Soumission ? Noooon: "allégeance à une communauté". Admirons le génie des croyances et religions misogynes !

 » Mariage forcé, excision, séquestration, obligation de porter le voile… que sait-on des femmes contraintes de vivre sous la loi des hommes, de leur famille, de leur culture ? Qui sont-elles ? Dans quelles conditions vivent-elles ? Toutes les classes sociales sont-elles concernées ?

Maryse Bresson : On a des chiffres sur certaines choses seulement, mais ils sont toujours sujets à caution. En 2003, un rapport du Haut conseil à l’intégration avait estimé à 70.000 par an le nombre de mariages forcés en France. Il avait été tout de suite contesté, car il est difficile de prouver ce genre de chose. D’autant que le mariage forcé est assimilé en France à un viol forcé, et qu’étant hors la loi, il est donc difficile à comptabiliser.

Sur ces questions, on considère généralement que la classe moyenne a une norme plus égalitaire. Des études sur le couple, la famille, etc., ont montré que le partage des rôles entre hommes et femmes est plus marqué dans les classes populaires. C’est les femmes qui vont prendre en charge un certain nombre de tâches domestiques, choisir certains métiers… De fait, être assignées à un certain type de rôle.

Sur le voile intégral, le ministère de l’Intérieur avait estimé leur nombre à 2.000. C’est un phénomène spectaculaire, mais qui, s’il n’est pas négligeable, reste minoritaire. La question plus large du voile est intéressante. En tant qu’enseignante, je vois des jeunes filles qui nous expliquent que c’est tout à fait un choix, qu’elles le revendiquent et qu’elles veulent absolument porter le voile. Parfois, quand on discute avec elles, qu’on leur demande pourquoi avoir fait un tel choix, elles répondent que sinon, on ne les autorisera pas à venir à la fac faire des études. C’est un choix, mais là-aussi dans un univers de contrainte.

En tant qu’Européens, on a l’impression que c’est une soumission aux hommes. Elles, elles voient plutôt cela comme une allégeance à une communauté, à des exigences culturelles »…(Extrait).

http://www.atlantico.fr/decryptage/sos-femmes-en-detresse-bienvenue-dans-quotidien-detestable-celles-qui-ont-plus-besoin-qu-on-se-preoccupe-sort-et-pas-que-8-mars-2032382.html#r6fAIVp0VAL3Smmr.99

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« Parfois, quand on discute avec elles, qu’on leur demande pourquoi avoir fait un tel choix, elles répondent que sinon, on ne les autorisera pas à venir à la fac faire des études. C’est un choix, mais là-aussi dans un univers de contrainte. »

On s’en doutait un peu !

« Il ne faut pas prendre les enfants du bon dieu pour des canards sauvages! »

Affirme un dicton

Bref, soumission ? Nooooon: « allégeance à une communauté ». Admirons le génie des mecs qui ont inventé les fables misogynes des croyances et religions diverses

Bra-vo les mecs: imparable !:##