Avis aux journaleux: "La pédophilie féminine détruit la victime aussi durablement que la pédophilie masculine." !

(Article signalé par un visiteur)

Par Marianne:

 » On pourrait résumer ce qui va suivre en quelques lignes : non, la pédophilie féminine n’est ni « une passion interdite », ni une « liaison particulière ».

C’est un crime odieux qui n’a rien à voir avec l’amour, qu’il soit hétéro ou homosexuel, et qui détruit la victime aussi durablement que la pédophilie masculine. Et vous lire depuis le mois de mai, mesdames et messieurs les journalistes, est d’une violence inouïe.

La première fois j’avais 12 ans.

J’étais une gamine pas encore entrée dans l’adolescence, une grande asperge à lunettes, avec deux ans d’avance, « intellectuellement précoce » et venant d’une famille éclatée. Pas vraiment le profil type de la star des cours des récréations »…

…Une main de femme qui pénètre intégralement le vagin d’une enfant de 12 ans… Combien de personnes sont capables de se représenter la scène ?

Une femme qui prend plaisir à rentrer 1, 2, 3, jusqu’à 12 crayons dans l’anus dans son élève, cela existe, même si j’ai entendu je ne sais combien de fois durant les 9 années de procédure judiciaire : « Une femme ne fait pas ces choses-là ».

Le moment le plus atroce pour moi, ces dernières semaines, a sans doute été la découverte de la page 50 du numéro de Causette. Cette illustration tellement douce, tellement belle et cette phrase « J’ai voué ma vie aux adolescents. C’est terrible pour moi qu’on puisse imaginer que je suis un danger pour eux ». J’en ai vomi.. Littéralement… »…(Extraits).

A lire absolument :
http://www.acontrario.net/2013/06/29/pedophilie-feminine-viol-journalisme/

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« Avis aux journaleux: « La pédophilie féminine détruit la victime aussi durablement que la pédophilie masculine. » !

C’est bien une saloperie, un crime sexuel, et non une histoire…d’AMOUR(!)
:« une passion interdite » !!!

(Oups, j’allais dire bordeldemerde !), quand les journalistes mâles et femelles cesseront-ils de minimiser, d’édulcorer, de fantasmer, de romancer, quand ils relatent d’atroces…réalités(!), criminelles et/ou sexuelles

« Un DRAME(!) familial » pour une tuerie faite par le mari/père

« Un incident », pour un viol

« Violence conjugale » pour un tabassage en règle, de la part de…l’époux(!)

« Des gestes déplacés » pour une agression sexuelle

« Un homme désespéré » pour un assassin de SA propre famille

« L’irréparable » pour un infanticide

« Un crime passionnel » pour l’exécution sommaire d’une partenaire de vie

« Une tournante » pour un viol en réunion

etc, etc,..

PS- Merci visiteur, pour le lien :-))