… »C’est avec précision qu’il montre ses cicatrices. Des traces aux mains, sur les bras, un nez de travers et une oreille déformée. « J’ai toujours été minutieux », sourit Maxime Gaget. Du haut de son mètre quatre-vingt-cinq, il a tout l’air d’un type normal. Et c’est bien cela qui désarçonne. Jamais on ne pourrait se douter que cet homme a, « pendant un an, quatre mois et deux jours » subi les sévices de son ancienne compagne. Une expérience souvent insoutenable, qu’il a décidé de raconterdans un livre, Ma compagne, mon bourreau »…(Extrait).
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Je vais poser LA question que l’on pose toujours aux nanas battues: pourquoi ce battu de 1,85 mètres, ne s’est-il pas barré ?
Il n’est pas marié, il n’a pas d’enfants avec cette femme, il a du fric, il se tape le ménage, il est sévèrement battu et apparemment, il n’était pas menacé de mort s’il choisissait de s’en aller …
« Il y a quelque chose d’étrange, de magnétique, d’irrationnel dans cette attirance », écrit-il.
Je ne dis pas tout ce que j’ai envie d’ajouter, ce ne serait pas politiquement correct…