GPA pour des Français ? A l’étranger !!!

[ Des mères porteuses pour Français ? A l’étranger !!!

Ils seraient entre 400 et 500 couples français à tenter chaque année l’aventure de la GPA -gestation pour autrui- à l’étranger. Plus connue sous le nom de recours à une « mère porteuse », cette pratique interdite en France depuis 1994 ne cesse d’alimenter les controverses.
Laure Camborieux fait partie de ces femmes qui ont traversé l’Atlantique pour faire porter leur enfant par une autre, depuis elle a créé l’association Maia, pour accompagner et informer les couples infertiles sur les solutions existantes : « Au sujet de la gestation pour autrui nous ne pouvons évidemment agir sous quelque forme que ce soit, nous nous contentons d’informer. Les couples sont libres, mais hors de nos frontières ils ne s’adressent pas forcément aux bonnes personnes. »
Laure et son mari ont eu la chance de tomber sur une famille sérieuse en Californie, préférant un contact direct et amical à l’entremise d’une agence. De nombreux couples ont choisi l’état de Californie, eldorado de la GPA : la loi y est non seulement beaucoup plus flexible que dans la plupart des états américains ou des pays ayant légalisé (entre autres le Canada, le Danemark, Israël, le Royaume-Uni, l’Australie ou la Grèce), mais surtout les couples étrangers y sont les bienvenus et repartent avec des actes de naissance déclarant directement le ou les enfants nés de mère porteuse comme leurs propres enfants. Le hic survient dans l’hexagone, où la justice refuse toujours de reconnaître les documents américains : « mes enfants ont la nationalité américaine, en France ils n’ont pas d’état civil, si nous disparaissons ils n’ont plus rien » explique Laure.
C’est entre autres pour légiférer et faire exister ces enfants sur le sol français qu’un groupe de 70 sénateurs, droite et gauche confondues, a mené sa propre enquête sur la GPA, parallèlement à la mission parlementaire sur les lois bioéthiques. Une proposition de loi a vu le jour à la fin janvier, à mille lieues de l’interdiction prônée par le rapport Léonetti. Un voyage outre-Manche et un aperçu des pratiques étrangères aurait fait basculer ce bastion de sages du côté des pros « GPA ». ]

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Et dire qu’ ACHETER le SEXE des FEMMES…Par des MECS , n’a JAMAIS soulevé de problème dans TOUTES les sociétés !!!

Malgré toutes les horreurs que cela engendre :

– Toutes ces filles « importées », « formatées », traitées MOINS que du bétail…
– Toutes ces femmes fracassées par des incestes, des viols, des violences psychologiques et physiques de toutes sortes , qui continuent à se « salir » avec le sperme des clients…Pour vivre.

Et DES femmes toutes proprettes* sur elles, et dans leur sexe, JUSTIFIENT la prostitution SOI-DISANT « libre »(!) Quelle infâmie !

Je ne suis pas pour la fidélité des mecs: leur « nature » n’a pas été formatée ainsi.
Donc, je trouve naturel que des mecs couchent avec d’autres femmes que la leur.( Le mien aussi oui; mais il reste sourd, pas par faute que je lui rappelle souvent qu’il est libre de le faire…)

Par contre, je VOMIS les mecs qui ACHETENT le SEXE de femmes: je suis pour leur pénalisation.
Ils ne méritent AUCUN respect ! Ils sont COMPLICES de toutes les HORREURS engendrées par la prostitution…JOUER à Ponce Pilate ne les dédouane en aucune façon. SHAME on THEM!

PS- *Proprette…Dans leur tête ? VRAIMENT ? A bien y réfléchir c’est plutôt CRADE !
Et si c’était…Leur FILLE, prise dans cet engrenage sordide et violent, par sa nature même ?( « ELLES », elles en rêvent ? Sûrement !)

… »Comment peut-on parler d’égalité en considérant les femmes comme des objets sexuels uniquement vouées à la satisfaction des hommes ? Ekberg donne l’exemple d’une conférence à Berlin portant sur le renforcement des lois contre le harcèlement sexuel. Aussitôt sortis de la conférence, elle a vu des participants traverser la rue pour aller au bordel sans y voir la moindre contradiction. En tant que prostituées, ces femmes sont exclues de la protection légale contre le harcèlement et la violence sexuelles. Pour la conférencière, il faut insister sans répit sur le fait que la prostitution n’est ni un métier, ni un choix, ni une libération sexuelle pour les femmes.

D’abord, il faut se demander d’où viennent les femmes dans la prostitution ? Qui sont-elles ? Depuis 1970, toutes les enquêtes ont démontré qu’elles ont une histoire marginale sur le plan social, économique et politique. En Suède, elles étaient de 400 à 600, dont plusieurs provenaient des pays baltes. Environ 85% d’entre elles ont été victimes de violence, traitées comme des objets sexuels dès leur plus jeune âge avant de subir le dressage brutal des proxénètes. Au Canada, le rapport Fraser évaluait en 1985 que les femmes prostituées avaient 40% plus de chance de se faire tuer que les autres membres de la société.

La plus grande violence dans la prostitution, selon Ekberg, est de se faire pénéter à répétition par voie orale, vaginale, anale. Qu’on soit dans un bordel chic ou dans une ruelle, c’est le même acte prostitutionnel, une inacceptable violence qui cause de graves traumatismes. Il faut prendre conscience, explique-t-elle, que la légalisation de la prostitution constitue une des plus grandes menaces envers l’égalité des femmes parce qu’elle normalise l’idée que les hommes peuvent acheter des femmes.
Elle remarque, cependant, que beaucoup d’HOMMES s’organisent actuellement pour lutter contre la prostitution et tous les mythes sur la sexualité masculine « ...(Elaine Audet Sisyphe.org)

Pendant que des…nanas les JUSTIFIENT.

AUCUNE saloperie envers les femmes ne serait possible, sans le concours de…FEMMES, elles-mêmes…

Ainsi va le monde…Des femmes!