Tant qu’il y aura des mâles ?

… » Noxolo Nogwaza était violée, frappée, poignardée et jetée dans un fossé à Kwa Thema, un township à l’est de Johannesburg. Son tort : elle était lesbienne.

Si ces « viols correctifs » existent en Afrique du Sud, c’est parce que la société est très conservatrice et patriarcale. Beaucoup d’hommes estiment qu’ils ont un pouvoir supérieur aux femmes, qu’une relation d’amour entre deux femmes met à mal.

Violer une lesbienne, c’est donc réaffirmer ce pourvoir sur des femmes qui les provoqueraient. L’idée est aussi de traumatiser leur victime pour qu’elle n’ose plus avoir de relation homosexuelle et de « corriger » leur orientation sexuelle pour les rendre hétérosexuelles.

 » En Afrique du Sud, 500 000 viols sont commis chaque année… » …

http://observers.france24.com/fr/content/20130426-township-johannesburg-une-marche-contre-viols-correctifs-lesbiennes

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Tant qu’il y aura des mâles, et… le patriarcat ?

Rien ni personne ne pourra empêcher cela !

L’éducation pourrait, peut-être, seulement ralentir le flux

A moins que des femmes, en masse, décident de faire la justice, elles-mêmes

En pratiquant des « corrections » de pénis ?