… »Lhistoire des soeurs Mirabal:
Une magnifique histoire qui se termine affreusement mal. Et qui commence, comme souvent, par une affaire de quéquette trop pressante. Il était une fois trois jeunes soeurs ravissantes et intelligentes qui vivaient en République dominicaine, sous la dictature sanguinaire (1930-1961) de Rafael Trujillo. Lune delles, Minerva, était si belle que le tyran à qui il ne fallait pas dire deux fois dabuser dune jouvencelle linvita au « bal obligatoire » quil donnait en son propre honneur.
Il la fit danser, tenta de lemballer, se fit remballer. Re-convocation à un bal. Re-gros vent. Or, Trujillo, comme tous les gros lourds, devint violent face à la frustration. Mais un dictateur ne traite pas les femmes de « grosses putes ». Non, un dictateur, dans ce cas-là, ça embastille et fait torturer votre papa chéri. Nettement plus désagréable. Minerva retourna donc voir Trujillo pour lui demander la clémence envers son père. Selon la légende, le tyran, qui ne manquait pas dhumour, lui fit jouer son destin aux dés : si elle gagnait, elle pourrait lui demander ce quelle voudrait. Si elle perdait, elle lui appartiendrait. Raté, Dédé ! Minerva remporta la partie,…(Extrait)
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» La morale que je retiens ? Il ny a pas de résistance tranquille, mais il ny a pas non plus de souffrance paisible. Alors mieux vaut se rebeller. »
Yyyyes, il faut toujours se rebeller !