(Pastel gras perso, non contractuel).
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» UMMMOAELEUEE – N° de copies : Une- Langue : Espagnol
DÉDIÉ À TOUTES LES FEMMES DE LASTRE FROID TERRE
Femmes de la TERRE, Il nous serait extrêmement agréable que vous posiez votre main sur notre poitrine en signe dalliance spirituelle, cette lettre adressée aux YIIE citées est en réalité dédiée à toutes les femmes de la TERRE. Nous, hommes et femmes dUMMO, avons eu loccasion de fréquenter vos surs. Franchissant limites et exceptions, nous pouvons constater que vous êtes plus compréhensives, cordiales et sensibles que vos frères les hommes.
Nous aimerions que ce message soit comme une longue lamentation de douleur pour linjuste discrimination que subissent vos surs sur OYAAGAA .
Habitués à un astre froid où légalité des droits et des compétences concerne symétriquement les deux sexes ; nous sommes tristes en observant le degré de servitude auquel est soumis le collectif féminin, les racines sociales de ce phénomène nous intéressent tant que nous procédons à la réalisation dune analyse historique de cette soumission. Nous avons été si abasourdis par le traitement vexatoire infligé à vos YIIE que nous navons même pas osé envoyer de messages quaux femmes célibataires par crainte de blesser les sentiments masculins et de nous aliéner votre amitié.
Mais nous ne pouvons passer plus de temps sans vous révéler ce que nous ressentons au sujet de ce traitement infamant. Nous avons conscience de ne pas interférer dans lévolution sociale de la Terre puisque nos propos ne font que réitérer et confirmer ce que dautres penseurs antimachistes de la Terre ont répété à satiété en dénonçant cette injuste discrimination sexuelle.
Nous le faisons pour que les lecteurs de ce message sachent au moins que nous: Oemii dun astre lointain ressentons de laversion et une profonde tristesse envers le procédé de beaucoup dhommes, à qui il ne suffit pas de faire publiquement étalage du sentiment de se vanter de ne pas maltraiter, dans les gestes ou les mots, lépouse ou la compagne. Beaucoup dhommes bien élevés, insérés dans le réseau social, des hommes comme vous qui lisez notre lettre, navaient jamais recouru à la répugnante pratique allant jusquà blesser dinsultes et dhumiliations publiques ; mais il existe beaucoup de façons dhumilier une femme et de rabaisser sa dignité intime, à la fois non subtiles et aussi blessantes que les formes évidentes de perfidie et de sévices, car la souffrance morale quelles provoquent chez les femmes sensibles atteint des niveaux insupportables.
En violant gravement (contre la fluide Néguentropie de lUnivers) les lois bioéthiques en ne considèrant pas votre compagne comme une égale qui mérite un profond respect précisément pour sa faiblesse somatique.
Lhomme qui déprécie ce principe fait étalage de sa lâcheté puisquil profite que sa partenaire comporte une structure anatomophysiologique qui la rend plus perméable aux attaques du plus fort, et bien que parfois elle soit plus résistante et domine physiquement lhomme, bien quaussi elle soit victime de lagression subtile quelle subit provenant du reste du réseau social dont les modèles de conduite sont misogynes.
Lorigine de cette soumission ignominieuse paraît transparente ; déjà à la période correspondant à léclosion sur OYAAGAA de celui que vous appelez Homo habilis, le mâle tuait parfois la femelle après les premiers partages pour disputer le droit aux rares aliments.
Cest à partir dune phase évolutive; Homo Néanderthalien, quand la femme de la Terre commença à être subjuguée « intellectuellement » par le mâle, laccouchement avec ses bouleversements associés, la menstruation, le travail, les qualités physiques diminuées et de forme répulsivement égoïste ; lhomme va profiter des longues phases dincapacité de lYIEE pour imposer sa domination tyrannique.
La réalité est la même dans toutes les cultures et a pour racines les causes soulignées. Vous avez établi des castes soumettant les plus faibles, plus physiquement que non intellectuellement, à être le jouet passif de la dominance indigne de vos compagnons dun autre signe gonadique.
Si aucun ne fut esclave comme elle, la YIIE a été serve et vassale, marionnette et diane désarmée de vos moqueries et de vos mépris, et parfois de vos agressions physiques docilement supportées.
Vous les hommes de la Terre avez monopolisé lhistoire, vous avez écrit et déformé la véritable histoire de létouffement infamant de la YIIE par le compagnon mâle. Mais nous avons déterré beaucoup de témoignages, nous avons réuni et découvert que de toutes les chroniques des iniquités commises dans les siècles passés par les OEMII de la Terre contre les siens, aucune négale en cruauté raffinée celle de la soumission de la femme par son partenaire.
Les races persécutées pouvaient sunir et lutter contre leurs prédateurs, les membres des différentes castes parvenaient à une affinité spirituelle et à la sublimation pour supporter la pression des êtres supérieurs, les esclaves purent en de multiples occasions sunir contre leurs propriétaires Mais la femme était un être isolé handicapé par une éducation imposée par les pères pour se révolter contre son triste destin. Seulement au XIXe siècle elles purent sunir dans des courants suffragistes pour réclamer leurs droits civils, jusque là létat, la patrie, le pouvoir, la tutelle des pères et des maris, les distinctes religions, et églises, étaient des établissements, qui pesaient comme des dalles sur les personnes fragiles des YIIEE et interdisaient tout réflexe de fuite et de libération.
Les hommes nont créé le mythe du matriarcat. Dans aucune phase de la longue histoire de la Terre, la femme na pu dominer le mâle seulement dans des cas ponctuels, des groupes de femme ont formé des escadrons guerriers damazones, parfois très cruels, comme mécanisme réflexe défensif, cest seulement dans des cas isolés et en milieu rural quune femme sest imposée comme matriarche ou Reine, comme dominatrice dun réseau social, où paradoxalement les autres femmes ne furent pas délivrées de leur servitude bien que lune delles occupât le trône.
Mais de toutes les cultures machistes, aucune ne dépasse en fanatisme antiféministe comme la Judéochrétienne. Elle était dautant plus coupable quand, comme la grecque, elle conformait une forme de pensée beaucoup plus élaborée et supérieure par-dessus dautres civilisations plus en retard, dautant plus coupable quelle sappuyait sur le monothéisme, forme de religion plus élaborée et intellectuelle, et qui pourtant était plus obligée de répudier toute manifestation desclavagisme, incluse celle de lhomme sur la femme.
Mais limage de Dieu (JEHOVA) dans le peuple dIsraël est, par un premier blasphème, présenté dans les écritures comme une figure monothéiste cruelle qui ordonna à son peuple dexterminer sans pitié femmes hommes et enfants vivants sur la vieille terre de Canaa et qui légitimement saffrontèrent aux envahisseurs des douze tribus.
Jéhovah est un être masculin dominant tyrannique sans miséricorde, très loin de lidée de WOA . Lunique apport intelligent de ce peuple qui sinvente un Dieu vengeur est la rupture avec laberration du polythéisme
Non seulement le peuple Juif déforme le concept ontologique de Dieu, le faisant apparaître comme un père vengeur qui en outre permet que ses créatures soient tentées par Satan, vieux reflet de lArizdman del Mazdeismo [Ndt: Ahriman est le dieu du mal, Mazdeismo, le dieu suprême, représentation du bien en lutte permanente contre Arhiman. Le Mazdéisme est une religion très ancienne, celle des Parsis, et elle a actuellement une certaine vigueur en Inde] mais qui ensuite développe une grande constellation de mythes et permet lassassinat de Jésus, déformant ainsi lhistoire de sa vie comme si elle nétait pas suffisante.
Le peuple Juif pousse le mépris de la femme à des extrêmes vraiment répugnants, la polygamie des patriarches leur permet de répudier leurs femmes puisque tout compte fait elles descendent selon le mythe hébreu dune côte dAdam.
Dans le Lévitique, on peut lire que la femme qui subit un flux de sang menstruel reste sept jour soumise à limpureté, qui la touche reste impur jusquà la nuit, tout objet quelle touche sera également impur.
La femme adultère lapidée, les hébreux puritains proclament encore béni soit le Seigneur de ne pas nous avoir fait femmes.
Il nest donc pas étrange que lÉglise Catholique qui assume toute la loi écrite dIsraël accepte et favorise la haine subconsciente que lui inspire la femme, la misogynie et laversion des prétendus Saints-Pères pour la figure féminine est réellement pathologique.
St Augustin va jusquà dire que la femme est une bête qui nest ni ferme ni stable, et St Thomas dAquin dans sa grande uvre se réfère à la compagne de lhomme en termes très dépréciatifs et dit ainsi » que la femme est un homme manqué, un être occasionnel incomplet, lhomme est la tête de la femme comme le Christ est la tête de lhomme. » et St Jean Chrysostome souligne quil nexiste au monde aucune bête sauvage aussi destructive que la femme, et il nest pas nécessaire que nous vous répétions les exhortations que fait St Paul à la femme pour quelle se soumette au joug masculin. Tertullien arrive à sexclamer » la femme est la force du démon « .
Le mépris des théologiens chrétiens envers le sexe féminin parvient à des extrémités aussi aberrantes pour que quelques-uns dentre eux osent apporter au Conseil conciliaire lidée que la femme est dépourvue dâme. Limage mythique de la femme tentatrice dans le paradis a fait des ravages idéologiques chez ces hommes fanatiques imbus dune interprétation littérale de la Bible. Il nest pas étrange que la misogynie du clerc catholique débouche sur une des plus terrifiantes persécutions quait connu lHistoire dOYAAGAA, des milliers de pauvres vieilles, adolescentes et jeunes furent brûlées sur le bûcher, torturées en présence de prêtres sadiques sur la terrible et absurde accusation davoir des relations sexuelles avec des incubes diaboliques. La responsable directe de ces horribles morts fut sans doute lÉglise catholique qui de cette manière sest dépréciée pour toujours. Dans les années de la dictature argentine encore, les prêtres catholiques assistaient et collaboraient au travail des militaires arrivant à lextrême à appliquer la gégène à des nouveau-nés en présence de leurs mères. Ce procédé paraissait correct à lÉglise, au point que Monseigneur Medina flattait la junte militaire déclarant que la torture est toujours licite à condition de ne pas dépasser 24 heures, les militaires catholiques argentins avec lautorisation explicite de leurs confesseurs sacharnaient spécialement sur les femmes, quils violaient avec des pals, leur introduisaient lélectrode dans la matrice pour les faire avorter et leur coupaient les seins, dans lécole de mécanique de larmée, un prêtre assesseur alla jusquà dire quil ne fallait pas appliquer lélectrode dans la bouche de la détenue car cela pouvait provoquer la fracture de la mâchoire, il était plus correct de lintroduire par voie vaginale ou rectale.
Bien sûr, le Saint-Siège était parfaitement au courant de ce qui était arrivé. Nous avons photocopié les lettres du Secrétariat dEtat dans lesquelles ils conseillaient aux prélats argentins de collaborer activement aux uvres de répression déchaînées par les autorités militaires argentines, ce même conseil est donné par lactuel pontife J. Paul II aux évêques chiliens, avec la différence notable ces derniers, indignés, ne voulurent pas suivre ces règles et se sont affrontés courageusement au régime dictatorial de leur pays.
Quand un Evêque chilien, au cours de la récente visite du Pontife dans son pays, lui relata en privé (conversation enregistrée par nous) les horribles tortures auxquelles ont été soumises le 20 novembre 1986 par la police deux femmes( une agrégée et une licenciée en philosophie), Jean Paul II sexclama « mais on doit prendre en compte que les deux appartenaient au parti communiste… » et quand un autre prélat lui relate indigné les détails dun épisode où une journaliste fut brûlée vive par un carabinier, le Pape de mauvaise humeur observa « cela ne serait pas arrivé si elle était restée chez elle à faire les travaux du foyer comme toute femme chrétienne et travailleuse… ». Peu après ces commentaires, le Pontife, devant lopinion publique internationale consternée a bénit le Dictateur Pinochet et, dans des lettres privées aux évêques du monde entier, les prévient avec sévérité quil doivent rejeter fermement lidée exotique que la femme puisse accéder au sacerdoce.
Comment sétonner que vous hommes de Terre adoptent une conduite machiste et répressive pour vos YIIE (femmes) si lentité, qui sérige comme interprète de la morale universelle, se montre méconnaissante des droits de la femme, tentant docculter son exécrable idéologie misogyne par la mythique adoration et le culte à Marie, mère éminente de Jésus, nélude pas le respect à la femme et à ses droits passant par la vénération et le respect de la figure historique dune femme, sauf le respect réel des droits de toutes les femmes vivantes daujourdhui. Cest comme si une société esclavagiste qui réprime et jugule les droits humains de ses serfs essayait de laver sa culpabilité en adorant sur ses autels la figure mythique du premier esclave.
Mais la vraie faute nest pas simplement celle des pasteurs de cette Église, mais celle des hommes fidèles qui permettent pareille iniquité ; il nest pas nécessaire que nous, hommes de UMMO attristés, les dénoncions,. Tous les humains mâles ont pleine conscience quils violent les droits à la dignité de vos compagnes, puisque de multiples penseurs hommes et femmes ont élevé leurs voix et dénoncé une telle injustice sans que leurs mots ne méritent plus quun haussement dépaules.
Il nexiste chez vous, hommes dOYAGAA, ni ignorance ni manque de conscience du problème, la violation des droits de la femme est si transparente que cette lettre attristée ne tente pas de rebondir sur ce qui est parfaitement su de vous.
Il est possible que quelques lecteurs de notre message se sentent visés en tant que mâles, sexcusant par largument quils ne maltraitent pas physiquement leurs femmes, ne les violent pas, ne leur empêchent pas laccès à des comptes courants, ne les humilient pas en les insultant, ne leur nient pas comme épouses le droit de sortir quand ça leur plaît
Mais il existe des formes voilées et subtiles de machisme dont probablement ils doivent se sentir coupables. Lépoux qui naide pas sa YIIE dans les moments accablants des travaux du foyer, le mari dominant qui sérige en oracle recteur de la famille, bridant le droit que détient sa compagne à prise de décisions et à lexpression de ses points de vue, les subtiles façons dhumilier sa femme en ridiculisant ses idées, son manque dintérêt à sintégrer en réunions et conversations de caractère intellectuel, sont autant dautres formes voilées de machisme.
Hommes de la Terre, nous manquons dautorité pour vous exhorter à adopter des formes éthiques dordre supérieur, cette dénonciation de la triste condition de la YIIE de OYAAGAA ne constitue pas une ingérence dans le devenir historique du réseau social de la Terre, puisque nous ne révélons pas quelque chose que vous ignorez et qui naurait pas été dénoncé par les femmes et les hommes justes et de condition morale élevée.
Mais oui nous pouvons dire quune grande partie des dérèglements terribles dont souffre le réseau social de la Terre est provoquée précisément par linjuste violation de la dignité que vous devez octroyer à vos femmes. Le mouvement féministe mondial est inévitable si les hommes de la Terre ne progressent pas en concédant ce qui par droit propre correspond au sexe féminin, les femmes préparent sans le savoir une révolution aux conséquences graves pour léquilibre des peuples de lastre froid Terre. Les hommes vont payer brutalement des siècles de laisser-aller et de mépris envers leurs compagnes martyrisées, vous hommes avez tablé subtilement sur limposture de la condition masochiste de la femme, avez créé des mythes infamants comme la femme clitoridienne ou vaginale ou la légende psychanalyste sans fondement scientifique de lenvie du pénis, avez essayé de justifier pseudoscientifiquement la thèse de la supériorité masculine et avez tenté de vous immiscer dans les droits que la femme possède par principe sur son propre corps ; la pression de l’état, de l’église pour arracher au sexe féminin sa liberté, l’indigne attitude d’abandon et de désintérêt de lensemble masculin appuyant tacitement cette injustice vont provoquer dans les années à venir de gravissimes conséquences. Nous humains de UMMO, expéditionnaires sur OYAAGAA, il nous serait agréable que vous soyez plus conscients de ce problème futur, pour nous transparent.
ummo-sciences: D540 | T13-87 à 92
Signature probable réservée: OAXIIBOO-3 fils dIRAA-6
6 lignes sur T13-92 non traduites »
Source http://www.ummo-sciences.org/fr/D540.htm
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Coooooool ! j’adore 😉
« Habitués à un astre froid où légalité des droits et des compétences concerne symétriquement les deux sexes ; nous sommes tristes en observant le degré de servitude auquel est soumis le collectif féminin, les racines sociales de ce phénomène nous intéressent tant que nous procédons à la réalisation dune analyse historique de cette soumission. Nous avons été si abasourdis par le traitement vexatoire infligé à vos YIIE que nous navons même pas osé envoyer de messages quaux femmes célibataires par crainte de blesser les sentiments masculins et de nous aliéner votre amitié. »
Curieux qu’ils s’en émeuvent
Alors que les terriens ont toujours trouvé cette « servitude du collectif féminin »
NOR- MALE,
Parce que les religions sont passées par là, pour…procéder au formatage de la seconde moitié du genre humain :
« la pression de l’état, de l’église pour arracher au sexe féminin sa liberté, l’indigne attitude d’abandon et de désintérêt de lensemble masculin appuyant tacitement cette injustice vont provoquer dans les années à venir de gravissimes conséquences. »
Pour en revenir au « message », il vous paraît -vraiment- plus…incroyable que les contes de fée -les cauchemars(?)- des…religions ? ? ?
La foi de chacun(e) est respectable, mais pas les religions
Pas avant qu’elles n’acceptent de RESPECTER(!)…l’INTEGRITE et les droits humains des femmes
Et ce n’est pas demain la veille ! :##