Proposé par un (Visiteur):
« A lheure où le sexe saffiche partout, se vend, se télécharge, se décomplexe,se JacquieMichelise, se braille et se beugle sur tous les murs du ouèb, le désir féminin nen reste pas moins une géante contradiction, un suant paradoxe, qui va, qui vient, sabandonne ou pirouette à la dernière seconde. Sans raison concrète.Même moi je me fatigue parfois tu sais, même moi je mépuise face à tant dinconstance.
Alors quest-ce qui fait quune fille finit par foutre ses viscères à lhorizontal et ses jambes à ton cou ? Quest-ce qui transforme la louve farouche en chatte câline ? A lheure où les magazines-crétins tentent désespérément de disséquer les rouages de cette science humide, la réponse est somme toute dune déroutante simplicité :
une personne, un instant ou un état desprit. Voilà ce qui fait se cambrer et
ronronner la tigresse sauvage.
Saisis-ça au vol et aime-la vite et bien avant que les vents ne tournent…
… » – Celle qui suce pour quon laime.
Ou le syndrome de Tennessee : le coeur en fièvre et le string démoli.
Cest une histoire un peu triste, celle dune fille qui cherche frénétiquement un peu de tendresse, qui a faim damour et dattention surtout et qui na rien trouvé de mieux pour ce faire que de brader sa chatte. Elle écume tous les sites de rencontres,les bars et les night-clubs de la ville, les supermarchés ou les jardins publics, lâme amoché et le coeur aux abois. Elle na pas froid aux yeux, na peur de rien. Que
delle-même. Et pour ne pas sendormir toute seule, elle offrira son cul au premier venu, se fera sauter vite fait mal fait, sans grande conviction, engloutira sans se faire prier la bite de Pierre-Paul-Jacques dans les chiottes glauques dun PMU, auto convaincue que tout ça nest que de lamour en jus. Enrobée de désespérance et dattentes virulentes, elle en effraiera plus dun qui, les couilles une fois vidées, sempresseront de fuir, de loublier ou, pour les plus goujats dentre eux, de refiler son 06 au pote en galère de baise. Conquête un peu trop facile pour être franchement
glorieuse, elle se pose malgré elle, en proie des demi-molles, en trophée des queues tièdes et reste une offense cinglante au féminisme, à la dignité, au respect de soi.
Comment considérer, estimer, une fille qui saime si mal ? »
Cest une histoire triste, je te lavais dit. »…(Extrait).
Pour lire la suite de la « Typologie de la baiseuse »(!) :
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« Cest que les humeurs femelles sont versatiles, indécises et oscillent perpétuellement entre envies moites, pudeurs froides et les quen-dira-t-on. »
Criant de… « vérité »(?), mais raconté avec condescendance et…mépris, je trouve ! :##
« Celle qui suce pour quon laime[… Comment considérer, estimer, une fille qui saime si mal ? »
En effet !!!
Mais à QUI la faute, si des « femelles » en sont arrivées là ?
La nature les a crées pour « baiser »…autant -et mieux?- que les mâles
Mais ces derniers se sont empressés d’imposer LEUR logiciel sexuel…à EUX(!): baiser à la « manière des mecs », quand, comment, avec « qui »…EUX le décident
Jusqu’à créer des « monstres » bannis* de la société…française(!), il n’y a pas si longtemps encore :
La fille-mère et son bâtard (!!!) -Mais toujours d’actualité* ailleurs…avec cette fosse à merde remplie de…800 squelettes de bébé!
Un petit avis à ce narrateur-spécialiste-en-baiseuse:
Un soupçon de…tendresse(!) pour ces « femelles », pour ne pas nous donner l’impression qu’il les considèrerait juste comme des… latrines-à-sperme ? (ou vide-couilles si quelqu’un préfère)
Bref, la sexualité féminine est non… négociable(!!!) -dans le respect d’autrui et surtout pas des diktats religieux ! :
Les femmes peuvent, doivent 😉 baiser avec QUI ça leur plaît, COMME elles le fantasment…elles-mêmes(!), QUAND ça leur chante, et AUTANT de fois que cela leur dit !
Sans demander la permission aux mecs/sociétés et aux religions, toutes, inventées par des …mecs(!):
La société et les religions n’ont rien à faire dans la culotte des filles.
POINT !