Un gang de nanas …indien ! Pour corriger des machos !

 » Portant des saris roses et brandissant des bâtons de bambou, c’est le Gang Gulabi – le visage féministe de l’Inde.

Créée en 2006, la troupe a vu le jour en tant que force indépendante de la justice dans le but de «punir» les oppressions et les violences des pères, maris et frères.

Il a été formé par Sampat Pal Devi, dans le district de Banda de l’Uttar Pradesh en Inde du Nord, et maintenant, avec un effectif se chiffrant en des dizaines de milliers de personnes, le groupe se retrouve à effectuer des «interventions» au nom des hommes aussi.

Son site Internet s’engage à remettre en question « toutes les violations des droits de l’homme infligées aux faibles. »

Après la mort d’une victime de 23 ans, dans un viol en réunion la semaine dernière, les droits des femmes ont été hissé au sommet de l’agenda social de l’Inde, et le Gang Gulabi a demandé justice.

Devi a déclaré au Times of India: « Les violeurs ne doivent pas être pendus cela ne servirait à rien, au contraire, ils doivent être castrés chimiquement et la phrase:« Je suis un violeur « , devrait également être gravée de façon permanente sur leurs fronts »…

Telle est la leçon qui devrait être enseignée aux violeurs de Delhi et beaucoup d’autres n’oseront jamais approcher une fille avec de mauvaises intentions. »

Cinq des accusés ont été inculpés de viol et d’assassinat, tandis qu’un sixième suspect qui affirme avoir moins de 18 ans, devrait être jugé par un tribunal pour mineurs séparément, rapportent les Associated Press . En vertu de la loi indienne les mineurs ne peuvent être poursuivis pour assassinat.

Un rapport de police consulté par le Hindustan Times affirme que le jeune suspect a « extrait son intestin avec ses mains nues et a suggéré qu’elle soit projetée hors du véhicule en mouvement dépourvue de ses vêtements. »

Les médias indiens rapportent que la police fait pression pour la peine de mort, mais la bande de Gulabi est opposée à la peine capitale.

Devi estime que la peine de mort »aggrave le scénario, au lieu d’atténuer le problème» et croit que l’analphabétisme est la raison du nombre croissant de viols.

Elle a expliqué: « Une importante partie des femmes de Bundelkhand est analphabète, et manque donc de la confiance nécessaire pour être autonomes Ces traits des femmes donnent un avantage aux hommes qui tentent de les exploiter.».

Le Gang Gulabi a battu des hommes qui ont abandonné ou battu leurs épouses et mis au jour la corruption dans la distribution de céréales aux pauvres, rapporte la BBC.

Elles ont également pris d’assaut un poste de police et a attaqué un policier après avoir été pris chez un homme intouchable et a refusé d’enregistrer un cas.

Devi ajoute: «Il n’y a que des luttes que les femmes ont à traverser, ici, il semble ne jamais s’arrêter.

« Nous n’aimons pas recourir à la violence, mais parfois c’est la seule façon pour que les gens écoutent. »

Durant le viol, qui est venu à galvaniser la nation, la victime a été attaquée par six hommes sur un bus. Une tige de métal a été insérée dans son corps comme le bus a tourné en rond pendant 40 minutes. L’attaque soutenue a entraîné la suppression de la quasi-totalité de ses intestins.

La victime et un ami de sexe masculin, qui a également été attaqué, ont été éjectés de l’autobus alors qu’il était encore en mouvement. La police de Delhi a déclaré que le bus a ensuite tenté de les faucher.
La femme non identifiée est décédé après avoir subi une défaillance multiviscérale et une crise cardiaque.

Dans les jours qui ont suivi sa mort, les Indiens en Colombie, y compris des professionnels du secteur médical, commercial et juridique ont écrit une lettre à l’ambassadeur britannique indien Dr Bhagwati et le Premier ministre indien, Manmohan Singh, appelant à une action urgente pour assurer la protection des femmes dans les Inde contre la violence sexuelle.

Au milieu d’une campagne visant à faire face aux incidences répandues et souvent non déclarées de violence contre les femmes, le gouvernement a été contraint à l’action. Plus de patrouilles nocturnes de la police ont été mises en place, des bus aux vitres teintées ou des rideaux ont été interdits et les conducteurs de transports en commun sont désormais soumis à plus de contrôles, a rapporté la BBC.

Une permanence téléphonique a également été mise en place.

Cependant les activistes sociaux insistentsur le fait qu’il n’y a pas assez d’efforts pour lutter contre la culture du viol en Inde.

New Delhi est devenue la «capitale du viol» en Inde, avec 25% des cas sur l’ensemble de l’Inde se produisant dans la capitale, selon un rapport d’Al Jazeera.

Une femme est violée à Delhi toutes les 14 heures, selon les chiffres cités par la BBC.

Malgré cela, les chiffres officiels montrent qu’il n’y avait qu’une seule condamnation pour viol dans l’ensemble de l’année 2012. Le 26 Décembre, une jeune fille de 17 ans qui avait été violée à Delhi a été retrouvée morte, une note de son corps blâme ses agresseurs.

Il a fallu plus de deux semaines pour son cas soit enfin enregistré, au milieu d’allégations que des policiers avaient fait pression sur elle pour retirer son cas et ‘épouser son agresseur.

Une note positive cependant, puisque l’attaque a eu lieu le Décembre 16, il ya eu un regain d’intérêt des femmes dans des cours d’autodéfense en Inde, et les commerçants ont fait état d’une flambée des ventes de gaz poivré et les alarmes de viol, rapporte l’AFP.

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Merci Pierre !

Voyagez dans la musique de son âme et laissez-vous captiver par sa voix sensuelle…

(Vidéo voir lien ci-dessous )

Irina R:

… « C’est en 2007, à la suite d’un retour aux sources, à Madagascar, qu’Irina a le déclic, et ressent le besoin de créer sa propre musique.
Dès lors, elle puise son inspiration dans la douceur de Norah Jones, le piano de Nina Simone, le sourire de Marvin Gaye, ou encore les accords de guitare de Judee Sill, et la voix grave de Krystle Warren ; le tout sans tomber dans le Jazz ou la Folk pure. Elle y mêle sa sensibilité, ainsi qu’un brin de mélancolie et de Soul. »

Lien vidéo http://www.youtube.com/watch?v=04bQ3xyxvsY

http://www.irina-r.com/

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Cool !

Le blues de Madagascar…bluffant!

http://www.blog.fr/srv/media/dewplayer.swf?son=http://data8.blog.de/media/308/6679308_e8eaa2d74e_a.mp3

« Tao Ravao et Vincent Bucher : « Lazao Izy »

Aussi bluffant que dans les bayous du sud des States, voici maintenant le blues de Madagascar, dont on finit par se dire s’il n’est pas plus authentique, finalement, que celui des immigrés des Amériques. Il l’est tout autant, mais n’a pas forcément quitté le continent d’origine, sans y être vraiment puisque c’est une île. Mais bref, ce disque « Lazo Izy » est une belle rencontre, et une belle réussite. Tao Ravao est une Malgache parti très tôt fricoter dans le monde ses musiques avec celles des autres, avec sa mandoline, puis son banjo, il tourne en Europe, puis aux Etats-Unis où il découvre le blues avec notamment Homesick James, puis revient plus tard dans son île natale et flashe par retour de manivelle sur la musique traditionnelle de Madagascar, se resservant des instrumants, de là-bas, le kabossy, le valiha ou le krar. Puis voilà-t-y pas qu’il fait la connaissance de Vincent Bucher, un furieux harmoniciste qui lui aussi vagabonda aux Etats-Unis dans l’ombre protectrice de certains grands noms du blues, du rock voire des Caraïbes. Leur rencontre, leurs points communs et le goût pour des aventures nouvelles leur a fait pondre ce petit bijou un brin extra-terrestre, mais totalement terrien : un vrai blues de blues malgache, à l’harmonica baladeur et aux morceuax qui font un grand écart jouissif entre l’île d’Afrique et les bayous de Louisiane. Au début on est très africain, et ensuite l’on part dans des morceaux plus occidentaux, où l’on repense à la voix de Jim Morrison, à l’envoi de Bjorn Berge, et jusqu’à chez nous Paul Personne et un certaine côté alternatif de la chanson française nomade. Et pourtant qu’avec des voix, un harmonica, des instruments malgaches et quelques percussions. Un exploit, un séduisant exploit. Enfin non, pas un exploit : des instants magiques, chaleureux, avec une vraie célébration de cette rencontre. Du son neuf, avec du vieux : c’est dans les vieilles marmites »…

Monsieur l’ouïe

http://www.aveyron-concert.info/2008/10/12/tao-ravao-et-vincent-bucher-lazao-izy/

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… »Le blues de l Océan Indien La rencontre des cordes de l Océan indien de Tao Ravao, virtuose du Kabosy, et du génie de l harmonica Vincent Bucher pour un superbe voyage autour du blues. De Chicago à Tamatave, il n y a qu un pas dans la musique composée par Tao Ravao. Ce trio vous fera voyager comme jamais à travers les cultures malgaches et centrafricaines tout en vous faisant découvrir les origines du blues. Tao Ravao: Valiha lintunga (harpe de bambou à 15 cordes), kraar (guitare traditionnelle Malgache), Kabosy Vincent Bucher: Harmonica Emile Biayenda: Tambour Ngoma et percussion
Biographie de l’artiste
une musique intime qui se met en résonance avec le Monde. De Chicago à Tamatave, il n y a qu un pas dans la musique composée par Tao Ravao. Toujours liée aux racines du blues, qui a marqué si longtemps le duo Tao / Vincent, elle affirme un peu plus sa marque originale. Emmenée par les percussions d Emile Biayenda, son rythme de croisière s établit entre les balancements de l Océan Indien et l efficacité du blues. Aux sonorités malgaches du kabosy et de la valiha, Tao y ajoute la mélodie d une harpe kenyane litungu, glanée à l occasion d un de ses nombreux voyages. Vincent module ses mélodies à la manière d un griot du XXIe siècle. Sa voix se réapproprie le délié du français par la magie d un air cajun, tandis qu Emile Biavenda explore la diversité des rythmes du Centre Afrique au moyens des percussions. Tao Ravao, virtuose du Kabosy, nous entraîne donc dans un tourbillon musical, nous transportant d un bout à l autre du monde grâce à la formation de génies que sont Vincent Bucher l harmoniciste et Emile Biavenda le djembéiste. Ce groupe utilise des instruments variés, allants de la kraar (guitare traditionnelle Malgache) à la valiha lintunga (une harpe de bambou à 15 cordes du Kenya), en passant par l harmonica et le tambour « ngoma » du Tongo. Tous ces musiciens sont des experts dans leur art, chacun ayant exploré les possibilités de leur instrument jusqu à une maîtrise qui confine à la perfection. En effet, Tao Ravao, Vincent Bucher et Emile Biavenda jouent de leurs instruments respectifs depuis une vingtaine d année. Cette formation diversifiée et experte a valu au « Tryo Tany Manga » d être récompensé par l académie Charles Cros, ce qui n a fait qu accroître la notoriété du groupe déjà célèbre »…

http://www.amazon.fr/gp/product/B001DY24FG?ie=UTF8&tag=aveyronconcert-21&link_code=wql

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Cool…

Encore des exemplaires sur amazon 😉

Les cavalières de la mer…

( « Rider est un mot anglais qui peut désigner : cavalier. Aujourd’hui le terme rider est surtout utilisé dans les sports extrêmes »)

Des rideuses de haut niveau !

… » Pour la première fois cette année, le Manapany Surf Festival accueille une manche féminine du Championnat du Monde de bodyboard, le Women’s World Tour Event IBA. Cette compétition se déroulera en parallèle du Challenge Manapany…

Au moins une dizaine de compétitrices en provenance des quatre coins du monde (et de la Réunion !) s’affrontera sur les vagues de Manapany. On retrouvera parmi elles la championne du Monde 2010 Isabella Sousa (Brésil), mais aussi Lilly Pollard, championne d’Australie et dans le Top 5 2011, et d’autres championnes du Top Ten 2011. Cette manche réunionnaise leur permettra également de marquer des points pour la suite de la saison mondiale.

A noter également, la participation de notre championne locale, Roxane Bonet (quatre fois championne de France, championne d’Europe) qui, sur son spot favori, risque de créer la surprise devant les têtes d’affiche de la discipline. De belles manœuvres en perspective, et un spectacle assuré avec ces rideuses de haut niveau.
manapanysurfestival

http://reunion.orange.fr/loisirs/culture-sorties/zooms/manapany-surf-festival-2012.html#formulaire_forum

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Bravo les filles !

Jusqu’où "voyagent" mes posts ?!

Com de farica sur mon post du 15. mai, 2009(!):  » Au-delà des races: Talisma Nasreen est une résistante pour les droits des femmes »

farica (Visiteur)
mercredi, 28. mars, 2012 @ 13:04:35

« trop cool le truc: moi j’avais un travail pour l’ecole sur la resistance de taslima nasreen »

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Site toogezer:

 » Taslima Nasreen : une résistante pour le droit des femmes

Pour avoir dit haut et fort dans son pays, le Bangladesh, que les femmes ont droit à la justice et à l’égalité, Taslima Nasreen a risqué sa vie. Aujourd’hui, toujours menacée de mort, elle est un symbole de la résistance des femmes persécutées au nom de la religion.
Taslima Nasreen est née en 1962, dans une petite ville située à l’est du Bangladesh, dans une famille musulmane, aisée et cultivée. Dès son plus jeune âge, la jeune femme a déjà « fortement le sentiment de l’importance de lutter contre l’oppression ». Alors qu’elle se destine à la gynécologie et obtient son diplôme en 1984, la jeune femme profite de sa passion pour la littérature et plus particulièrement la poésie pour aider les femmes à comprendre pourquoi elles sont opprimées et pourquoi elles doivent se battre.
Son talent est rapidement reconnu et l’écrivaine publie dans de nombreuses revues littéraires avant de connaître son premier grand succès en 1989 avec Nirbashito Bahire Ontore. Les journaux bangladais lui proposent alors d’écrire régulièrement dans leurs colonnes. C’est ainsi que, dans les années 90, Taslima Nasreen profite de ces tribunes régulières pour dénoncer le sort des femmes asservies dans son pays. Dans un style direct et assumé, cette gynécologue divorcée, féministe et athée n’hésite pas à critiquer la religion, les traditions, l’oppression culturelle et la discrimination dont sont victimes les femmes de son pays. Certains la soutiennent dans son combat, d’autres la détestent. À tel point qu’en 1991, les premières menaces de mort à son égard sont proférées. On lui reproche de diffuser des idées blasphématoires et d’heurter la sensibilité religieuse d’une partie de la population.
Elle continue pourtant d’être soutenue par de nombreux écrivains et reçoit en 1992, en Inde, le prix Ananda pour son ouvrage Nirbachito Kola. Elle profite de ce voyage pour demander aux autorités indiennes de lui prolonger son visa pour qu’elle puisse y rester et vivre en sécurité. « Mais le gouvernement indien ne m’a pas autorisée à rester », raconte t’elle dans une interview au Monde en 2005. « Quand je suis allée chercher le prix Ananda, ils ont refusé de prolonger mon visa. J’ai dû être protégée par la police.»

Début de l’exil

La publication en 1993 de Lajja (La honte), son premier roman dans lequel elle décrit les atrocités perpétrées par les fondamentalistes musulmans à l’encontre des minorités hindoues, fini de faire basculer sa vie en enfer. Le roman est censuré et interdit de publication pour « incitation à la haine interconfessionnelle », certains vont même jusqu’à brûler son effigie et ses livres en public. Une Fatwa (ordonnance religieuse), promulguée par un groupe d’extrémistes islamiques appellent « au meurtre de l’impie », sa tête est mise à prix. Quelques mois plus tard, des dizaines de milliers de personnes descendent dans les rues pour scander « À mort Nasreen ». Contrainte de vivre recluse – le gouvernement lui ayant confisqué son passeport – et de cesser son activité professionnelle, la romancière reçoit le soutien de la communauté internationale et de défenseurs des droits de l’Homme. Elle est finalement autorisée à quitter le Bangladesh pour trouver refuge en Suède. « Je ne voulais pas quitter mon pays, on m’a forcée à partir, on m’a jetée dehors », confie-t-elle en 2003 à Amnesty International.

En dates

1962: naissance à Mymensingh, petite ville située à l’est du Bangladesh
1992: Prix Ananda
1993: publication de Lajja (La honte), son premier roman
1994: Prix Sakharov
Taslima Nasrenn a aujourd’hui 45 ans, et cela fait quatorze ans qu’elle ne peut plus rentrer dans son pays. En exil, elle a publié vingt huit livres – dont cinq ont été interdits par le gouvernement bangladais – pour nourrir son combat pour les femmes. « Même si la plupart des femmes sont analphabètes [au Bangladesh, NDLR] et ne peuvent pas lire ce que j’écris, celles qui sont instruites, elles, le peuvent », rappelle Tasliman Nasreen à Amnesty International en 2003. « Si elles prennent conscience de leur aliénation, elles transmettront ce message aux femmes pauvres et analphabètes et le mouvement se renforcera. Je pense que la résistance est essentielle. On ne peut pas lutter contre les intégristes en les lapidant comme ils nous lapident. Il faut donc avant tout changer les lois, parce que les lois elles-mêmes nuisent aux femmes ; ce sont des lois religieuses qui donnent leur pouvoir aux intégristes. S’il y avait égalité des hommes et des femmes devant la loi, on pourrait punir les intégristes lorsqu’ils commettent des crimes contre les femmes. » Mais Taslima Nasreen espère pouvoir rentrer chez elle car, pour elle, le combat doit se mener de l’intérieur. « Je ne pense pas que l’on puisse vraiment aider ces femmes de l’extérieur, le changement doit venir de leur propre prise de conscience et un mouvement doit se développer à l’intérieur même du pays. Tout ce que l’on peut faire, c’est écrire ou informer les gens de ce qui se passe ».
Après avoir été violemment prise à partie en août dernier en Inde, où elle résidait depuis 3 ans, par des activistes d’un parti musulman, la romancière a du quitter le pays. Où vit-elle aujourd’hui ? « Aussi incroyable que celui puisse paraître, je ne sais pas répondre à cette question pourtant si simple apparemment » écrit-elle dans une lettre adressée en décembre 2007 à Antoinette Fouque, Présidente de l’Alliance des femmes pour la démocratie. « On croira ce que l’on veut, mais je suis absolument incapable d’y répondre. Tout comme à la question de savoir comment je vais. Parfois il me semble que je ne sais même plus si j’existe. Je suis une morte-vivante : anesthésiée, privée du plaisir d’exister et de vivre, incapable de sortir de ma chambre où je me tiens cloîtrée. Jour et nuit, nuit et jour. La mort est devenue une intime. Elle me tient enlacée. Voilà comment je survis, et ce depuis longtemps »…
Marie Ernoult
8.03.2008

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Jusqu’où « voyagent » mes posts ! 😉

Il faudra que je lui demande quelle note il a obtenue, hahaha !