sexuelles dignes d’un gymnaste international !

Le porno féminin veut changer un peu la donne. Non pas en revenant au bon vieux film érotique, au scénario largement discutable, à la musique niaise et aux scènes prudes où l’on se contente d’une vague chute de rein en mouvement. Le porno féminin c’est avant tout un juste milieu. La plupart de ces longs ou courts métrages veulent tout simplement revenir à un peu plus de réalisme. La femme est d’avantage considérée et satisfaite, avec des cunnilingus de plus de cinq minutes, des stimulations de seins… Elle ne se contente plus d’être un simple objet pour le plaisir masculin.

Savant mélange d’érotisme et de pornographie

N’allez pas croire que la gent féminine est prude et se contente de quelques scènes de tendresse érotiques. Du sexe oui, mais un peu de réalisme que diable ! Comme une bonne vieille recette de cuisine, les films pornos féminins apparaissent comme un savant mélange d’érotisme et de pornographie.

Prenez des acteurs et actrices naturels, ajoutez-y un peu de sensations justes, un soupçon d’esthétisme, enfin placez la libido féminine au centre de l’action. Vous obtiendrez une montée progressive du désir avec une identification enfin accessible pour ces dames. Voilà une recette qui apparait comme le bon compromis entre le plaisir des hommes et celui des femmes.
Le porno féminin semble donc posséder les atouts nécessaires pour séduire ces dames, sans pour autant dénaturer la pornographie dans toute sa splendeur !  »
Margaux S. – le 19/10/2010
Source plurielles.

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Tout cela pour faire comprendre à des récalcitants, que faire le sexe à la manière préhistorique,
c’est non seulement super ringard et super macho, mais qu’en plus, il oblige la partenaire à faire son grand cinéma en « Trois D » et à prendre son pied en solo…APRES ? ? ?

Et faire VRAIMENT… l’amour ? En général, il n’y a pas de « recette »; chaque couple invente son propre logiciel en conjugant sexe ET…Amour ! 😉

L’agressivité au féminin

Agressivité de type mec
[ Rentrée à MA plage…Cool!]
 » Les filles peuvent-elles se montrer aussi agressives que les garçons? Oui, mais alors que les garçons préfèrent utiliser leurs poings, les filles préconisent une agressivité dite relationnelle. Pierrette Verlaan, professeure au Département d’éducation spécialisée de l’Université de Sherbrooke, tente de démontrer de quelle façon cette agressivité influence le développement des filles.
( Par Élise Giguère )

Durant les années 80, Pierrette Verlaan travaillait comme éducatrice dans un centre pour jeunes filles en difficulté.  » J’ai constaté que ces filles étaient dépressives et anxieuses, raconte-t-elle. Elles vivaient de gros problèmes, mais comme elles n’avaient jamais dérangé la société ni jamais battu personne, on les avait négligées.  »

Pour mener une intervention adéquate, l’éducatrice consultait des études sur les troubles de comportement. Cependant, elle restait toujours sur sa faim.  » Il n’y avait rien sur les filles! « , affirme-t-elle. Pour trouver réponse à ses questions, elle a entrepris des études universitaires, études qui l’ont menée jusqu’au post-doctorat.

Depuis 1994, la chercheuse effectue une étude sur un groupe de 400 élèves, garçons et filles, de la ville de Saint-Jean-sur-Richelieu. Sa recherche étudie l’évolution des conduites agressives en fonction du sexe de l’enfant. Elle évalue également l’influence de ces conduites sur le développement de l’enfant. Les études de Pierrette Verlaan démontrent entre autres que les comportements agressifs des filles ne correspondent pas à la définition usuelle de l’agressivité.

Douce agressivité

Les filles sont expertes dans les relations interpersonnelles. Elles établissent des amitiés très intimes et elles évoluent surtout en petits groupes. Contrairement aux garçons, elles n’ont pas de modèle d’agressivité.  » Les garçons peuvent se tirailler et se battre. On leur permet d’exprimer leur agressivité « , affirme Pierrette Verlaan. Chez les filles, on désapprouve l’agressivité. Il suffit de penser à la mère d’Aurore l’enfant martyr. On trouvait ça vraiment affreux de voir une femme agressive.  »

Donc, l’agressivité physique ne se conjugue pas au féminin dans notre société. Pourtant, les femmes vivent autant la colère que les hommes. Dans une étude célèbre, on avait demandé à des individus de donner des chocs électriques à une personne qui ne pouvait les voir. (Évidemment, ils administraient sans le savoir de faux chocs à un comédien!) Or les femmes se sont montrées aussi tortionnaires que les hommes. Mais comment les femmes expriment-elles leur agressivité dans la vie de tous les jours? En utilisant leur point fort : les relations.

L’agressivité relationnelle consiste à causer du tort à quelqu’un en attaquant ses relations interpersonnelles. Partir des ragots, raconter les secrets des autres, ridiculiser ou exclure une personne de son groupe d’amis constituent autant de manifestations de cette forme d’agressivité. Et celle-ci n’est pas seulement l’apanage des filles! Les petits garçons la pratiquent aussi, mais de façon beaucoup moins marquée que les filles. La proportion de garçons agressifs relationnellement équivaut environ à la proportion de filles agressives physiquement.  » Pour une fille, être exclue d’un groupe, c’est bien pire que de recevoir une jambette! « , de dire la chercheuse.

L’agressivité des enfants est mesurée à l’aide d’une évaluation par les pairs. La chercheuse remet un questionnaire aux enfants sur lequel est indiqué le nom de chaque élève de la classe. Les enfants jugent donc leurs compagnons d’après différents critères. (Par exemple, est-ce que cet ami-là parle dans le dos des autres? Est-ce que celui-ci se bat souvent…) Grâce à leurs réponses, elle arrive à cerner les enfants agressifs physiquement ou relationnellement.

De l’agressivité à la délinquance

Selon les résultats préliminaires de l’étude de Pierrette Verlaan, amorcée en 1994, l’agressivité relationnelle semble constituer un facteur de développement de la délinquance à l’adolescence.  » Certaines des filles qui faisaient de l’agressivité relationnelle à dix ou onze ans commencent aujourd’hui, vers l’âge de quatorze ans, à démontrer des signes de délinquance mineure. Elles ne respectent pas les heures de rentrée, elles ne réussissent pas bien à l’école, elles s’opposent à l’autorité de leurs parents « , affirme la chercheure.

Cependant, la chercheuse hésite à se prononcer sur ces résultats partiels. Elle étudie un domaine quasi inconnu! Beaucoup d’études ont déjà été menées sur l’agressivité physique, mais comme peu de filles sont turbulentes, elles ne faisaient pas l’objet de ces études. On sait que les garçons démontrant des signes d’agressivité physique présentent plus de risques de sombrer dans la criminalité à l’âge adulte. Quels sont les risques pour les enfants qui s’attaquent aux relations des autres?  » Pour l’instant, les filles pratiquant l’agressivité relationnelle semblent se diriger vers la délinquance à l’adolescence. Ce sera très intéressant de voir encore comment va se dessiner leur profil à l’âge adulte.  »

Par ailleurs, la famille joue un rôle important dans le développement de l’agressivité physique. Comme le dit la chercheuse :  » Dans certaines familles, l’enfant voit qu’on règle les problèmes en criant et en se battant. Comme les enfants apprennent par modelage, ils reproduisent ces comportements.  »

Dans le cas de l’agressivité relationnelle, les chercheurs ne savent pas encore si la famille constitue un lieu d’apprentissage. Pour son étude à Saint-Jean-sur-Richelieu, Pierrette Verlaan interroge les parents sur leur relation de couple, leur relation avec leur enfant, leurs antécédents de délinquance et sur leur situation socioéconomique. En fait, elle utilise les mêmes modèles théoriques que ses collègues qui travaillent sur les troubles de comportement liés à l’agressivité physique.  » On essaie de voir si les modèles théoriques vont fonctionner pour l’agressivité relationnelle. Il faudra peut-être inventer de nouveaux questionnaires pour comprendre comment se règlent les conflits dans les familles où les enfants préconisent ce type d’agressivité.  »

Chercher pour intervenir

Selon Pierrette Verlaan :  » Si on réussit à prouver que l’agressivité relationnelle constitue un facteur de risque pour le développement d’une certaine forme de délinquance et problèmes d’adaptation ultérieurs, on pourra effectuer une intervention appropriée aussitôt que le problème d’agressivité sera détecté.  »

Malgré son statut de chercheuse universitaire, Pierrette Verlaan trouve l’intervention primordiale dans son domaine. Elle n’a pas oublié l’époque où elle-même jouait le rôle d’intervenante. En plus de son étude sur l’agressivité relationnelle, la professeure travaille en collaboration avec le Groupe de recherche sur les inadaptations de l’enfance (GRISE). Son expertise l’amène également à œuvrer pour le centre de recherche Fernand-Séguin. Toutes ses recherches répondront peut-être enfin à ses questions et à celles des intervenants qu’elle forme maintenant.
Source usherbrooke.

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 » L’agressivité relationnelle consiste à causer du tort à quelqu’un en attaquant ses relations interpersonnelles. Partir des ragots, raconter les secrets des autres, ridiculiser ou exclure une personne de son groupe d’amis constituent autant de manifestations de cette forme d’agressivité. Et celle-ci n’est pas seulement l’apanage des filles! Les petits garçons la pratiquent aussi, mais de façon beaucoup moins marquée que les filles. »

Je confirme: mec et nanas de ce type, rencontrés sur blog.fr !

Partir des ragots colportés dans les messages, raconter les secrets des autres, ridiculiser ou TENTER d’exclure une personne de son groupe d’amis…

Ce n’est vraiment pas mon truc.

Moi? Une agressivité de type… »mec »!

Pour le mois de Novembre: 14 597 pages vues, 9650 visiteurs de 125 pays…

Nov 2010-tingy-tanana.blog.fr-world

Pendant le mois de Novembre 2010 – Total des pages vues: 14 597- Total des visiteurs: 9 650 – Pays visiteurs: 125.

Je suis touchée que mes articles…Visitent tant de pays! 😉

Pourtant ce n’est pas un blog fédérateur; c’est le moins que l’on puisse dire !

(Comme disait en substance, quelqu’un de célèbre dans une émission de Ruquier: » Ce n’est pas la critique désobligeante qui me peine, mais c’est le fait d’être critiqué(e) par un(e)…imbécile »

Merci à vous …

" Plus grand que l’amour est le temps"…

Petites soeurs de coeur

Le Portrait

Le portrait ne dit plus
bonjour
ni peut-être bonne nuit
des rêves légers
jusqu’au point du jour

non il ne dit rien
il n’est qu’un portrait
où au lieu d’un regard pensant
se couche impunie
la poussière des jours

et celui qui en ayant de l’excessif attrait
por le voir et l’écouter
se perdait dans la folie
ne s’y reconnaît plus aujourd’hui

Plus grand que l’amour est le temps

(Margarida Finkel)

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 » Plus grand que l’amour est le temps »…

C’est une phrase terriblement belle

Mon âme a frissonné…

Merci Princessa miaMerci Princesse

Ecoute avec moi, Princesse :
http://www.blog.fr/srv/media/dewplayer.swf?son=http://data6.blog.de/media/773/5175773_a94b4924e7_a.mp3

Le Parc de l’Ankarana…

 » Le parc d’Ankarana s’étend sur 18 225 ha…Grottes de stalactites et stalagmites, lac sacré, crocodiles, la plus petite et la plus grande chauve- souris du monde, Tsingy…

La faune

Les inventaires ont recensé 60 espèces de reptiles et amphibiens, 96 espèces d’oiseaux, 50 espèces de mollusques et un grand nombre d’escargots des tsingy. 14 espèces de chauves-souris, soit la moitié des chauves-souris de Madagascar vivent dans les grottes d’Ankarana. Deux d’entre elles, les Mégachiroptères et les Microchiroptères, sont respectivement les plus petits et les plus grands chauve-souris du monde.

11 espèces de lémuriens vivent à Ankarana. C’est d’ailleurs dans ce parc que le fameux Propithecus perrieri, connu sous le nom vernaculaire de Propithèque noir a été vu pour la dernière fois par les agents du parc en 1995 et 1996. Entre temps, la présence du « èbe nain » Microcebus myoxinus reste encore à reconfirmer…

La flore

Au moins 330 espèces végétales sont connues à Ankarana. La plupart des arbres portent des feuilles caduques et beaucoup fleurissent de septembre en novembre. Plusieurs espèces endémiques de l’extrême nord se retrouvent à Ankarana : le Pachypodium baronia, l’Adansonia perrieri, le Delonyx velutina, l’Hildegardia erythosyphon.

Plusieurs types de formations végétales se distinguent au cœur du parc. Une végétation érophyte sur les Tsingy : ces plantes se sont adaptées à la sècheresse.

Les forêts qui se sont formées dans les gorges sont les plus riches en diversité d’espèces. Les plus typiques sont les Ficus de la famille des Morcacées, l’Andansonia de la famille des Bombacacées et les Pandanus, de la famille des Pandanacées.Ces forêts son

on retrouve aussi les savanes arborées faites de Commiphora de la famille des Burseracées, les Hildegardia de la famille des Sterculiacées. La canopée culmine à 20 mètres. C’est le genre de forêts connue dans l’Ouest de Madagascar »…
Source Madagascar National Park.

Les " filles" de Diego…

Diego ce jour sous la pluie

La Tribune de Diego- bimensuel d’information.

 » Diego Suarez : à l’origine, une base militaire-

Impressions de visiteurs à Diego des 1890
Beaucoup de malentendus entourent la création de la ville. Quand le village d’Antsirane est devenu Diego, dockers arabes, commerçants indiens et militaires français fascinent les voyageurs…

Les ‘filles’ à Diego Suarez font partie de la vie économique et sociale de la ville depuis son origine. Certains voyageurs ou touristes sont frappés par leur omniprésence, d’autant qu’elles ne se cachent pas et n’ont aucun quartier particulier où elles sont’ ‘parquées’. Pourtant, il ne serait pas exact de les assimiler à des filles de joie ou de manière plus contemporaine, à des pauvres filles qui vendent leurs corps pour survivre.

L’origine de cette présence féminine plonge ses racines dans l’histoire du pays et de la ville. «Les femmes Sakalava et Antakarana», explique Cassam Aly, mémoire vivante de la ville et lui même enfant de métissages multiples, «avaient une tradition particulière: après un an de mariage, un mariage qu’elle contractait pour faire plaisir aux parents, elle pouvait retrouver leur liberté!».

Au début du 20e siècle, cette liberté a été la chance des quelque milliers d’hommes seuls qui étaient venus à Antsiranana pour construire la ville. L’opportunité a été immédiament ‘saisie’ et porté ses fruits: il n’a pas fallu attendre une génération pour voir apparaître dans la ville de petits métis, enfants de filles malgaches et de militaires français, mais égalemnt d’Arabes, de Comoriens, d’Africains ou d’Indiens.

Cette étonnante coutume a fait la ‘fortune’ de la ville. Quand une femme du nord de Madagascar disait quelque part en brousse, «je vais à Antsiranana», cela signifiait «je vais là, où les gens ne sont pas de la même race», soit dans le lieu de la mixité. Mais attention, au bout de six mois de ‘mixité’ libre, ces femmes mettaient un ultimatum: ou le fiancé acceptait d’être présenté à la famille ou la femme le congédiait!  »
Suzanne Reutt, Ass. Ambre

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Dans le port de Diego

Y a des marins qui boivent

Et des filles qui trinquent…