Par Marine Deffrennes :
… »Concernant les séducteurs de ces dames, quils soient appelés beach boys, bumsters, rastitutes ou sanky pankies, selon les pays, il semble que le mot « prostitution » soit habilement évincé de leur discours…
Sorti en janvier 2013, le film dUlrich Seidl, Paradis : amour, aborde pour la première fois ce sujet délicat. Sur les plages du Kenya, on appelle « sugar mamas », ces Européennes grâce auxquelles, contre un peu damour, les jeunes Africains assurent leur subsistance. Teresa, une Autrichienne quinquagénaire et mère dune fille pubère, passe ses vacances dans ce paradis exotique. Elle recherche lamour mais, passant dun « beach boy » à lautre et allant ainsi de déception en déception, elle doit bientôt se rendre à lévidence : sur les plages du Kenya, lamour est un produit qui se vend…
Quelques initiatives des autorités locales auraient tenté denrayer le phénomène mais sans grand succès. Arpenter les plages pour vérifier si les amoureux en train de se bécoter sont bel et bien des amoureux, et non des « beach boys » entretenus par des femmes consentantes, nest en effet pas chose aisée »…
terrafemina.com
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« Elle recherche lamour mais, passant dun « beach boy » à lautre et allant ainsi de déception en déception, elle doit bientôt se rendre à lévidence : sur les plages du Kenya, lamour est un produit qui se vend »
La différence avec le tourisme sexuel masculin ?
Ces femmes recherchent aussi…l’amour(?!)
Quand les mecs s’en tiennent au sexe
Le tourisme sexuel est de toute façon un fléau à éradiquer: des deux côtés les individus se servent d’un être humain comme d’un « objet » qu’il peut …acheter(!), grâce à la misère :##