" Les emmerdeuses ne meurent jamais"…

 » Les emmerdeuses ne meurent jamais. A bientôt 89 ans, Benoîte Groult gambade comme une gamine dans le jardin de Berg Koudou, sa maison de pierre sur le port de Doëlan, dans le Finistère, piochant sans prudence dans le beurre salé. Elle publie une autobiographie vigoureuse dans laquelle elle livre tout de son couple de cinquante-quatre ans avec Paul Guimard, père de sa troisième fille, mort en 2004, la même année que Georges de Caunes, son macho de premier mari et père de ses deux premières filles…
Elle le quitte, s’installe rue Raynouard, et retrouve par hasard Paul. Leur première nuit sera une révélation sensuelle pour Benoîte…
Elle se désole de voir ses petites-filles lire Voici ou People. «La presse féminine française est lamentable. On dirait les journaux de ma jeunesse. Il y a un terrible retour en arrière. On ne parle jamais de l’intelligence, on dit toujours que ce sont les seins et les fesses qui comptent pour réussir sa vie. La pub, qui paie les magazines et a intérêt à multiplier les femmes au foyer, meilleures consommatrices, a tué le féminisme.» …
Isabelle Falconnier
Source L’Hebdo où retrouver tout l’aticle.

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Je confirme pour les emmerdeuses…:DD

Je confirme aussi la révélation sensuelle…APRES avoir quitté un macho, et rencontré un mec « bien » !!! :yes: