Pour la police du campus :« si un violeur n’a pas eu d’orgasme…il n’y a pas eu de viol » !

httpwww.huffingtonpost.com20130722usc-rape-investigation_n_3607954.html#slide=2650513

Par Tyler Kingkade:

« Ali Safran Survivre In Numbers « :

« Ce projet permet aux victimes d’agression sexuelle de parler de façon anonyme sur des affiches, de partager comment des personnes ont réagi à leurs viols: « s’ils elles sont soutenues et crues, alors se crée en elles une voie favorable à la guérison; s’ils sont admonestées ou blâmées, il y a des effets terribles.  »

… »Une étudiante impliquée dans la plainte USC, et qui a demandé à rester anonyme, a déclaré à un policier DPS, que la police du campus lui a dit qu’elle a jugé qu’aucune agression n’a eu lieu dans son cas parce que son agresseur présumé n’a pas eu d’orgasme, et que, par conséquent, ils avaient décidé de ne pas renvoyer l’affaire devantla police de Los Angeles.

«Parce qu’il a arrêté, ce n’était pas un viol», lui a-t-on, signifié pour sa plainte. «Même si son pénis a pénétré le vagin, comme il s’est arrêté, ce n’était pas un crime. »…

…Reed, une plaignante, a déclaré que USC a rejeté sa plainte contre son ex-petit ami qui l’avait violée, malgré qu’elle lui ai fourni des enregistrements audio qui confirmaient ses déclarations. A un moment donné, Reed a raconté qu’un fonctionnaire USC lui a dit que le but était d’offrir un processus «éducatif», mais en aucun cas de «punir» l’agresseur.

«Ces problèmes sont monnaie courante au sein de chaque département, dans à peu près tous les services sur le campus», a raconté Reed au HuffPost, ajoutant ceci: « Il y a un mépris écrasant pour les femmes et les étudiantes qui passent par un traumatisme évident, et ils les ont traumatisées encore par la suite, par la gestion de ces viols »…(Extraits).

Lire tout l’article http://www.huffingtonpost.com/2013/07/22/usc-rape-investigation_n_3607954.html#slide=2650513

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« A un moment donné, Reed a raconté qu’un fonctionnaire USC lui a dit que le but était d’offrir un processus «éducatif», mais en aucun cas de «punir» l’agresseur. »

« Offrir un processus «éducatif» ?

La castration chirurgicale: sûre et définitive !