(Monotype).
Suite- « Lhindouisme
Si une femme ne vaut pas grand chose, une veuve en vaut encore moins. Sachant quune femme ne voit son existence acceptée que pour la survie de la race ou lassistance du mari, le décès de ce dernier rend alors son existence superflue. Lhindouisme propose une solution dont lhorreur le dispute à lanimalité : le bûcher! Dénommée le sati, la crémation dune veuve, vivante, sur le bûcher de son mari défunt signifie à lépouse son inutilité.
Il serait naïf de supposer cette tradition barbare enterrée dans les profondeurs de lhistoire, un cas a été observé en août 2002 près de Bhopal en Inde. Une femme est morte dans les flammes du bûcher funéraire de son mari âgé de 70 ans, mais bien quil y ait eu plus dun millier de témoins oculaires, les conditions exactes semblent assez difficiles à déterminer. Que la veuve se soit précipitée dans le feu delle-même enjointe par une foule extatique ou quelle y ait été poussée par des parents pressés de récupérer ses terres, il sagit bien dune mort commise au nom de sa future divinisation.
Des cérémonies de recueillement ont eu lieu peu de temps après dans les temples voisins pour célébrer la déesse Sati Devi quelle était devenue et pas pour sapitoyer sur cette fin barbare et insensée. Les hindous ont plus soif de nouveaux sacrifices et didoles supplémentaires que de justice sociale. Il faut que noter que ce village, situé dans une région pauvre de lInde, a connu cinq sati en 150 ans.
La société hindoue réserve un traitement extrêmement cruel aux veuves. Elles sont souvent victimes de crimes sociaux, violées et punies par le rejet social. Le sati peut être demandé par la belle famille qui tire profit de lélimination de lhéritière des biens du mari. Des lois existent comme celle sur le remariage des veuves afin de garantir les acquis des jeunes veuves, mais lhostilité sociale contre les veuves demeure encore actuellement bien réelle.
En 1987, le sati dune femme âgée de 27 ans était devenu une affaire nationale. Bien que morte elle aussi devant des milliers de témoins, il na pas été possible détablir si elle avait sauté dans le feu ou si elle y avait été jetée par ses gendres. Et là encore, des célébrations religieuses perpétuent toujours le « sacrifice »
« La misogynie des textes religieux »
Auteur Jocelyn Bézecourt, Docteur en astrophysique
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» Dénommée le sati, la crémation dune veuve, vivante, sur le bûcher de son mari défunt « …
Brûlée…VI-VANTE !!!
Elle n’a pourtant commis AUCUN « péché »…
SI ! Celui de NAÎTRE…FEMME !!!!!!!!!!!!!!!!!!
NO LIMIT à la barbarie des religions…IN-VEN-TEES par des…MECS !
OUI, des types parés d’oripeaux de …RELIGIEUX, avec un pénis, des érections, des éjaculations…COMMANDEES par des FEMMES !
PS- « Ce qui est dénoncé dans cet article, nattaque pas la foi en Dieu de lindividu, seulement la hiérarchie sociale de la civilisation basée sur les textes religieux. Peu de ces mêmes textes sont en accord avec la Déclaration des Droits de lHomme et encore moins avec les droits de la femme. Ce qui nest plus à démontrer, la femme est légale de lhomme intellectuellement et son complément physiquement, et par conséquence devrait avoir cette égalité en tous points au sein de notre civilisation. » (Jocelyn Bézecourt).