Étiquette : Viols familiaux et conjugaux

Nombre de viols (connus!) en France depuis le 1er janvier 2013 ? presque…8 000 ! 7 919 aux dernières nouvelles … http://www.planetoscope.com/Criminalite/1497-nombre-de-viols-en-france.html

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Viol.
Auteurs: Le Goaziou, Véronique Mucchielli, Laurent

… »les viols familiaux commis par des ascendants ou par des collatéraux sont dans leur grande majorité des viols répétés sur des moyennes (1 à 5 ans) ou des longues durées (5 ans et plus).

C’est bien plutôt dans le cercle familial qu’ils sévissent, où presque deux tiers des auteurs (dans les dossiers judiciaires étudiés) ont commis plusieurs agressions sexuelles et/ou plusieurs viols sur une ou plusieurs personnes de leur entourage pendant plusieurs années. C’est pourquoi, nous avons proposé le concept d’« abuseur-violeur en série de proximité ».

Les viols familiaux se déroulent quasi exclusivement au domicile des auteurs, qui est aussi très souvent celui des victimes, à différents moments de la journée, souvent initiés par des circonstances favorables au rapprochement des corps (toilette, bain, sieste, coucher, jeu, câlin…) lorsque l’auteur et la victime se retrouvent seuls, mais parfois avec la complicité passive, la résignation ou la soumission des autres membres de la famille. Le domicile commun est également le lieu où se commettent les viols conjugaux, très souvent assortis de coups et de brutalités physiques, dans la mesure où les femmes violées par leur conjoint sont aussi des femmes battues.

…il apparaît que le viol – à l’instar de l’homicide – est avant tout un crime de proximité. Les deux tiers ou les trois quarts des viols, suivant les enquêtes, se déroulent dans des cercles d’interconnaissance affective ou relationnelle. Ce que nous proposons d’appeler les viols familiaux élargis (viols commis par des pères, des beaux-pères, d’autres ascendants, des collatéraux, des conjoints ou des « amis de la famille ») viennent largement en tête, suivis par des viols commis par des copains ou des amis des victimes, par des voisins ou bien encore, à une échelle de plus basse intensité relationnelle, par des relations ou des connaissances, du voisinage ou professionnelles »… (Extraits)

A lire absolument http://www.criminologie.com/article/viol

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« les viols familiaux élargis (viols commis par des pères, des beaux-pères, d’autres ascendants, des collatéraux, des conjoints ou des « amis de la famille ») viennent largement en tête, suivis par des viols commis par des copains ou des amis des victimes, par des voisins ou bien encore, à une échelle de plus basse intensité relationnelle, par des relations ou des connaissances, du voisinage ou professionnelles »

Ça en fait des mecs

Potentiellement dangereux

Pour les enfants en général, et les petites et grandes filles en particulier!

« CHAQUE ANNEE EN FRANCE, PLUS DE 198 000 FEMMES SONT VICTIMES DE VIOL OU DE TENTATIVE DE VIOL.75 000 SONT VIOLEES ».
…Sous l’effet de la peur, de la pression de notre entourage, de la volonté d’oublier, une majorité d’entre nous n’a pas porté plainte. Nous dénonçons la tolérance de notre société vis-à-vis du viol. En France, on estime que seulement 2% des violeurs sont condamnés.
Nous dénonçons la stigmatisation des victimes de viol qui doivent trop souvent affronter dénégations, accusations et rejet. Nous refusons de nous laisser culpabiliser sur notre tenue, notre comportement, nos fréquentations. Aucune honte ne doit peser sur nous. Nous devons être entendues sur ce que nous avons subi. Le viol est un crime. Les agresseurs doivent être jugés et condamnés.
Une femme sur 10 a été violée ou le sera au cours de sa vie. Dans 8 cas sur 10, l’agresseur est connu de la victime. Le viol n’est pas une fatalité. Il est le signe d’une société profondément sexiste.
Cette réalité peut changer. Cette réalité doit changer  » (extrait)http://www.contreleviol.fr/la-honte-doit-changer-de-camp)

« L’Eglise catholique en France a plus d’influence sur les esprits, il y a pas mal de français qui pensent que la France reste quand même un pays catholique », explique Jon Henley, journaliste à The Guardian -GB.

La confession(soi-disant), efface les péchés,(croient fermement les catholiques)…

Il y aurait-il un rapport entre « plus d’influence sur les esprits » en France, et passage à l’acte criminel, « assuré » d’être absous par l’Église ?

Autrement dit, pourquoi certains paroissiens se priveraient-tils de violer des membres de leur propre famille, s’ils sont convaicus que ce crime peut être effacé(soi-disant!) par la confession ?

On peut aussi se poser la question concernant les milliers de prêtres violeurs d’enfants ?