104 pays : Anguilla AUSSI !

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(Photo:Little Bay-Anguilla par axa beachlver).

 » A peine un grain de sable. Tout juste un confetti doré posé sur l’eau. Anguilla, prononcer ann-gwil-ah, est une île microscopique, un éden mythique en forme de fine bandelette d’une vingtaine de kilomètres de long, dépliée délicatement sous les tropiques pour voyageurs fortunés en mal de tranquillité et de resorts tout inclus.
Robert De Niro, Brad Pitt, Denzel Washington et d’autres n’en finissent pas de fouler discrètement les plages de cette dépendance britannique des Caraïbes les soirs de Noël et du Nouvel An. Rien à voir avec l’exubérante île Saint-Martin, ses boîtes de nuit à gogo et ses boutiques d’import-export, plantées là, juste en face à une demi-heure de bateau-taxi. Aucun aéroport international ni port en eaux profondes pour croisières de masse…

[Les premiers habitants de l’archipel d’Anguilla, à l’exemple des autres îles Sous-le-Vent, furent les Amérindiens ciboney qui y vivaient il y a environ 2500 ans. Plus tard, les Ciboney durent affronter les Arawaks à partir du 1er siècle de notre ère, puis ils disparurent progressivement. Ce n’est que vers le XIIIe siècle que les Arawaks durent à leur tour fuir les terribles Caribes qui prirent la relève. Aucun des deux peuples amérindiens d’origine n’aurait survécu jusqu’à nos jours, mais, d’après le gouvernement, on compterait 19 Amérindiens dans l’archipel.Site United Kingdom.]

…C’est Christophe Colomb qui baptisa l’île Anguilla («Anguille» lors de son second voyage en 1493, en raison de sa forme allongée; c’est probablement l’idée que s’en faisait Colomb. Les Espagnols n’exploitèrent pas l’île en raison de la présence hostile des Amérindiens. Ce furent les Anglais qui colonisèrent l’île d’Anguilla dès 1650. Pour y réussir, ils durent affronter les Caribes, les Espagnols et les Français. Les Britanniques s’installèrent et firent venir quelques milliers d’esclaves noirs pour développer l’industrie sucrière. Les Noirs développèrent leur créole particulier. La France occupa Anguilla durant une courte période au XVIIIe siècle. En 1825, l’archipel d’Anguilla fut administrée à partir de Saint-Christophe (St Kitts), ce qui eut pour effet de priver Anguilla d’une certaine autonomie. Les administrateurs de Saint-Christophe demeurèrent relativement indifférents aux besoins des Anguillais. Cette situation perdura durant environ 150 ans.

Surtout ne rien dire. Garder secrète cette destination comme pour préserver l’équilibre fragile de ce petit îlot marginal qui tire ses revenus du tourisme de luxe et des activités offshore. Paradis fiscal light comparé aux Bahamas et îles Vierges voisines, Anguilla, avec quelque 8 000 entreprises étrangères domiciliées sur ses registres, est une goutte d’eau dans cet océan des bas-fonds de la finance. Ici, on ne parle pas de blanchiment d’argent, de narcotrafic ou de commerce d’armes.

On rappelle plutôt qu’aucun casino n’a pris racine sur l’île. Qu’en 1998, le gouvernement insulaire, sourcilleux de son image, ferma une cinquantaine d’officines offshore qui avaient fleuri un peu trop vite à la marge du négoce mondial. Aujourd’hui, il n’en reste que trois. « Des banques sous contrôle, au développement plus doux qu’ailleurs », glisse John Benjamen, avocat d’affaires affalé derrière son bureau ensoleillé.

Pas de vague. Un moratoire sur les constructions est venu limiter à 90 le nombre d’hôtels. Une façon pour les autorités de repousser pour quelque temps l’éternel combat entre le tourisme et la vie sauvage. Au total, une dizaine de palais très haut de gamme se partagent les plus belles plages et criques au sud d’Anguilla. Des idylles discrètes ou ostentatoires à 1 000 dollars la nuit en haute saison. De folles résidences où les appartements n’ont pas de clés et les cuisiniers peu d’interdits.

Pour se laisser habiter par l’île, il faut tourner le dos à cette opulence. Sortir. Se perdre en gardant toujours un oeil sur la mer. Ne penser à rien, excepté peut-être à Henri Michaux qui disait que « l’âme adore nager ». Prendre une voiture de location, un taxi. Ici, les transports publics n’existent pas. S’engager sur la route, la seule de l’île qui longe inlassablement la côte et épouse ses contours en formant une fine boucle pour ne se croiser qu’une ou deux fois, à The Valley (La Vallée), bourg de 1 000 habitants qui fait office de capitale.

Quelques bars dispersés, une maison de la jeunesse, un stade, des boutiques poussiéreuses, une poignée de restaurants chinois et une kyrielle d’églises évangélistes. The Valley est une cité Far West, sans centre et sans âme, qui ne s’anime jamais vraiment, excepté peut-être les samedis soir où l’on installe les barbecues au coin des rues. Poulet et bière au menu et radiocassette en fond sonore. C’est peut-être les relents d’épices et de sueur qui attirent l’attention. Et cet anglais local mâtiné d’espagnol, de créole et d’un peu de tout.

En contrebas, on tombe sur des salins à l’abandon depuis plus de vingt ans. Une sorte de désert d’écume qui rappelle que l’île avait une activité ouvrière avant d’encaisser les billets verts. Là, à Sandy Ground, sur le bord de la route, la maison en bois de Sir Emile Gumbs, ancien premier ministre de l’île devenu à 79 ans la mémoire vive d’Anguilla.

C’est lui qui fait visiter sur un simple coup de fil les lieux de mémoire comme ce cimetière anglican, sans nom, du XVIIIe siècle envahi par la végétation, ce puits aussi, qui rappelle que l’eau courante n’existe ici que depuis une quinzaine d’années, tout comme le téléphone et l’électricité. Lui qui évoque le mieux la fierté insulaire des Anguillais, ces enfants d’esclaves ciselés au gré des vents mauvais et des sols arides très vite abandonnés par les colons en quête d’un avenir meilleur. « L’île a toujours été à part », dit-il dans un large sourire.

Vers le nord, Anguilla se fait plus sauvage. Beaucoup de vert, sans fleur aucune, sauf les quelques touffes rouge éclatant des flamboyants, les taches blanches aussi des yuccas. D’énormes arbustes se dressent. Parfois des chèvres. Sur le bas-côté de la route, le soir venu, des habitants, très souvent seuls, tournent le dos à la mer, une bouteille à la main.

A l’est, sur Long Path Road, au milieu de rien, une maisonnée perdue. Une affiche indique JJ Night Club. Entrée libre. Ici, merengue et salsa s’enchaînent dans une fureur assourdissante. Sur la minuscule piste de danse, des locaux, des couples enlacés. Les regards sont fiévreux, et les corps s’alanguissent. Pas de stars, pas de strass. Anguilla s’échappe dans un tourbillon de plaisir. Dehors, le temps s’arrête pour une de ces nuits plus belles que le jour.  »

Nicolas Bourcier- Le Monde.fr

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 » L’île d’Anguilla est la plus au nord des îles sous-le-vent. Elle comprend aussi l’île de Sombrero ainsi que quelques autres petites îles et îlots. Les plus beaux endroits sont occupés par les hôtels et plusieurs sont situés sur de merveilleuses plages de corail blanc qui sont parmi les plus belles plages au monde. Ces îles sont principalement plates et offre un refuge parfait pour ceux qui souhaite s’éloigner de tout. Le nom Anguilla vient de « anguila » (qui signifie anguille en espagnol) et a été attribuée à l’île par les Espagnols, à cause de sa forme rappelant une anguille.

Histoire
Christophe Colomb navigua par Anguilla en 1493 mais ne s’arrêta pas sur l’île. Ce sont les colons anglais de Saint Kitts qui s’établirent les premiers sur l’île d’Anguilla au XVIIe siècle. Anguilla fut administrée par la Grande Bretagne jusqu’au début du XIXe siècle, lorsque l’île – contre le souhait de ses habitants – fut incorporée dans une unique dépendance Britannique avec Saint Kitts and Nevis. Plusieurs tentatives de séparation échouèrent. Puis en 1971, deux ans après une révolte, Anguilla fut finalement autorisé à faire sécession. Formellement, l’île devint un état en association avec la Grande Bretagne jusqu’en 1980, date à laquelle elle fut octroyée le statut de territoire dépendant britannique.

Culture
Ses habitants, qui cultivent la détente comme un véritable art de vivre, vous accueillent tout naturellement avec le sourire sur leur petit paradis, où le rythme de vie est des plus paisibles.

La plupart des excursions sont une exploration de plages plus belles les unes que les autres. Il y a aussi quelques monuments historiques telle la maison Wallblake House, une impressionnante plantation restaurée. Les ruines du fort hollandais, construit au XVIIe siècle est situé sur Sandy Hill. La tombe du gouverneur Richardson (1679-1742) aussi à Sandy Hill est bien conservée. Enfin les étangs salés à Sandy Ground et West End sont dignes d’intérêt.
Il y a plus de 30 plages à Anguilla, quelques unes sont de longues de plusieurs kilomètres, d’autres sont de petites criques cachées ou entourées de rochers leur donnant l’allure de grottes. Plusieurs de ces fabuleuses plages portent les noms de Rendezvous, Shoal Bay, Road Bay, Maundays Bay, Cove Bay, Meads Bay et Crocus Bay. Les visiteurs amateurs de solitude et intimité pourront louer un bateau et visiter les îles Sandy ou Sombrero, situées 48 kilomètres au nord ouest d’Anguilla. Les plus petits îlots de Scrub, Dog et Prickly Pear sont à courte distance et facilement accessibles en bateau à moteur. »
Site Forfaits et Hébergements.

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Quatre pays visiteurs de plus: 104 pays ont visité mon blog.

Un grand Merci à tous les pays ci-dessous, pour l’intérêt qu’ils portent à mes articles :

France (FR) Belgium (BE) Canada (CA) Tunisia (TN) Morocco (MA) Algeria (DZ) United States (US) Reunion (RE) Switzerland (CH) Brazil (BR) United Kingdom (GB) Cote D’Ivoire (CI) Senegal (SN) Germany (DE) Guadeloupe (GP) Martinique (MQ) Mauritius (MU)Spain (ES) Iran, Islamic Republic of (IR) Italy (IT) Madagascar (MG) Luxembourg (LU) New Caledonia (NC)Burkina Faso (BF)Lebanon (LB) le Cameroon (CM)Haiti (HT) Netherlands (NL) Japan (JP) French Guiana (GF) Congo, The Democratic Republic of the (CD) Israel (IL) Portugal (PT) Benin (BJ) weden (SE) Australia (AU) Mali (ML) Romania (RO)Mauritania (MR) Poland (PL) Austria (AT) South Africa (ZA) Greece (GR) India (IN) Mexico (MX) Togo (TG) Hungary (HU) Nigeria (NG) Thailand (TH) French Polynesia (PF) Gabon (GA) Egypt (EG) Rwanda (RW) Kenya (KE) Serbia (RS) Korea, Republic of (KR)Denmark (DK) Dominican Republic (DO) Niger (NE) Saudi Arabia (SA) Argentina (AR) Paraguay (PY)
Ecuador (EC) Vietnam (VN) Ireland (IE) Djibouti (DJ) Lithuania (LT) New Zealand (NZ)Indonesia (ID) Finland (FI) Norway (NO)Slovenia (SI) Slovakia (SK) Monaco (MC)Bulgaria (BG) Czech Republic (CZ) Saint Lucia (LC) Kuwait (KW)
Hong Kong (HK) Oman (OM) Chile (CL) Yemen (YE) Afghanistan (AF) Belarus (BY) Isle of Man (IM)Mayotte (YT) Uruguay (UY)
Angola (AO) Venezuela (VE) Anguilla (AI) Philippines (PH) Puerto Rico (PR) Syrian Arab Republic (SY) Jordan (JO) Libyan Arab Jamahiriya (LY)El Salvador (SV) Cambodia (KH) Ghana (GH) Malaysia (MY) Guinea (GN) United Arab Emirates (AE)
Albania (AL)Andorra (AD) Uganda (UG).

"La justice d’abattoir " !

Martine Gozlan –

…[ Ce que le grec Eschyle appelait «la justice d’abattoir»- car la lapidation était une pratique antique dans tout le bassin méditerranéen et oriental- est donc encore enkysté dans les réflexes de vastes pans du monde contemporain. Mentionnée dans l’Ancien Testament, condamnée avec une chatoyante humanité par le seul Jésus, elle ne figure pas dans le Coran- elle aurait répugné à Mahomet qui aimait la beauté des femmes- mais bel et bien dans les « hadiths », la foule des juridictions et prétextes qui codifièrent la loi islamique, longtemps après la mort du prophète. On en attribue la paternité à Omar, le second Calife.
On peut s’interroger sur la façon dont l’Islam a gardé la symbolique de la lapidation au cœur du pèlerinage à la Mecque, l’une des cinq obligations faites aux croyants.

L’une des principales étapes consiste en effet à lapider trois stèles figurant Satan, dans le ravin de Mina. L’excitation collective, la densité de la foule, l’obligation pour chacun de lancer ses pierres, qualifiées de « braises » , contre les colonnes sataniques , font régulièrement tourner ce moment, comme bien d’autres, à la catastrophe : nombreux blessés et, quelquefois, des morts. Le journaliste et écrivain Slimane Zeghidour l’a raconté dans le récit de son propre pèlerinage ( lire « La vie quotidienne à la Mecque », chez Hachette). Cette lapidation rituelle ne prend-elle pas un sens pénible en ces temps de montée de l’intolérance ? Bannir à jamais le concept même de la lapidation reste le rêve de ceux qui sont nés dans l’Islam et ne voient d’autre horizon que la condamnation définitive du défoulement collectif légal.

Le sort de milliers de Sakineh, à travers le monde, en dépend.]
Source Marianne Jeudi 9 Septembre 2010

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« La jeune femme iranienne condamnée à la lapidation pour adultère n’est malheureusement pas un cas isolé. De nombreux pays continuent à lapider. Plus grave : de plus en plus d’états rétablissent cette peine venue du fond des âges.  »

Le Mauvais sort des femmes EMPIRE, par la SEULE volonté de mecs misogynes et lâches qui s’ ABRITENT derrière « Dieu », pour commettre les pires infamies .

Personne ou…Une PERSONNE ?

[ « Ne jamais se rétracter, ne jamais s’expliquer, ne jamais s’excuser – il n’y a qu’à réaliser des choses et laisser hurler les autres. » Nellie McClung (1873-1951).

Les cinq femmes célèbres et l’affaire « personne » : des activistes de la première heure défient les vues conventionnelles et changent le cours de l’histoire du Canada.

Le début du XXe siècle et les femmes courageuses qui ont contesté la situation des femmes à cette époque font maintenant partie du paysage historique du Canada. Cinq femmes ont écrit l’histoire juridique des droits des femmes en contestant la notion selon laquelle les femmes étaient exclues de la définition juridique de « personne ». Si les femmes n’étaient pas des personnes sur le plan juridique, elles n’avaient aucun droit.

« Nous désirons, plus que jamais auparavant, que des femmes soient des leaders. Des leaders qui n’ont pas peur des injures, qui sont prêtes à se battre. Je crois que les femmes peuvent sauver la civilisation. Les femmes sont des personnes. » (Traduction) Emily Murphy (1931)

L’Acte de l’Amérique du Nord britannique AANB de 1867 établissait les pouvoirs et responsabilités des provinces et du gouvernement fédéral. Le terme « personnes » était utilisé dans cette loi fédérale pour désigner plus d’une personne et le pronom « il » lorsqu’il s’agissait d’une seule personne. Par conséquent, bien des gens soutenaient que la loi stipulait en fait que seul un homme pouvait être une personne, empêchant ainsi les femmes de participer pleinement à la vie politique ou aux affaires de l’État.

Cette situation préoccupait la Canadienne Emily Murphy, la première femme magistrat de l’Empire britannique. La juge Murphy a été la première magistrate du nouveau Tribunal des femmes, à Edmonton. Le jour de son entrée en fonction, l’avocat de la défense conteste une décision sous prétexte qu’elle n’est pas une « personne » et que, par conséquent, elle ne peut remplir les fonctions de magistrate.

La magistrate Alice Jamieson, de Calgary, voit son autorité contestée de la même façon en 1917. Un de ses jugements fait l’objet d’un appel auprès de la Cour suprême de l’Alberta qui estime qu’il n’existe aucune exclusion juridique fondée sur le sexe relativement à l’exercice d’une charge.

Au même moment, des groupes de femmes commencent à exercer des pressions sur le gouvernement fédéral pour qu’il nomme une femme au Sénat. Malgré l’appui des premiers ministres Arthur Meighen et William Lyon MacKenzie King, aucune nomination n’est faite. Les gouvernements invoquaient l’argument de la « personne » pour justifier l’exclusion des femmes de postes importants, en l’occurrence, une nomination au Sénat. Si seul un homme pouvait être une personne, seuls des hommes étaient admissibles à des postes au Sénat, l’Acte stipulant que seules des « personnes ayant les qualifications voulues » pouvaient y être nommées.

Cinq femmes devenues célèbres

En 1927, Emily Murphy et quatre autres éminentes Canadiennes – Nellie McClung, Irene Parlby, Louise McKinney et Henrietta Muir Edwards – demandaient à la Cour suprême du Canada de déterminer si le mot « personne » de l’article 24 de l’AANB comprenait les femmes. Après cinq semaines de débats et de discussions, la Cour suprême du Canada répond que le mot « personne » exclut les femmes.

Ces cinq femmes, les « cinq femmes célèbres » comme on les appelle, sont indignées par la décision de la Cour suprême, mais n’abandonnent pas le combat pour autant. Elles refusent d’accepter la décision et soumettent l’affaire « personne » au Conseil privé en Angleterre, la plus haute cour du Canada à l’époque.

Le Conseil privé tranche
Les cinq femmes célèbres et l’affaire « personne »
Le 18 octobre 1929, Lord Sankey, Grand chancelier du Conseil privé, annonçait la décision des cinq Lords selon qui l’exclusion des femmes de toute charge publique est un vestige d’une époque plus barbare. Aux personnes qui se demandent si le mot « personne » doit comprendre les femmes, la réponse est évidente, pourquoi pas ?

Les cinq femmes célèbres ont obtenu non seulement le droit pour les femmes d’être nommées au Sénat, mais leurs nombreuses contributions ont ouvert la voie et permis aux femmes de participer à d’autres aspects de la vie publique. L’affirmation des droits des femmes est maintenant honorée par le Prix du Gouverneur général en commémoration de l’affaire « personne ». ]
Source Condition féminine Canada
Site sisyphe.org

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« Si les femmes n’étaient pas des personnes sur le plan juridique, elles n’avaient aucun droit. »

 » Après cinq semaines de débats et de discussions, la Cour suprême du Canada répond que le mot « personne » exclut les femmes. »

Partout, partout dans le monde les femmes DOIVENT se BATTRE pour EXISTER !

Et dire qu’il y a des… femmes(!!!) qui vomissent le féminisme

Il est facile de cracher dans la soupe quand d’autres prennent les pires « coups » pour que leur vie soit moins
critique!
>:-[

Cochabamba : les femmes et le changement climatique…

 » Les femmes et le changement climatique à Cochabamba:

…[ C’est pour cela, ajoute-t-elle, que ce ne sont pas les peuples indigènes qui vont sauver la planète car, hommes et femmes, les indigènes sont aussi de culture patriarcale, et que c’est le patriarcat qui détruit la vie…
… Sur les effets du changement climatique, elle ratifie l’analyse faite par d’autres groupes qui affirment que ces effets « sont différents pour les femmes, et sont plus intenses, à cause du rôle que la société leur a assigné, au centre duquel se trouvent la production, l’alimentation et les soins de la famille, élever les enfants et travailler hors du foyer, ce qui n’implique pas que la femme cesse de s’occuper du travail dit domestique. Tout ceci fait que les changements du climat aient sur elle des effets plus intenses ». La déclaration récuse le fait que la même logique qui assigne de façon non équitable les rôles et les tâches nécessaires au maintien de la société soit utilisée pour faire face au changement climatique. Les responsables, ces pays qui se disent développés et qui ont détruit, pollué et violenté la Pachamama, leurs industries, leurs élites et leurs grandes entreprises prétendent compenser et fixer le prix de la destruction. Sur ce sujet, le document conclut avec emphase : « depuis notre regard féministe communautaire, nous réitérons que nous ne voulons pas d’argent en compensation des dégâts causés à la Pachamama ou aux femmes. Accepter de l’argent serait une bombe à retardement qui leur permettrait de continuer à exploiter en payant pour le faire.

Nous voulons une restitution de nos droits. Il n’est maintenant plus possible de réparer le mal causé, mais on peut rendre ses droits à la Pachamama, et pour cela démanteler le patriarcat avec ses états, ses armées, ses sociétés transnationales, sa logique hiérarchique et toute la violence que cela implique envers les femmes et la Pachamama. Nous n’accepterons pas non plus, nous les femmes, qu’on nous rende responsables de la déprédation, car ce à quoi nous sommes confrontés est une tâche communautaire. C’est-à-dire de toutes et de tous ».
Les femmes ont parlé clairement à Cochabamba. Il reste l´énorme tâche de la diffusion de ces apports et de leur inclusion réelle dans le programme des mouvements sociaux qui luttent pour le changement. ]

Extrait du bulletin du World Rainforest Movement de Mai 2010 auquel Claudine Blasco, (Attac France) a participé .Dans la série Biens publics mondiaux pour l’émancipation des femmes ce qui se passe en Bolivie est exemplaire.
Source : Attac France
Site Genre en Action

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« Nous voulons une restitution de nos droits. Il n’est maintenant plus possible de réparer le mal causé, mais on peut rendre ses droits à la Pachamama, et pour cela démanteler le patriarcat avec ses états, ses armées, ses sociétés transnationales, sa logique hiérarchique et toute la violence que cela implique envers les femmes et la Pachamama. Nous n’accepterons pas non plus, nous les femmes, qu’on nous rende responsables de la déprédation, car ce à quoi nous sommes confrontés est une tâche communautaire. C’est-à-dire de toutes et de tous . »

PARFAITEMENT !!!

Enquête : décapitées, enterrées vivantes, brûlées vives, électrocutées,..

La « Matinale » d’Antenne 2 en a parlé hier .
[ Tuesday 7 September 2010-Une enquête de 10 mois par The Independent
Robert Fisk : Le « crimewave » qui fait honte au monde
C’est l’un des derniers grands tabous : l’ assassinat d’au moins 20.000 femmes par an au nom de « l’honneur » . Le problème ne se limite au Moyen-Orient : la contagion se propage rapidement.

C’est une tragédie , l’horreur , un crime contre l’humanité .

Les détails des meurtres – des femmes décapités, brûlées à mort , lapidées à mort , poignardées , électrocutées , étranglées et enterrées vivante pour l’honneur » de leurs familles – sont aussi barbares qu’ils sont honteux. De nombreux groupes de femmes au Moyen-Orient et du Sud- ouest de l’Asie, on suspecte que les victimes sont au moins quatre fois plus l’Organisation des Nations Unies parle de près de 5.000 décès par an . La plupart des victimes sont des jeunes , beaucoup sont des adolescents , abattus dans le cadre d’une tradition qui remonte à vil des centaines d’années mais qui s’étend maintenant sur la moitié du globe

Une enquête de 10 mois par The Independent , en Jordanie , Pakistan, Égypte , Gaza et la Cisjordanie a mis au jour des détails terrifiants des assassinats les plus mauvais . Les hommes sont aussi tués pour  » l’honneur « et , en dépit de son identification par les journalistes comme une pratique largement musulmans, chrétiens et communautés hindoues ont baissa pour les mêmes crimes . En effet , «l’honneur» (ou l’IRD ) des familles , des communautés et tribus transcende la religion et de la miséricorde de l’homme .

Mais les groupes de femmes volontaires , les organisations des droits humains , Amnesty International et des archives nouvelles donnent à penser que le massacre des innocents pour avoir  » déshonoré  » leur famille est en augmentation depuis un an .

Kurdes d’Irak , les Palestiniens en Jordanie , le Pakistan et la Turquie semblent être les pires contrevenants , mais la liberté des médias dans ces pays peuvent plus que compenser le secret qui entoure  » crimes d’honneur » en Egypte – qui prétend mensongèrement qu’il n’y en a pas – et d’autres pays du Moyen -Orient dans le Golfe et du Levant .

Mais les crimes d’honneur depuis longtemps se sont diffusés en Grande-Bretagne , en Belgique , en Russie et au Canada et dans de nombreux autres pays .

Les services de sécurité et tribunaux à travers une grande partie du Moyen-Orient se sont entendus pour réduire ou abroger les peines de prison pour l’ assassinat de femmes par la famille , souvent en les classant comme des suicides pour empêcher les poursuites . ]
Source THE INDEPENDENT .

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«  Mais les groupes de femmes volontaires , les organisations des droits humains , Amnesty International et des archives nouvelles donnent à penser que le massacre des innocents pour avoir  » déshonoré  » leur famille est en augmentation depuis un an .  »

Cela n’EXISTE pas, un « GENTIL » macho : le machisme (n.m.) est un système social basé sur la suprématie du mâle.(dico)

Le mâle a TOUS les DROITS: celui de TUER, aussi ! :yes: …

Le clitoris ? "Le continent noir" !

687px-Clitoris_anatomy_labeled-en[1] (photo: on dirait un Concorde prêt à s’envoler !)

Par Chronique du sexisme ordinaire 6/4/2010.
[ Le clitoris: un continent oublié

Après l’excellent « Osez la masturbation féminine », de Jane Hunt, me voilà plongée (au grand bonheur de mes voisins de transports en commun) dans « Un petit bout de bonheur, petit manuel de clitologie » de Rosemonde Pujol. Cette octogénaire (88 ans), aborde sans complexe un sujet qu’elle qualifie de « continent noir ». Après avoir fait des centaines d’entretiens avec des femmes de tous âges, de toutes professions et de toutes confessions, les exemples qu’elle cite (comme représentatifs) sont assez éclairants. Le clitoris est soit ignoré, soit conspué.
Seul organe humain qui n’a aucune utilité – à part celle de donner du plaisir aux femmes -, le clitoris a été de tous temps réduit à néant. Soit par un discours moralisateur et castrateur, soit carrément par les armes à travers l’excision – l’ablation du clitoris – , qui concerne encore plus de 150 millons de femmes dans le monde (pour en savoir plus, voir le site du GAMS). L’excision n’est pas seulement un fait « culturel » qui ne concernerait que certaines parties du monde. En France, au début du XXème siècle, Marie-Bonaparte, petite-nièce du fameux 1er et disciple accomplie de Freud, s’est faite opérer trois fois pour retirer le clitoris, qu’elle considère comme une remise en cause de sa féminité (on dit souvent qu’il s’agit du pénis féminin).

D’abord, un clitoris, à quoi ça ressemble ?
Beaucoup vous diront qu’il savent, bien sûr, un petit bouton au dessus du vagin et de l’urête, caché par les lèvres de la vulve. Raté. Le clitoris ne se résume pas au « bouton », certes fort utile, qu’on aperçoit. Le clitoris mesure 8 à 11 cm et ressemble à ce que vous voyez à droite, en rose foncé.
Etonnant non ?
C’est grace aux deux « jambes » qui entourent le vagin que la pénétration procure du plaisir aux femmes : par le frottement contre la paroi du vagin, elle même en contact avec le clitoris.
Mais ne nous racontons pas d’histoires. La partie du clitoris qui peut (parfois avec un peu de pratique et de décontraction) nous faire grimper au rideau (au plafond ou sur le toit comme chacune préfère), c’est le petit bouton visible que l’on peut stimuler de milles manières possibles (pour des idées, consulter le « Osez la masturbation féminine »). Il possède près de 8000 terminaisons nerveuses (plus que le gland du pénis !) reliées quasi directement au cerveau. Lorsqu’il est stimulé, c’est lui qui déclenche donc l’orgasme. Pour celles qui sont curieuses de voir ce que ça peut faire, je conseille vraiment le premier épisode de la saison 3 de Desperate Housewife. Ca permet de voir ce que ça fait un orgasme, la première fois (en tous cas, chez Bree).
Quand on réfléchit deux secondes, la négation de cet organe essentiel pour le plaisir féminin est tout bonnement aberrante. En laissant planer une ignorance aussi importante, sur l’anatomie féminine, la société prive des millions (des milliards ?) de femmes de la possibilité de jouïr. Donc, tout simplement, de vivre une sexualité épanouie.
J’entends la remarque : « t’exagères, la société a vachement évolué… » Le sous entendu n’est pas loin : « tu fais un peu ton hystérique, non ? » (sur l’hystérie des féministes, je vous renvoie à l’article consacré à ce sujet dans le premier n° d’Osez le féminisme).

Si tout va bien, quelques questions alors :
Combien de fois avez-vous entendu prononcer en public le mot « cunilingus » ? Alors que les mots « pipe » ou « sucer », sont monnaies courante, même s’ils sont souvent utilisés pour insulter (des femmes généralement).
Avez-vous vu l’exposition « le Zizi sexuel » à La Villette ? Magnifique travail sensé lever les tabous et expliquer enfin pour de vrai la sexualité aux enfants. Pour de vrai… pour les hommes. Pas une seule fois le mot clitoris n’est prononcé. Il est même absent du lexique de l’ouvrage consacré à l’exposition (lexique pourtant sacrément fourni).
Combien de jeunes filles assument se masturber alors que pour les garçons, la découverte du plaisir – et donc de son corps – fait partie intégrante de la puberté et est considéré comme quelque chose de tout à fait banal ?
Combien de femmes assument devant leur conjoint de se masturber, voire lui proposent de le faire ensemble ? Alors que lorsqu’un homme se masturbe, on considère que « c’est normal ». Est-ce que quelqu’un a trouvé le gène qui expliquerait que les hommes aient une libido débordante et les femmes une libido terne et ennuyante ?
Pourquoi le clitoris est-il absent de tous les schémas de présentation des organes sexuels féminins qu’on nous présente au collège ?
Nous vivons dans un monde encore sacrément marqué par des millénaires de négation et d’injonctions faites aux femmes de ne pas jouïr (religieuses, psychanalitiques ou autres). En 2010, on croirait réver et pourtant, des milliers de femmes n’ont jamais découvert cet organe incroyable qui peut leur procurer en deux-trois mouvements (ou un peu plus) une sensation de plaisir et d’apaisement que tous les massages du monde, les tisanes et les bons bouquins ne sauront remplacer.

Alors, pour donner à toutes un conseil que m’avait donné le planning familial lors d’une réunion organisée à l’université il y a quelques années : les filles, prenez un miroir et observez votre sexe. Trouvez votre clitoris et découvrez comment il fonctionne (généralement, à merveille).
Comme le souligne Rosemonde Pujol dans son ouvrage, qu’elles aient quelques années ou plus de 80 ans, les femmes ont la une chance inouïe : celle de pouvoir se faire jouïr à n’importe quelle heure du jour et de la nuit, seules, à deux ou au nombre qu’elles veulent, juste pour le plaisir… Alors franchement, profitez-en ! ]
Source Chronique du sexisme ordinaire. Overblog

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 » Avez-vous vu l’exposition « le Zizi sexuel » à La Villette ? Magnifique travail sensé lever les tabous et expliquer enfin pour de vrai la sexualité aux enfants. Pour de vrai… pour les hommes.

Pas une seule fois le mot clitoris n’est prononcé.

Il est même absent du lexique de l’ouvrage consacré à l’exposition )lexique pourtant sacrément fourni).  »

Mais PERSONNE d’autre n’a relevé cette ANOMALIE…

La SEULE sexualité qui « EXISTE » ? C’est celle des… MECS !!!

Le blog :" Chronique du sexisme ordinaire"

Une nana sur overblog :
« Pourquoi ce blog ? Parce que y en a marre. Marre de voir s’étaler le sexisme sur les murs de la ville, dans les réunions de bureau, dans les discussions de couloirs, dans les soirées entre amis ou dans les repas de famille. Lorsque l’on commence à prendre conscience à quel point les mécanismes de domination sont encore profondément ancré dans la tête et les habitudes de chacune et chacun, on a parfois envie de retourner sous sa couette et de dormir. Le seul moyen de ne pas finir dingue, c’est d’inlassablement décortiquer le monde qui nous entoure pour tenter de convaincre de plus en plus de gens qu’il faut impérativement et radicalement le transformer. Voilà pourquoi ce blog.  »
Source Chronique du sexisme ordinaire- overblog.

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EXACT : marre !!!

Ce qui explique (entre autres), la présence de celui de Tingy !

Ce n’est pas parce que TOUT empire dans le monde des nanas

Qu’il faut adopter l’attitude des « 3 singes » ! :no:

" Seule arme de PAIX valable: l’éducation"

 » Un vrai film de femmes (mais pour les hommes aussi), un long métrage fort sur les destins de plusieurs Israelo-Palestiniennes qui combattent pour leurs idées : faire de l’éducation la seule arme de paix valable. » (Au féminin.com)

 » Avec Miral, le peintre cinéaste brosse des portraits de femmes sur fond de conflit israélo-palestinien. En racontant l’histoire d’un peuple, il lance un appel à la paix. Message d’un artiste libre et profondément humain.

Mes films sont souvent des histoires d’emprisonnement, dans un pays ou dans son corps. Ils parlent aussi de l’incompréhension, des difficultés à communiquer, comme dans Le Scaphandre et le Papillon. J’essaie de faire des films qui me parlent en tant qu’artiste. »
Paru le 04.09.2010 , par Jean-Sébastien Stehli
Source le Figaro.

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Ils nous emmerdent les mecs, avec leurs armes de guerre, qui ne font que propager la haine, l’horreur et…La guerre !

Y compris le pénis,…Utilisé de plus en plus, comme arme de destruction massive dans tous les conflits

Non seulement il « tue », mais il déclenche la fabrication des petits « pour » l’ennemi !!!

Y a pas photo: très efficace !

Viol ? Non: adultère ou "relations sexuelles illicites" !

lapidation-publique-dune-jeune-fille-13-ans( photo: lapidation publique d’une fille de 13 ans)

… » C’est le cas, notamment dans les pays qui appliquent la charia (loi islamique). Dans certains d’entre eux,
l’accusation de viol ne peut être retenue que si l’agresseur a avoué son crime ou si la contrainte est confirmée par
quatre témoins oculaires masculins adultes (ou parfois, également, par huit témoins de sexe féminin). Sans ces
preuves, le viol est considéré comme un adultère et les accusations portées par la victime contre l’agresseur sont
assimilées à de la diffamation.
… En décembre 2007, en Arabie saoudite, le roi Abdallah a gracié Touria Tiouli, une victime de viol collectif.
Cette femme de 39 ans, de nationalité française d’origine marocaine, en mission à Dubaï, avait été condamnée à
six mois de prison et à 200 coups de fouet pour « relations adultérines ».
… On se rappelle le cas dramatique d’Aisha Ibrahim Duhulow, une fillette de 13 ans violée par trois hommes. Elle
a été lapidée à mort le 27 octobre 2008. La milice al Shabab, l’un des groupes armés qui régentent la Somalie,
l’avait condamnée pour adultère en violation de la charia.
… À titre d’exemple, les relations sexuelles illicites sont un délit (huddûd) reconnu par le Coran. Sont considérées
comme telles toute relation sexuelle (consentie ou non) qu’entretient un/e célibataire, ainsi que celles qu’une
personne mariée (homme et femme) à en dehors des liens du mariage.
Le viol étant une relation sexuelle hors mariage, il est souvent considéré comme une relation sexuelle illicite et puni en conséquence. Notons que cette
manière de considérer le viol n’est pas propre à la culture musulmane. En Afrique sub-saharienne, il est
également fréquemment associé à l’adultère, en raison de la croyance qu’un homme ne peut parvenir à ses fins si
la femme ne le désire pas.

Dans certaines sociétés, une fillette ou une femme célibataire peut être forcée à épouser son
agresseur afin de laver l’honneur de sa famille.

les lois nationales5 (condamnation à la prison pour acte criminel, flagellation6, lapidation à
mort, etc.), pour avoir entretenu des relations sexuelles illicites

Les filles et les femmes victimes de violences sexuelles risquent d’être maltraitées, voire
assassinées par leur famille (« crime d’honneur » censé laver l’honneur de la famille sali par
l’agression sexuelle). Dans certaines sociétés, elles sont punies par leur communauté et/ou par les lois de la charia dans de nombreux pays.  »
(extraits de l’article d’evelyne josse voir ci-dessouis)

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Article d’Evelyne Josse: Ils sont venus avec deux fusils
Résumé :
 » Les violences sexuelles ont de graves conséquences sur la santé mentale des individus qui les
subissent. Au niveau psychique, elles produisent une mutation radicale de la perception que
les victimes ont d’elles-mêmes, dans la manière dont elles conçoivent leurs relations à leur
environnement social immédiat et, plus largement, à la société dans son ensemble, ainsi que
dans la façon dont elles appréhendent le passé, le présent et l’avenir. Elles laissent donc des
traces durables au sens où le rapport à soi-même, aux événements et aux autres est modifié.
Au niveau social, elles ont pour conséquence de corrompre l’identité sociale des victimes, de
leur dérober leur valeur et de les disqualifier comme personne (elles acquièrent une
réputation de femmes infidèles ou licencieuses). Elles induisent donc une modification des
rapports sociaux au sein de la population et pervertissent la dynamique communautaire. »
Pour en savoir plus, vous pouvez consulter et télécharger l’article d’Evelyne Josse Ils sont venus avec deux fusils-
Site résilience psy . Téléchargeable aussi, sur le site du CICR : http://www.icrc.org/web/fre/sitefre
Source genre en Action.

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En Europe: Viol ? NON ! « Elle » l’a « allumé »

Et les violeurs sont TOUS manchots : AUCUNE branlette envisageable comme plan B!

Quant aux religions, elles sont COUPABLES de toutes ces HORREURS commises au nom de ses dogmes barbares…

Dictés par des… HOMMES, qui prétendent parler au nom de Dieu !

Le plus triste ? ? ?

Que d’autres hommes et femmes les croient sur parole et entérinent des lois religieuses indignes d’un être HUMAIN!

Les religions reposent sur la…FOI, et non pas sur la…VERITE !

Dieu, s’il existe, ne peut être qu’ETRANGER à toute la barbarie de ces HOMMES