Rendez-vous à Nosy Be demain ?

Anniv 70

313 visiteurs et 430 pages vues hier, alors que j’étais absente ces 3 derniers jours de blog.fr : des amis m’ont kidnappée car ils avaient reçu un message de facebook concernant mon anniv !!! (Je l’ai occulté sur blog.fr, mais je ne sais pas le faire sur l’autre blog!)

Bref, ambiance géniale dans le Sud sauvage; je m’en souviendrai longtemps : ils ont remis le compteur à zéro dès le petit dèj, en affichant la bougie…Zéro, plantée dans un moelleux pain au raisin accompagné d’un délicieux thé mauricien à la vanille…

Je vous donne rendez-vous à Nosy Be ( Madagascar) demain, pour un mois ou plus, si affinités …

Promis, je vous rejoins dès que je déniche un Cybercafé *…

Les voyages forment la jeunesse…Et la vieillesse encore plus
PS- * Pour les nouveaux venus, en attendant, vous pouvez consulter d’anciens articles dans les archives 😉

" Les galères d’un touriste australien à la Réunion"…

4 août 2010 .
 » Sans voiture de location, bloqué à l’aéroport, perdu sur la route des Tamarins… Récit des mésaventures d’un touriste australien en vacances dans l’île.
La Réunion est inscrite au patrimoine mondial de l’Unesco. Chiche. Les touristes du monde entier vont rappliquer, attirés par la splendeur de nos sites naturels. C’est du moins le grand espoir des professionnels du secteur. Pas gagné, loin de là. Dans l’euphorie ambiante, les mésaventures vécues par un touriste australien renvoient notre île à ses lacunes en matière d’accueil. Jugez plutôt. Encouragé par un couple d’amis réunionnais résidant en Australie, Bill (*), un habitant de Sydney, a posé ses valises à la Réunion avec femme et enfant il y a une semaine. Ce chirurgien de son état, la soixantaine, est rompu aux voyages. Il compte plusieurs destinations à son actif. Ses amis lui ont conseillé de louer un véhicule pour découvrir l’île, son volcan, ses cirques, etc.
Une carte Gold ou rien
Premier réflexe, Bill se rend chez un loueur de voitures à l’Ermitage, situé à proximité d’un hôtel trois étoiles. Sur place, mauvaise surprise. “Désolé, on ne prend pas les permis étrangers”, lui fait-on savoir. Le permis de conduire australien diffère du modèle français. Le document ne mentionne pas de date de délivrance. Un problème pour le commerçant. “Je ne peux pas savoir si vous êtes un jeune conducteur. Ça ne passera pas vis-à-vis de notre assureur”, justifie ce dernier. L’Australien a pourtant 60 piges et n’a pas l’allure d’un délinquant routier. Désappointé, Bill frappe à la porte d’un autre loueur, du côté du port de Saint-Gilles-les-Bains. Même punition. On refuse de lui prêter une voiture, au motif qu’il ne dispose pas d’une carte bancaire Gold, qui prend en charge une assurance en cas d’accident. Bill tombe des nues. Il a beau discuter. Rien n’y fait. Le loueur, qui n’avait plus qu’un véhicule en stock (une Peugeot 106 à 45 euros par jour !), maintient son refus.
Direction Maurice
Échaudé, le touriste australien décide alors de prendre un billet d’avion… pour l’île Maurice. En deux jours, il boucle les réservations, le transfert. Son séjour, dans un hôtel quatre étoiles, se déroule sans couac. Sans les difficultés de langue qu’il a pu connaître chez nous. Au moment de rentrer à la Réunion, nouvelle embûche. Bill se retrouve bloqué par la police des frontières à l’aéroport Roland-Garros. Motif : son passeport n’a pas été cacheté lors de sa première arrivée en provenance Sydney. Il n’y est pour rien. L’oubli provient de l’agent qui était alors en poste. Quoi qu’il en soit, le collègue qui a constaté l’absence de cachet ne veut rien entendre. Et refuse de laisser Bill et sa famille entrer sur le territoire. L’agent de la PAF demande à l’infortuné voyageur de présenter son billet retour ou un certificat d’hébergement. Pas de bol, aucun de ces documents n’est en sa possession. L’embrouille dure plus d’une heure. Il faudra finalement l’intervention d’un supérieur hiérarchique pour débloquer la situation. Enfin libérée, la famille australienne n’est pas au bout de ses peines. Elle finit par récupérer une voiture de location à Gillot, par le biais d’une agence de voyage. Ayant réservé à l’avance, Bill pensait ne plus rien avoir à régler. Mais le loueur lui présente une facture d’une trentaine d’euros, au titre de la taxe aéroportuaire. Encore une mauvaise surprise. Direction Saint-Paul, le quartier de Plateau-Caillou. Il fait nuit et le touriste australien va se perdre sur la route des Tamarins. Les naufragés de Sydney seront récupérés “épuisés, paniqués, au bord de la route”, du côté de l’Eperon. Sympa le séjour ! Bill et sa famille ont hâte de reprendre l’avion pour l’Australie demain. L’homme a prévenu ses amis de Saint-Paul. On n’est pas prêt de le revoir à la Réunion.  »
V.B.
Source Clicanoo.

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Il faut relativiser : en voyage, plus qu’ailleurs, le pire est toujours possible!!!

A Mada : impossible de payer avec la Carte Gold, ni de retirer des sous (ils n’ont pas le terminal) !!! Le proprio du « Vanilla Hôtel » un dentiste réunionnais heureusement en vacances dans son hôtel à ce moment là, nous a proposé de lui faire un chèque …en Euro. De retour à ma case, j’ai été me faire faire une Carte BLEUE, en plus de l’autre!
A Mada, toujours : lors d’un voyage suivant, Monamoureux ne pouvait plus quitter Madagascar, l’employé de la PAF avait oublié de signer son visa à l’arrivée! Etc, etc…

A Maurice: Réservation de deux chambres au « Blue Lagoon », près de l’aéroport et d’une voiture Avis.
Arrivée à 1H du matin de l’Indonésie (heure normale de transit !):
-Bloqués à l’aéroport par les douaniers parce qu’ils pensaient qu’on faisait de la contrebande avec…Une petite radio achetée à l’aéroport de Singapour. Deux heures de perdues: nos trois enfants dormaient debout!!!
-L’hôtelier, tout gêné, nous avait réservé une…single (je pense que vue l’heure tardive de notre arrivée, il avait loué nos résa à d’autres touristes!)
– Voiture de location pourrie; en plus, le capot se soulevait de façon intempestive et nous empêchait de voir la route et donc de conduire ! ( Le préposé s’était barré après nous avoir indiqué son emplacement dans un parking de l’aéroport et remis les clefs!). Nous avons dormi en rase campagne entre des champs de canne à sucre en fleurs. Le thé sucré et vanillé mauricien, dégusté devant un petit snack au petit matin, reste l’un de mes meilleurs souvenirs…
– Pluie torrentielle la nuit suivante où nous avons dormi dans un « campement »; Toutes nos affaires laissées dans le coffre surnageaient…Devant mon intention de demander des comptes à sa maison-mère (photos à l’appui), le préposé d’Avis ne nous a pas fait payer les trois jours de location !

Et beaucoup d’autres « incidents », partout dans le monde…

Mais il y en a eu de merveilleux aussi…( des petites loupiotes multicolores s’allument dans mes yeux…)

MOI ? J’adoooore toujours voyager: en premier lieu, parce que les voyages forment la jeunesse, dit-on !!!