Une maille à l’endroit, une maille à l’envers…Des prisonniers brésiliens tricotent pour leur liberté ?

 » Des prisonniers brésiliens tricotent leur chemin vers la liberté:

Une maille à l’endroit, une maille à l’envers. Très loin des clichés, ces tricoteurs professionnels sont des prisonniers brésiliens…

Quand Guimaraes Raquell, une créatrice de mode brésilienne se retrouva à court du personnel nécessaire pour stimuler la production de sa ligne de vêtements, elle se tourna vers les détenus de la Campos Pires Ariosvaldo pour trouver ses travailleurs.
L’idée a été lancée en 2009. Maintenant, 20 prisonniers prennent part au projet de « Fleur de Lotus ».
Guimaraes, une designer locale dans l’Etat de Minas Gerais, enseigne l’art du tricot et du crochet aux détenus. Les éléments finis sont exportés vers la France, les Etats-Unis, le Japon et d’autres pays.
L’ancien détenu, Tavares Celio a été reconnu coupable de vol à main armée. Il a commencé à tricoter dans le cadre du projet Lotus Flower:
« Le programme donne aux détenus des compétences et de la confiance qu’ils peuvent utiliser quand ils reviennent à la vie à l’extérieur. Cela soulève la confiance en soi des prisonniers, et ouvre la porte au travail et de l’emploi pour tout le monde « , at-il dit.
Les prisonniers ont un salaire de départ de 75 pour cent du salaire minimum au Brésil. Un quart de l’argent est mis de côté, accessible seulement quand ils sont libérés.
Cependant, peut-être que le plus séduisant pour les détenus, c’est que pour trois jours de travail de tricot qu’ils font, ils ont un jour de moins sur de leur peine. »

http://www.euronews.com/2013/05/16/brazilian-prisoners-knit-their-way-to-freedom/

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« Guimaraes, une créatrice de mode locale, enseigne l’art du tricot et du crochet aux détenus, dans l’Etat de Minas Gerais. »

Il ne faut pas les* croire: ça PEUT tout faire un mec*

Mais ils ont compris depuis des millénaires, -confortés par les religions(!), – qu’ils pouvaient utiliser…gratuitement une main d’oeuvre féminine, corvéable à merci !

Mais, des nanas qui n’ont aucun goût pour l’esclavage domestique

Ont décidé de montrer à leur homme comment on se sert d’une serpillière ou d’une poêle; comment changer une couche ou préparer un biberon.

Que les courses n’atterrissent pas toutes seules dans le frigo,etc…

Et exigent le partage…équitable de TOUT le quotidien

Avant d’envisager tout badinage sexuel…partagé lui aussi

Bien entendu ! 😉