Par Didier Laurens
« Selon une rumeur, Catherine II de Russie serait morte le 17 novembre 1796 à Saint-Pétersbourg après avoir eu des relations sexuelles avec un cheval, la machine quelle utilisait pour mener cette idylle seffondrant sous le poids de lanimal Elle avait 67 ans.
Si rien ne permet détayer cette légende, aussi tenace que celle voulant quelle ait passé en revue sa garde prétorienne en érection, le tempérament de feu de limpératrice de toutes les Russies ne fait aucun doute. Selon les historiens, elle aurait eu une bonne vingtaine damants recensés, dont Gregori Orlov et le fameux Grigori Potemkine, un officier de sa garde, quelle couvrit de présents. Lorsquil séloigna de son lit, Potemkine resta son conseiller politique et lui fournit des amants. Lun deux, Zimski Kosakov, serait mort à 24 ans en sa compagnie après un abus daphrodisiaque. »
La construction d’une Chambre des Plaisirs
Pour recevoir ses amants la grande Catherine se serait fait construire une Chambre des Plaisirs. Selon certains ce « cabinet secret » disposait de machines lui permettant dassouvir tous ses fantasmes. Il contenait aussi du mobilier comme une table au piétement phallique, un fauteuil décoré avec dexplicites sculptures en ronde-bosse, etc… Les murs auraient aussi été couverts de peintures polissonnes, de lustres évocateurs et même de cloisons sculptées. Le réalisateur germano-belge Peter Woditsch a réalisé un documentaire sur ce sujet porté à lécran en 2002 sous le titre The Lost secret of Catherine the Great. Est-ce limpératrice qui fit réaliser ce cabinet ou le fut-il par lun de ses successeurs ? Aucun élément ne permet de trancher.
Toutes ces frasques, qui amuseraient chez un homme et qui ont fait scandale parce quelles étaient luvre dune femme, ne doivent pas faire oublier que Catherine II fut lune des plus grandes monarques du 18ème siècle. Amie de la raison et des philosophes français des Lumières, elle racheta notamment la bibliothèque de Diderot afin de lui venir en aide et entretint une correspondance fournie avec Voltaire. »
Planet.fr
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Une femme de…tempérament, comme on dit…dans les années 1700 et quelques 😉
Et dire qu’il a fallu attendre le rapport Hite en… 1976 -qui avait fait l’effet d’une véritable bombe- pour crier haut et fort
Qu’une femme qui ne trouvait pas d’orgasme avec un …homme(!)
N’était PAS pour autant…frigide !!!
L’existence du petit bouton de plaisir -férocement interdit d’approche par l’Eglise- le prouvant de façon catégorique 😉 pour les plus délurées de l’époque, et pour toutes les… normales(!!!) d’après: cf., entre autres, Sur Emmanuelle,… réhabilitant l’onanisme, dans ses mémoires !
PS- une « cavale » est une jument de race (dico)