Mois : mars 2009
La Rioja ( Argentine ): Gégé à vélo.
» La Rioja (Argentine): Gégé à vélo.
Bon, j’vais encore pas me faire des copains, mais j’y vais de mon « coup de gueule » :
Curé chantant et sa bande de clowns
A Salta, je fus témoin d’une « prise d’otages ». Oh ! Non ! Pas politique, ni criminelle
. Religieuse. Ouais. 12 000 (douze milles) ninos, entre 4 et 8 ans, pris en otages, avant l’âge de raison, celui où on commence à réfléchir. Les auteurs de ce détournement de pensée : le clergé catho. On fustige partout l’Islam et ses écoles coraniques, l’Église d’Argentine ne fait pas mieux. La méthode : on réuni 12000 mômes, tout petits et on met sur un podium un curé chantant avec une troupe de clown et une marionnette géante du Christ – j’ai les vidéos –
La musique est moderne, l’orchestre jeune. Les paroles sont « adaptées » pour ce public infantile. Puis on les fait défiler, évêque en tête, encadrés par des ados « militarisés », dans les rues de la ville. J’appelle ça du conditionnement, du lavage de cerveau, des méthodes dignes des sectes évangélistes américaines. Il retient quoi, le môme ? Clowns, marionnette, musique, fête = Jésus qui m’aime ! Quand JP 2 réunissaient 1 million d’ados lors de journées mondiales de la jeunesse, ça ne me gênait pas, c’était un rapport d’adultes où chacun choisi librement sa voie. La catéchèse est un enseignement, mais ici, avec des enfants qui ne demandent qu’à jouer et à apprendre, ce détournement d’actions et de pensées par la musique, le rire et le divertissement est une prise d’otage, c’est un délit.
Ouf ! Ça fait pas avancer les choses, mais ça soulage »
Le mariage… vu par les enfants !
L’huile trafiquée …refait surface, dans ma boîte/mails !
" Le tout n’est pas d’avoir une jupe, c’est d’avoir quelque chose dans la tête " !
» Interrogé le 6 novembre à Radio Notre-Dame sur le rôle des femmes dans la célébration des offices, le cardinal-archevêque avait répondu : «Le plus difficile, c’est d’avoir des femmes qui soient formées. Le tout n’est pas d’avoir une jupe, c’est d’avoir quelque chose dans la tête.»
Des déclarations qui ont valu à André Vingt-Trois de se voir décerner le premier prix du «macho de l’année» par les Chiennes de garde. Ce mouvement féministe, «réseau de vigilance défendant des femmes publiques contre des insultes sexistes», a été lancé le 8 mars 1999.
Dans une lettre aux Chiennes de garde, l’archevêque de Paris écrit notamment qu’il «mesure combien son expression a été malheureuse et blessante». «J’en suis désolé et je le regrette.Source ( Désirs davenir 44 ) .
Le féminisme radical… condamné par le Vatican !

Pastel gras; cliquer pour agrandir.
« Le féminisme radical qui gomme la différence des sexes :
Le Vatican a condamné le féminisme radical qui gomme la différence entre les sexes et la considère comme un simple conditionnement culturel, dans une lettre aux évêques qui sera publiée samedi, a-t-on appris vendredi de source vaticane.
Le document, qui doit être approuvé par le Pape, sen prend en particulier à la tendance du féminisme radical aux Etats-Unis, dont Judith Butler [photo] est la porte-parole, selon laquelle la différence entre hommes et femmes serait déterminée non par le sexe mais par la culture.
La conséquence, fermement condamnée par le Vatican, serait que, sans tenir compte de son sexe originaire, les individus pourraient choisir leur genre: lhéterosexualité, lhomosexualité, le lesbianisme, la transexualité, [la zoophilie, la nécrophilie…], voire le changement de sexe.
La lettre rédigée par la Congrégation de la doctrine de la foi dirigée par le cardinal allemand Joseph Ratzinger encouragera une promotion de la femme dans la vie sociale et publique sans léser sa vocation de mère, qui doit être reconnue et garantie, même économiquement.
Il encouragera également la promotion de la femme au sein de lEglise, mais sans lui ouvrir la porte au sacerdoce. »
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Heureusement que l’Inquisition n’existe plus !
CA ENRAGE L’ÉGLISE, ces FEMMES QUI NE LUI DEMANDENT PAS L’AUTORISATION…de VIVRE LEURS VIES d’HUMAIN, et non PAS une VIE AMPUTEE…DECIDEE PAR de SIMPLES MORTELS QUI SE PERMETTENT DE PARLER au NOM de DIEU !!!
Et si c’étaient…les propos du Pape, qui étaient condamnables ? Il N’EST PAS DIEU !
Pour parodier Jacques Chirac et La Palice : la croyance en des propos, n’engage que ceux qui…y croient !
Séquestrée…"qu’un" mois ! Evasion vers nulle part…

fusain de LL.cliquer pour agrandir.
[… Le jour se lève, je suis fatiguée. J’ai oublié de dormir.
Brutus et moi,nous reprenons l’avion pour l’île. Tout s’embrase dès notre arrivée.
– Cette fois, tu ne m’échapperas plus salope. Je t’enfermerai à clé dans l’appartement déclare Brutus plein de haine, en guise de bienvenue.
Nous sommes début février, période de vacances scolaires. Il me fait écrire une lettre de démission adressée à l’éducation nationale. Il ne la postera jamais, ne voulant pas renoncer à « ses » sous.
Le maître des lieux a envoyé sa maîtresse en vacances chez sa mère. L’appartement reste imprégné d’une odeur fade, un peu rance. Pour essayer de m’évader de la pièce, je tourne le bouton d’un petit transistor.
– Chez nous, on n’écoute pas la musique, déclare Brutus en éteignant rageusement la radio.
Je vis séquestrée, au deuxième étage d’un immeuble merdique. Brutus ferme la porte à clé derrière lui, en partant. Il ramène de quoi préparer à manger le midi et le soir.
Je m’abrutis de travail, ménage, repas, lessive à la main pour six personnes y compris draps et serviettes de bain. Je n’arrête pas de cuire, laver, frotter, rincer, de crainte de voir le temps devenir immobile. En fin de compte, c’est moi qui suis lessivée.
Un soir, Brutus arrive à l’appartement en compagnie de sa maîtresse. Il invente qu’elle a débarqué sans crier gare et s’inquiète de savoir où elle va passer la nuit. Il décide de l’héberger. Elle dîne donc avec nous. Brutus lui cède sa place dans la chambre et va partager celle des garçons. Une heure plus tard, toute la maisonnée est couchée et la plupart d’entre nous, endormis. J’entends la porte de la chambre grincer dans l’obscurité. Brutus se couche entre sa maîtresse et moi, tout excité. Il propose de faire une partouze. Apparemment il ne s’attendait pas à ma réaction et sort de la pièce à reculons en proférant des menaces.
La rentrée scolaire arrive. Le maître des lieux décide qu’en raison de ma bonne conduite, il m’autorise à aller lui gagner de l’argent.
Je me rends donc à l’école, mais mon parcours est chronométré. Gare aux représailles.
Si je tiens le coup tout le mois de mars, je disposerais d’un salaire entier à la fin du mois, car la maison est vendue; pour tout paiement, un dentiste a accepté de reprendre les traites que Brutus avait mises sur mon compte bancaire.
Un matin, alors que ce dernier est à son travail, je me rends chez le commissaire. Je l’informe de mon départ proche. Il l’approuve et m’assure qu’il veillera sur les enfants. Il m’explique la marche à suivre pour que cette fois Brutus ne puisse engager des recherches pour me retrouver. J’écris donc une lettre au Procureur de la République pour expliquer les raisons de mon départ et un mot à Brutus pour lui demander de penser un peu aux enfants et non pas de songer uniquement à nourrir sa haine. Le commissaire s’occupera du courrier, le jour de mon départ.
– N’ayez aucune crainte, je veillerai sur la famille, partez tranquille. Je vous tiendrai au courant dit-il en me raccompagnant à la porte de son bureau.
– Qui sait, avec le temps Brutus changera peut-être ? On peut toujours rêver, dis-je sans conviction.
En attendant, à l’appartement, c’est loin d’être le rêve. Les scènes de violence ne connaissent aucune trêve. Les verres et autres projectiles tracent les diagonales du fou furieux et les coups tombent
au hasard, mais avec précision !
Un soir, les enfants et moi, sommes assis par terre sur la terrasse, quand nous voyons un petit satellite brillant, traverser le ciel étoilé. Je le désigne du doigt aux petits.
– Regardez, c’est un vaisseau spatial. Il vient nous chercher tous les cinq pour nous emmener très, très loin d’ici, à des millions d’années lumière, dans un pays fabuleux où la bêtise et la méchanceté n’existent pas.
– Et on ne reviendra plus jamais ici ? demande la petite dernière.
– Plus jamais, jamais, jamais, dis-je avec conviction.
Les enfants battent des mains et poussent des cris de joie, sauf l’aîné.
– J’aimerais bien m’éloigner d’ici et ne plus jamais le revoir. Mais je veux revenir sur la terre. J’ai peur de partir ailleurs.
Quand plus tard, la barbarie fera irruption dans sa vie, sous les traits de son père, songera-t-il à ce vaisseau spatial qu’il avait « refusé de prendre » ce soir-là ?
Ce soir-là, justement nous continuons à parler longuement. Brutus s’attarde chez sa maîtresse et nous profitons de l’accalmie.
– Un jour, je serais obligée de partir seule, pour ne pas mourir. Votre père m’a ratée de justesse, devant vos yeux, plusieurs fois, et promet, au su du commissaire de la Police Judiciaire qui se déclare impuissant(!), de vous tuer si je vous emmène avec moi. Vous me rejoindrez dès que vous le pourrez.
– Oui, on sait, déclare la cadette. Mais s’il te plaît maman ne nous dis pas le jour ni l’heure de ton départ. Il ne faut surtout pas que papa puisse penser un seul instant qu’on était au courant. Il nous tuerait de coups. Je te promets de bien m’occuper des petits.
Ella ne s’en tire pas trop mal. Moi, je ne pourrais pas parler de quitter les petits en gardant cette apparente sérénité.
Il se fait tard, nous allons nous coucher. Au petit-déjeuner, Brutus décide involontairement du jour de mon départ.
– Mais qu’est-ce que tu fous encore là ? À cause de toi, je risque de la perdre. Elle ne m’attendra pas éternellement, chez sa mère. J’ai décidé de prendre l’appartement situé juste au-dessus de celui-ci. J’ai vu la pancarte à louer sur le balcon. Comme cela, je pourrais vous surveiller toutes les deux.
Il tourne un moment, comme un animal en cage, puis lance un grand coup de pied dans la chaise où je suis assise. Je dégringole de tout mon poids et me blesse le haut de la cuisse.
– Je finirai par devenir fou à te surveiller ainsi. Je sens que tu ne finiras pas la semaine. Je te tuerai une bonne fois, espèce de sale pute, vocifère-t-il penché au-dessus de moi.
Je me rends en classe comme d’habitude. À dix heures, je demande à la femme de service, de surveiller mes élèves, auxquelles j’ai donné à faire des exercices de grammaire. Ce sont quatorze jeunes filles « à problèmes » d’une quinzaine d’années, parfaitement au courant de mes avatars familiaux, à cause des marques de coups.
Nous formons une « grande famille » et leur soutien m’est précieux.
Je me rends au bureau d’Air France afin de réserver un aller simple pour Paris via l’île anglaise voisine. Lavion pour la France métropolitaine ne quittant l’île qu’à vingt-deux heures et mon emploi du temps étant strictement chronométré, je dois m’organiser.
Tout d’abord, il faut à tout prix que j’aille à l’aéroport dans l’après-midi, pendant que Brutus est à son travail. Ensuite, il est impératif que je me rende dans l’île voisine afin de me trouver « en transit » à l’heure où Brutus s’apercevra que je n’ai pas regagné « la prison ».
Mon billet d’avion en poche, je vais à la banque afin de rencontrer la responsable de mon compte, avec qui j’ai sympathisé. Elle connaît, toujours à cause des bleus, quelle est ma situation familiale. Je la mets au courant de mon départ et lui explique que j’ai fait un gros chèque à Air France, alors qu’il n’y a pas de sous sur mon compte pour l’instant. Il ne sera alimenté que dans quelques jours.
– Ne vous en faites pas, je m’en occupe. Partez tranquille de ce côté-là. Je vous souhaite bonne chance, dit-elle toute émue.
En quittant la banque je me rends chez un psychiatre, que je n’ai jamais vu, mais devant le cabinet duquel je passe souvent en me rendant en classe. Sa plaque, sur le portail, m’a renseignée sur sa fonction. Personne, dans la salle d’attente. La porte s’ouvre aussitôt. Il doit y avoir un système qui le renseigne, à l’arrivée d’un patient. Un homme jeune me propose d’entrer. Je lui explique ma situation en quelques phrases, tout en ayant la conscience aiguë d’être prise pour une folle. Je lui précise que je suis en danger de mort et dans un état de grande tension physique et psychologique. Je lui raconte aussi que dans quelques heures je me sauve, seule, en avion, abandonnant mes quatre enfants à leur père, qui menace de les tuer si je les prends avec moi. À mon grand étonnement, le médecin ne met pas en doute mes propos.
– Je comprends, dit-il d’une voix bienveillante. Je vous arrête pour quinze jours. N’oubliez pas de contacter un confrère sur place. Tenez-moi au courant et bonne chance.
Arrivée dans la voiture, je m’interroge sur les motivations de sa confiance en moi. Je suis venue, sans rendez-vous, il ne m’a jamais vue, il n’a posé aucune question, il a seulement dit « je comprends ». Qu’a-t-il compris ? Mon indicible désespoir, sûrement.
Ella récupère les enfants à l’école et aux collèges. Elle achète un plat tout prêt dans une grande surface et rentre pour la dernière fois à la « prison ». Elle est comme programmée, en pilotage automatique. Passive et absente, je la regarde s’activer à côté de moi. Les aînés n’ont pas cours l’après-midi. Brutus décide que les petits n’iront pas à l’école non plus, car c’est la veille des vacances de Pâques et en général les enfants de l’école organisent un goûter et des jeux en classe.
Je ne me souviens plus de mon départ de la « Prison » ni de mon arrivée à l’école. À seize heures, Ella téléphone à un taxi qui accepte de nous conduire à l’aéroport. Je suis assise par terre, entre les sièges. Arrivée à l’aérogare, Ella poste un double de la lettre destinée au Procureur.
À trente-cinq ans, je quitte l’île toute seule, sans argent et sans bagage, pour « Nulle Part »….]
( « Le Père-Ver » ; extrait)
Comment se fabriquer SA descendance ?…Par le kidnapping ?

(Pastel gras de LL. Cliquer pour agrandir.)
Comment se fabriquer SA descendance :
1- Se trouver une femme…une machine à bébé, quoi !( Pour changer des latrines à sperme, qui elles, ne servent qu’à « l’hygiène sexuelle » )
2- La mettre enceinte: oui avec les vomissements, 9 mois de « soucis » divers : varices, vergetures indélébiles en échelles sur le ventre , seins qui « explosent », vessie douloureuse …
3- Patienter jusqu’à l’accouchement: heureusement que c’est « elle », vu les simagrées pour un de « leurs » petits bobos!
4- Laisser passer les nuits sans sommeil, les soins de tous les instants, les hurlements constants, la sortie des dents, toutes les maladies de la petite enfance…
5- ET LES KIDNAPPER A LEUR MERE…pour en FAIRE SA CHOSE…TANT PIS POUR LES DEGATS COLLATERAUX *…CHEZ les PETITS. POUR LA MERE, C’ÉTAIT LE BUT RECHERCHE !
COMMENT FORTIN, n’a-t-il PAS ENCORE EXPLOSE, AVEC TANT DE HAINE ? !!!
* Si la NATURE avait prévu de faire élever un enfant PAR un mec, elle l’aurait fait fabriquer par le ventre d’un HOMME, et nourri avec ses seins…
Le père est une pure INVENTION sociale: toutes les sociétés primitives s’en passaient fort bien**, n’en déplaise aux psy HOMMES, qui ont inventé « le rôle de père », pour légitimer le patriarcat !
** Ainsi que des sociétés matriarcales, asiatiques, ACTUELLES ( voir « post documentaire » précédent ).
Combien de mecs se souviennent de toutes leurs éjaculations…pouvant créer une vie ?
Autrement dit, sans test ADN, comment pourraient-ils être sûrs d’être le géniteur de celui-ci ou de celui-là ?
Une nana est TOUJOURS « SÛRE », de SON petit !
L’un des deux garçons était troublé et mal à l’aise, à la sortie du tribunal: on comprend ce qu’il réalise , enfin revenu dans la réalité…familiale, sociale et…humaine, MALGRE l’ENDOCTRINEMENT FORCENE de ces garçons, par leur « PERE » ? ! !
Pour l’autre et le père/kidnappeur ce sera pour plus tard, quand eux-mêmes, pleureront
AUSSI la MORT de LEUR enfant!
De temps en temps, il faut croire au retour de bâton, pour les saloperies de toutes sortes…sous peine de sombrer dans la « folie » !
Vus les cas précédents, la justice est infiniment plus sévère pour…les femmes!
Ps- Au « Village des Vagins », les filles ( il n’y a PAS de garçons ) « appartiennent » à leurs mères, sans risque de violences ni…d’inceste; des modèles masculins…inoffensifs (!) , existent, HEUREUSEMENT, au village !
Encore des lois, toujours des lois …Et l’insécurité augmente !
A quand Le » PAQUET » dans l’EDUCATION , la PREVENTION, LA JUSTICE SOCIALE, le RESPECT de l’AUTRE ?
Pauvre Sarkozy… avec toutes ces formes de violences qui lui éclatent à la figure !
Si ce n’était ce type-là, j’ aurais presque pitié du bonhomme et de ses » crédules sécuritaires »…qui ont voté pour lui !!!
Quand je pense que tous les médias en ont fait des tonnes …pour le « désormais célèbre « faux cas » Papy Voise…!
Site d’accueil Orange:
[ Depuis son arrivée à l’Elysée, le chef de l’Etat s’est rendu rarement en banlieue, suscitant les railleries de ses adversaires qui l’y disent « indésirable ». Hormis quelques déplacements thématiques et très protégés parfois agrémentés de réunions avec des militants UMP, comme à Vaujours (Seine-Saint-Denis) ou Meaux (Seine-et-Marne), il n’est allé qu’une fois à la rencontre de ses habitants, à Sartrouville (Yvelines) en janvier 2009.
Avant son élection en 2007, les déplacements du ministre de l’Intérieur Nicolas Sarkozy en banlieue ont souvent été tendus, après ses sorties très critiquées sur le « Kärcher » et les « racailles ». ]


