» Un traumatisme encore plus vivace du fait de la religion. « Nous sommes de confession musulmane. Pour nous, cest la honte et lhumiliation pour toute la famille. Mais il était hors de question de ne pas porter plainte : il faut empêcher que cela ne se reproduise, insiste Lamine. Si dautres victimes se sont tues, je leur en veux. Ces jeunes doivent être punis. Cela ne pourra pas rendre lhonneur à ma fille, mais il faut que justice lui soit rendue. »
* Les prénoms ont été modifiés.(Père d’origine Malienne)
(Louise Colcombet-Le Parisien-13/04/2010)
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[ Une adolescente violée porte plainte: sa famille doit fuir sa cité
Début avril, une jeune fille de 14 ans a porté plainte après avoir « été violé par une bande de jeunes », dans une cité des Ulis, dans lEssonne, rapporte Le Parisien.
La jeune victime avait « déjà été violée, en décembre, dans une cave de la même cité ».
Une de ses amies a également porté plainte pour les mêmes faits.
A la suite de ces plaintes, quatre garçons âgés de 15 à 17 ans ont été interpellés et placés en détention.
Mais depuis la plainte, début avril, la famille de ladolescente a vécu un véritable cauchemar, révèle Le Parisien.
« Des groupes de jeunes, parfois des filles, sont venus sonner à linterphone (…) Nous étions barricadés chez nous, nous nosions plus sortir. » raconte le père de la jeune fille, âgé de 48 ans.
Puis, le 4 avril, des jeunes ont lancé un cocktail Molotov dans le hall de son immeuble.
« Quand jai vu la fumée monter dans lescalier, je me suis dit que nous ne pouvions vivre dans ces conditions », confie, écuré, le papa au Parisien.
Pour le père, ces menaces, ces intimidations nont quun seul but: que sa fille « retire sa plainte ».
« Ils nous ont persécutés, mais nous irons jusquau bout », explique le papa en colère au journal.
Par prudence, la famille a déménagée de lappartement.
Elle est hébergée par des amis, dans un autre département de l’Ile-de-France. Trois des enfants sont déscolarisés.
« Ce que nous vivons est inadmissible, je nai pas dautre mot », confie le papa dans Le Parisien, « nous vivons à huit dans un deux-pièces ».
Leur demande de relogement na pas abouti selon Le Parisien.
Les parents de la jeune victime ne comprennent pas la « lenteur administrative » pour leur relogement, tout en regrettant lattitude de la mairie:
« La première des choses à faire, cétait de nous contacter et de nous fournir au moins une aide psychologique. Nous sommes en état de choc », explique cet homme.
La préfecture, saisie du dossier, explique qu’il n’existe « pas de protocole spécifique pour ce genre de cas, et que le relogement prendra des semaines ».
Toutefois, une réunion entre les différentes parties (mairie, police, procureur adjoint, services sociaux) doit avoir lieu ce mercredi, selon TF1 News.]
Source le Post.fr
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Mais…Selon des nanas : » Ces filles l’ont bien MERITE : quelque part c’est de leur FAUTE à ELLES…d’une manière ou d’une autre ! »
Des filles SOLIDAIRES de VIOLEURS : j’ai la RAGE !
De tout temps, hélas, des NANAS se sont montrées solidaires de… MECS puants .
Banaliser, minimiser, occulter, toutes les « violences » envers les femmes pour s’attirer la sympathie de…MECS !
Ainsi va le monde…Des femmes !