L’infidélité conjugale et les mecs…

« Une enquête scientifique américaine, publiée dans The Journal of Sex Research et relayée par Le Figaro, révèle que l’orientation socio-sexuelle joue un rôle déterminant dans l’acceptation de l’infidélité du conjoint.

Stanislav Treger et Susan Sprecher, respectivement psychologue et sociologue à l’Université de l’Illinois, définissent cette orientation socio-sexuelle en la divisant en deux groupes : le restrictif et le sans restriction.

Une personne socio-sexuellement restrictif vise une relation d’amour basées sur les notions de long terme et d’engagement. Pour cela, le partenaire devra être loyal, gentil et fidèle.

Un individu socio-sexuellement sans restriction va privilégier la relation sans lendemain dans laquelle l’attirance physique constitue un élément primordial.

Sans surprise, les femmes sont majoritaires dans la première catégorie, et les hommes sont plus nombreux dans le second groupe de sujets.

Mais ce qui ressort surtout de cette étude, c’est que les socio-sexuellement sans restriction acceptent moins bien une infidélité uniquement sexuelle, tandis que les socio-sexuellement restrictifs craignent davantage une liaison parallèle affective entretenue par le conjoint.

Un résultat qui nous éclaire sur la réaction disproportionnée des hommes volages qui vivent comme un drame une simple incartade de leur épouse.»

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 » Un résultat qui nous éclaire sur la réaction disproportionnée des hommes volages qui vivent comme un drame une simple incartade de leur épouse.»

Too much :

Ce qui est naturel pour « lui », devient insupportable, quand « elle » prend son pied avec une tierce personne!