Egalité… pour la Guillotine !!!

Sa déclaration la plus célèbre : « La Femme a le droit de monter sur l’échafaud ; elle doit avoir également celui de monter à la Tribune »
Marie Olympe de Gouges 1748-1793 ( photo : une VRAIE insoumise, qui se bat…POUR les femmes et non pour SA pomme ).
[ S’inspirant étroitement de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen, la Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne se compose également d’un préambule (adressé à Marie-Antoinette) et de 17 articles, mais avec un prélude et un postambule. Il ne s’agit pas simplement d’un contre-projet pour les femmes. Il est clair que la nation est formée par les deux sexes en commun (art. III).
Dans nombre d’endroits, Olympe de Gouges a remplacé « l’homme » par « la femme et l’homme », de façon à rendre claire la concordance entre les deux sexes. L’article VII énonce fermement qu’il n’y a pas de droits spéciaux pour les femmes : « Nulle femme n’est exceptée ; elle est accusée, arrêtée, et détenue dans les cas déterminés par la Loi. »

Alors que, dans les articles I et II, les revendications correspondent largement conformément à la liberté, l’égalité, la sécurité, le droit à la propriété et le droit de résister à l’oppression, la notion de liberté chez de Gouges se différencie de la définition antinomique de 1789 (« La liberté consiste à faire tout ce qui ne nuit pas à autrui »). L’article IV stipule en effet que « La liberté et la justice consistent à rendre tout ce qui appartient à autrui ». Ainsi, la liberté est liée à la justice et les femmes veulent moins un accroissement de leurs libertés que les droits naturels qui leur échoient à la naissance.

La Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne dévie également considérablement de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen, comme dans l’article XI où la liberté de pensée et d’opinion doit spécifiquement permettre, selon de Gouges, aux mères de « dire librement, je suis mère d’un enfant qui vous appartient, sans qu’un préjugé barbare la force à dissimuler la vérité »[3].

Un principe de base de Gouges est que l’identité des devoirs doit entraîner celle des droits (comme, par exemple, l’imposition) (art. XIII à XV). Olympe réclamait un traitement égalitaire envers les femmes dans tous les domaines de la vie, tant publics comme privés : droit au vote et à la propriété privée, pouvoir prendre part à l’éducation et à l’armée, et exercer des charges publiques, en arrivant même à demander l’égalité de pouvoir dans la famille et dans l’Église. La phrase la plus célèbre de sa Déclaration est : « La Femme a le droit de monter sur l’échafaud ; elle doit avoir également celui de monter à la Tribune » (art. X)

Il apparaît toutefois qu’Olympe de Gouges ne croyait pas en l’égalité des femmes et des hommes. À la différence de la majorité des théories sur l’égalité, elle pensait que la nature masculine et la nature féminine étaient différentes, et que celle des femmes était supérieure. Cette conviction de deux natures distinctes est évidente dans le texte qui précède la déclaration.

Les hommes qui dirigeaient la Révolution étaient, à de rares exceptions, même pour les plus radicaux d’entre ceux, loin de partager cette approche féministe. Son opposition à la peine de mort, son soutien affiché aux Girondins après leur chute, entre autres, lui vaudront d’être arrêtée et guillotinée le 3 novembre 1793. ]
Source Wikipédia.

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EGAUX, STRIC-TE-MENT EGAUX…Dans la DIFFERENCE !!!

Une pomme n’est pas « supérieure » à une…Poire !

PS- Mais..un « Macho triomphant » et une « Soumise consentante » ont de grandes chances de RESTER…En l’état !!!
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