Sa déclaration la plus célèbre : « La Femme a le droit de monter sur léchafaud ; elle doit avoir également celui de monter à la Tribune »
( photo : une VRAIE insoumise, qui se bat…POUR les femmes et non pour SA pomme ).
[ Sinspirant étroitement de la Déclaration des Droits de lHomme et du Citoyen, la Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne se compose également dun préambule (adressé à Marie-Antoinette) et de 17 articles, mais avec un prélude et un postambule. Il ne sagit pas simplement dun contre-projet pour les femmes. Il est clair que la nation est formée par les deux sexes en commun (art. III).
Dans nombre dendroits, Olympe de Gouges a remplacé « lhomme » par « la femme et lhomme », de façon à rendre claire la concordance entre les deux sexes. Larticle VII énonce fermement quil ny a pas de droits spéciaux pour les femmes : « Nulle femme nest exceptée ; elle est accusée, arrêtée, et détenue dans les cas déterminés par la Loi. »
Alors que, dans les articles I et II, les revendications correspondent largement conformément à la liberté, légalité, la sécurité, le droit à la propriété et le droit de résister à loppression, la notion de liberté chez de Gouges se différencie de la définition antinomique de 1789 (« La liberté consiste à faire tout ce qui ne nuit pas à autrui »). Larticle IV stipule en effet que « La liberté et la justice consistent à rendre tout ce qui appartient à autrui ». Ainsi, la liberté est liée à la justice et les femmes veulent moins un accroissement de leurs libertés que les droits naturels qui leur échoient à la naissance.
La Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne dévie également considérablement de la Déclaration des Droits de lHomme et du Citoyen, comme dans larticle XI où la liberté de pensée et dopinion doit spécifiquement permettre, selon de Gouges, aux mères de « dire librement, je suis mère dun enfant qui vous appartient, sans quun préjugé barbare la force à dissimuler la vérité »[3].
Un principe de base de Gouges est que lidentité des devoirs doit entraîner celle des droits (comme, par exemple, limposition) (art. XIII à XV). Olympe réclamait un traitement égalitaire envers les femmes dans tous les domaines de la vie, tant publics comme privés : droit au vote et à la propriété privée, pouvoir prendre part à léducation et à larmée, et exercer des charges publiques, en arrivant même à demander légalité de pouvoir dans la famille et dans lÉglise. La phrase la plus célèbre de sa Déclaration est : « La Femme a le droit de monter sur léchafaud ; elle doit avoir également celui de monter à la Tribune » (art. X)
Il apparaît toutefois quOlympe de Gouges ne croyait pas en légalité des femmes et des hommes. À la différence de la majorité des théories sur légalité, elle pensait que la nature masculine et la nature féminine étaient différentes, et que celle des femmes était supérieure. Cette conviction de deux natures distinctes est évidente dans le texte qui précède la déclaration.
Les hommes qui dirigeaient la Révolution étaient, à de rares exceptions, même pour les plus radicaux dentre ceux, loin de partager cette approche féministe. Son opposition à la peine de mort, son soutien affiché aux Girondins après leur chute, entre autres, lui vaudront dêtre arrêtée et guillotinée le 3 novembre 1793. ]
Source Wikipédia.
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EGAUX, STRIC-TE-MENT EGAUX…Dans la DIFFERENCE !!!
Une pomme n’est pas « supérieure » à une…Poire !
PS- Mais..un « Macho triomphant » et une « Soumise consentante » ont de grandes chances de RESTER…En l’état !!!
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