Buddhachanel29 avril 2007 20:09, par Jérémy

 » Buddhachanel29 avril 2007 20:09, par Jérémy
Sans la femme, aucune société ne peut fonctionner. Toutes les sociétés qui ont peur de la femme sont des sociétés décadentes. Cela signifie que les machos sont souvent des hommes pleins de peurs et de fragilité. Beaucoup de souffrances internes qui habitent l’âme machiste. Dommage que cela génère d’autres souffrances, celles des femmes. Il faut respecter la femme, et certainement comprendre et pardonner aux machos. »
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Péché sur le Net…(On y retrouve même les traces de blogueurs de…blog.fr (!)…Qui ont fait des « saloperies » sur d’autres sites !)

Merci Jérémy:  » La femme est l’avenir de l’hô-ô-me ! « 

Assez d’INSULTES, sur blog.fr…RESPECTEZ ceux qui ne pensent pas comme vous…Même s’ils se trompent…D’après VOTRE opinion !!!

 » Bonjour Tingy, je viens de me connecter et surprise tu ne figures plus parmi mes amis, je ne comprends plus, je viens chez toi et je trouve mon profil, je tiens a aussi à te remercier du plus profond de mon coeur pour tes encouragements, je n’en reviens pas, sache que j’aime écrire il me manque seulement le courage de le faire plus souvent, je n’ai pas assez de zèle de le faire.
J’avais un blog ici ,et j’étais aussi ton amie, sous le pseudo de SOLEILBRILLANT.BLOG.FR, que j’ai du supprimer après avoir été insultée par nombre de personnes inconnues, suite à un article que j’avais publié sur les cadets de la révolution algérienne, je ne sais pas si tu t’en souviens.
voilà, je me suis remis à écrire et grâce à tes encouragements je compte faire plus.
a bientôt.

Bonne journée. »

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J’ai été insultée par Nénesse, Jo-tex, une femme  » étrangère », intolérante et grande gueule( qui passait même son temps…A écrire des messages* PERSOS (!), hostiles sur ma personne pour décourager des blogueurs ( *retransmis par des amis), et d’autres,…Et je suis TOUJOURS là !!!

Tu n’as PAS à SUPPRIMER ton blog: c’est à EUX de PASSER leur chemin !!! Ce n’est pas moi qui ai inventé : » On ne peut pas plaire à tout le monde! »…( Mais on DOIT RESPECTER chacun !)

Tu seras TOUJOURS mon amie/blog, MÊME si nous avons des idées complètement opposées…Du moment que tu RESPECTES AUTRUI et…TOI-MÊME !!!

Bisous petite soeur et bonne journée à toi aussi.

PS- Ton blog déconne (hihihi!)…Tu es TOUJOURS présente « chez » moi !

" Corps meurtris, rêves brisés : la violence à l’égard des femmes mise à jour"…

minou

Corps meurtris, rêves brisés : la violence à l’égard des femmes mise à jour:

« NAIROBI, 31 juillet 2009 (IRIN) –
L’ouvrage Corps meurtris, rêves brisés : la violence à l’égard des femmes mise à jour offre un témoignage poignant sur les différents types de violences liées au genre subies par les femmes et les jeunes filles du monde entier, tout au long de leur vie, à travers des photographies, des études de cas individuelles et des textes illustratifs. Cette publication s’inscrit dans le cadre de la campagne permanente menée par OCHA/IRIN par le biais de films, de textes et de photographies afin de dénoncer le problème de la violence à l’égard des femmes.

La violence à l’égard des femmes est une pandémie, qui transcende les frontières géographiques, raciales, culturelles, sociales et religieuses. Elle touche pratiquement chaque communauté, en pratiquement tous les points du globe. Trop souvent sanctifiée par les coutumes et renforcée par les institutions, cette violence est entretenue par l’impunité généralisée dont bénéficient ses auteurs, dans ce qui demeure un monde patriarcal peu enclin à accorder aux femmes une égalité de droits et une protection contre la violence liée au genre.

« Cet ouvrage sert plusieurs objectifs : susciter une prise de conscience, et engager une mobilisation pour combattre les causes de la violence liée au genre mais également aider et défendre les millions de femmes victimes de la violence. Nos sœurs, nos mères, nos filles. » – Jan Egeland, ancien Secrétaire général adjoint aux affaires humanitaires et Coordonnateur des secours d’urgence des Nations Unies.

Pour obtenir de plus amples informations sur l’ouvrage « Corps meurtris, rêves brisés », veuillez écrire à brokenbodies@irinnews.org

L’ouvrage est disponible sur Amazon, dans la rubrique livres, et peut également être commandé directement auprès de Earthprint à l’adresse suivante : http://www.earthprint.com »
Genre en action

Le quéléa: plus de 50 millions de dollars par an, de pertes agricoles!

Le quéléa
Photo: on dirait une invasion de sauterelles…
« Le quéléa, l’oiseau le plus redouté d’Afrique
Ces super-colonies nomades peuvent atteindre des millions d’oiseaux, ce qui fait du quéléa non seulement l’espèce la plus nombreuse du monde, mais aussi la plus destructrice.
Petit oiseau, énormes dégâts

Bien qu’ils préfèrent les graines des herbes sauvages à celles des plantes cultivées, ces oiseaux représentent, du fait de leur grand nombre, une menace constante pour les champs de sorgho, de blé, d’orge, de mil et de riz.

Le quéléa mange en moyenne 10 grammes de graines par jour – environ la moitié de son poids – ce qui signifie qu’une colonie de deux millions peut dévorer jusqu’à 20 tonnes de graines en un seul jour.

La population adulte capable de se reproduire étant d’au moins 1,5 milliard, la FAO estime les pertes agricoles attribuables au quéléa à plus de 50 millions de dollars par an.
Incontrôlable
Les manger, à défaut de s’en débarrasser… »
tdm/he/il/ail
Source IRIN

Quand la contraception divise les époux …

« Rwanda : la contraception divise les époux

Les femmes qui choisissent d’utiliser des méthodes contraceptives sont parfois rejetées ou maltraitées par leurs maris réticents. Ce sont souvent les rumeurs qui circulent à l’encontre des contraceptifs qui expliquent les réticences sociales : ils sont en effet accusés de rendre stériles ou d’encourager l’infidélité.Les campagnes de santé reproductive ne sont pas couronnées de succès ; les autorités continuent à faire campagne pour que la population limite à trois le nombre d’enfants par famille, afin d’endiguer l’explosion démographique à laquelle est confrontée le pays. »

Source Genre en action; Pour consulter l’article : Syfia Grands Lacs

"La réalité de l’égalité entre les sexes à l’épreuve de la garde des jeunes enfants"

La réalité de l’égalité entre les sexes à l’épreuve de la garde des jeunes enfants:

La socialisation différenciée selon le sexe commence dès le plus jeune âge.( Nicolas Murcier, sociologue, nous livre son analyse sur le rôle des structures de garde des jeunes enfants dans cette construction. Extrait de la revue Mouvements.)

Article de Nicolas Murcier, sociologue, extrait de la revue Mouvements n°49 de janvier-février 2007
L’offre de garde des jeunes enfants demeure très restreinte, ce qui consolide les différenciations sexuées sur le marché du travail et l’assignation des femmes aux tâches éducation. Mais quand ils sont confiés à des structures collectives, celles-ci n’exercent-elles pas une socialisation différenciée ? En appliquant une division sexuelle des tâches presque caricaturale, les crèches sont au début d’une longue chaîne d’institutions qui renvoient imperturbablement les filles et les garçons à leurs rôles sexués. Nicolas Murcier, qui a enquêté dans le secteur de la petite enfance, fait le point sur les pratiques et les idéologies qui renforcent les stéréotypes de genre en crèche et ouvre des pistes pour tenter d’en sortir.

De nombreux travaux sociologiques se sont intéressés à la contribution de l’école au processus de socialisation différenciée entre filles et garçons. L’étude de la contribution de la crèche à la socialisation différenciée ne fait pas actuellement l’objet de recherches, tout comme la féminisation du champ de la petite enfance. La persistance de l’idéologie de la primauté maternelle dans le « bon » développement du tout-petit a un impact majeur sur les politiques sociales et familiales, sur les modalités d’accueil des jeunes enfants et de leurs parents comme sur l’assignation aux femmes (mères et professionnelles) de pourvoir, de façon quasi exclusive, aux soins et à l’éducation des bébés et des jeunes enfants. Cet article propose de mettre en évidence les stéréotypes de genre qui traversent les modes d’accueil et de garde pour jeunes enfants et sont largement véhiculés par les professionnel-le-s.

Une socialisation différenciée
Quelles valeurs sociales, quels habitus sont transmis aux jeunes enfants par les professionnel-le-s au travers des interactions, des relations, des soins et des activités mises en place dans la vie quotidienne en crèche ? Quels rôles sont montrés aux filles et aux garçons au sein de l’institution ? Ces derniers – tels qu’ils sont montrés, vécus, tels qu’ils sont implicitement et / ou explicitement préconisés – ne véhiculent-ils pas encore largement des stéréotypes ?

Si les professionnel-le-s disent ne pas faire de différences entre enfants, entre filles et garçons, l’observation, l’analyse des interactions adultes / enfants et des discours témoignent qu’à leur insu la prise en charge des filles et des garçons est différenciée en de nombreux domaines. Cela même si le jeune enfant accueilli est souvent appréhendé comme un individu asexué. Très tôt, les remarques sur les capacités enfantines sont différenciées selon le sexe des enfants en fonction d’attitudes et / ou de comportements attendus. Ainsi, au niveau de la motricité, un petit garçon « peu adroit » sur le plan moteur reçoit généralement davantage de remarques négatives qu’une petite fille pourtant au même niveau de développement moteur. Une petite fille jugée « agitée » reçoit davantage de remontrances qu’un petit garçon.

Les petites filles sont davantage sollicitées pour faire des activités « calmes » assises autour d’une table : « Aux filles on va plutôt proposer des trucs calmes, on va leur donner des poupées, de la dînette, on va leur mettre des activités manuelles [1] . » Les petits garçons sont, quant à eux, plus sollicités pour participer aux activités motrices : « Aux garçons, on propose plus des jeux, des activités où ils vont se dépenser, des jeux où ils vont pouvoir courir, ils en ont plus besoin que les filles [2] . » Comme le souligne Marie Duru-Bellat [3] : « Comme tout individu engagé dans une interaction sociale, les enseignant-e-s abordent leurs élèves avec des attentes stéréotypées ; en l’occurrence ils tendent à prévoir des succès inégaux, chez les élèves garçons et filles, dans des disciplines connotées sexuellement. » En crèche, des attentes stéréotypées sont également présentes et les propositions d’activités peuvent être différenciées : « En général, chaque matin, on propose différentes activités selon l’âge des enfants, leurs centres d’intérêts que les professionnel-le-s ont observés. Les enfants y viennent ou pas c’est selon, donc on leur dit voilà aujourd’hui ce qu’il y a en plus des différents espaces de jeux qui sont ouverts en permanence comme les coins poupées, dînette, jeux de construction, voitures ou trains. Les enfants ils viennent selon leur envie. […] Bon souvent on les sollicite aussi. Moi c’est vrai que cela m’arrive aussi par exemple de solliciter davantage les garçons pour les trucs moteurs [4] . » Les activités dirigées proposées ont pour objectif de participer à l’éveil et aux apprentissages premiers des jeunes enfants. Elles ont également comme but de « canaliser » l’agitation, de réguler la dynamique du groupe d’enfants, ou autrement dit de le « gérer » : « On peut prendre un enfant pour réaliser une activité parce que ce jour il embête tout le monde, il est agité. C’est vrai que cela m’arrive de solliciter davantage les garçons pour des activités motrices, pour les faire courir afin qu’ils se défoulent [5] . »

Un accueil des parents différencié ?
Les sociologues Thierry Blöss et Sophie Odena ont mis en évidence comment les institutions d’accueil pour jeunes enfants jouent un rôle important dans la perpétuation du partage inégal des pratiques parentales. Le rôle maternel étant survalorisé, les institutions font appel en permanence aux mères participant ainsi, pas forcément de manière consciente, à la reproduction de la division sexuelle des rôles parentaux. Le parent attendu est la mère. C’est avec elle que les professionnelles traitent, y compris lorsque c’est le père qui accompagne et / ou vient chercher son enfant. Lorsque seul le père fréquente la structure d’accueil, il est fréquent que les professionnelles échangent entre elles sur les possibles raisons pouvant expliquer « l’absence maternelle »….]

Lire la suite sur « Genre en action »…

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« La socialisation différenciée selon le sexe, commence dès le plus jeune âge »…Pour le plus grand malheur des filles !!!
Vive l’humain !

Le genre ? « Au feu » ! Et les religions, la grammaire française, les sociétés machistes( Je sais c’est un pléonasme!)…Au milieu !!!

« On ne naît pas femme, on le devient » (S. de Beauvoir)

Quand les femmes s’en mêlent. Genre et pouvoir
Un ouvrage multidisplinaire qui dresse le bilan de l’égalité, dans les sphères publique et privée, en insistant sur le rôle de l’école et du travail comme lieux de socalisation et de changements des relations genre.

[ C’est dans les années 1970 que des anthropologues féministes américaines ont intronisé le mot « genre », faisant référence au rôle social des uns et des autres par opposition au sexe biologique, pour montrer que la place des femmes et des hommes dans une société est avant tout le produit d’une culture – selon le « On ne naît pas femme, on le devient » (S. de Beauvoir).
Cet ouvrage constitué de travaux de sociologues, historiens(nes) et politologues dresse un bilan et conclut : quand les femmes s’en mêlent, dans la vie privée ou publique, les inégalités demeurent, comme si « un pas en avant déclenchait deux pas en arrière » (Margaret Maruani), mais « rien n’est perdu, car c’est à l’école et au travail que la partie se joue » (Ch. Baudelot). Lorsque le combat y sera gagné, les autres citadelles, famille et politique, devront aussi se transformer.

Christine Bard, Christian Baudelot, Janine Mossuz-Lavau (dir), Éd. De la Martinière, mars 2004, 382 p. – 22 E. ]

Source : Journal du CNRS, juin 2004 www2.cnrs.fr/presse/journal/1511.htm

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 » Dans la vie privée ou publique, les inégalités demeurent »…Parce qu’elles le valent ( et VEULENT ! ) bien ??? !!!

Je n’ai plus d’ adresse mail, jusqu’au 28…M’a répondu Orange!

Leur « truc », qui permet de récupérer son adresse sur un compte fermé « subitement »…Subit , sans doute, les effets pervers des grosses chaleurs dernières…

Bref, pas de mail; autant dire la « cata »: de ne plus communiquer avec les parents et amis, PROVISOIREMENT …OUF !!!

Bon, apparemment, pas de soucis, pour l’instant sur blog.fr…

Le pont du Diable: la légende de Thueyts…

Pt du DIA »
Pt du Diable
La chaussée des géants

( Photo: tout au fond…les fous de la paroi à pic …)
« Par nos âmes, que le Diable construise, lui-même un pont, pour que nous puissions rejoindre nos amours » , disaient les jeunes gens de Thuyets.
Le Diable se décida donc à exécuter ce que ne pouvaient faire les hommes ; le pont construit, les garçons et les filles pouvaient alors abriter sur l’autre rive leurs coupables amours ; mais beaucoup, glissant dans le gouffre, ne revinrent jamais au village.
Certains jours de grand vent, on croit entendre leurs appels désespérés, leurs lamentations.
Après leur avoir bâti un pont, le Diable étendit son pouvoir sur le gouffre, le rocher ; et la nuit venue, on raconte qu’il chasse les âmes, suivi par un cortège de bêtes immondes, dont les clameurs se mêlent au tumulte des eaux. »

Les femelles se battent entre elles…Pour séduire un mâle !

 » Chez les antilopes Topi du Kenya…Les mâles se font désirer.Contrairement à ce qui s’observe dans la plupart des autres espèces animales, les femelles se battent entre elles pour séduire un partenaire, agressent les couples entrain de copuler, et se font rabrouer par les mâles, losqu’elles désirent obtenir…Un second accouplement ! »
Sciences et Vie N°1084

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« Les femelles se battent entre elles pour séduire un partenaire »? …J’ai vu les mêmes pratiques…Sur blog.fr !!! Si ! Et… accompagnées de …De charmants noms d’oiseaux !!!

Le mystère étant: QUI a copié QUI ? !!!