Men can ! Women ? Burqa !!!

cassée (Fusain 1975: En pièces détachées!)

Des hommes combattent les violences basées sur le genre, en Afrique du Sud!

…[ Les mentalités masculines semblent bien confirmer l’ancrage d’une domination morale et physique envers les femmes. Pourtant, des hommes agissent contre les violences basées sur le genre comme en témoigne cette citation : « Lorsque ce faux sens de masculinité sera inversé, nous verrons une baisse du VIH, simplement parce que les activités sexuelles forcées et les mythes sur le viol auront été éliminés ».
« Malheureusement, les commentaires de Malema reflètent une mentalité générale que les hommes en Afrique du Sud et en Afrique en général ont. Ils pensent qu’ils ont un droit de domination sur les femmes, ce qui est faux », a expliqué Botha, père de trois enfants.( Julius Malema, président de la Ligue du congrès national africain, poursuivi pour incitation à la haine contre les femmes).

Dissiper les mythes de la supériorité masculine
Ayant été impliqué dans des manifestations anti-apartheid dans les années 1980, Botha connaît très bien la dynamique de l’activisme. Il a participé à une série de manifestations ; il a été fusillé et blessé pendant les protestations et laissé avec une infirmité permanente. La lutte contre l’apartheid, dit-il, l’a amené à se rendre compte que « toutes les formes d’oppression sont inacceptables ».
« Après la fin de l’apartheid en 1994, j’ai pensé que nous ne pouvons pas prétendre avoir la liberté totale lorsque des femmes sont toujours soumises à des souffrances à travers des perceptions et des pratiques culturelles inutiles ».
Botha a fait allusion, par exemple, au mariage forcé appelé en langues nguni ’ukhutwala’ et encore très répandu dans d’autres parties de l’Afrique. « Ceci n’est pas différent du viol. En Afrique du Sud en particulier, c’est choquant. Nous avons les cas de viol les plus nombreux », a-t-il déclaré.
Une étude réalisée en 2009 par le Conseil sud-africain de recherche médicale a révélé qu’un homme sur quatre interrogés reconnaît avoir violé une femme : le taux le plus élevé au monde. La recherche a constaté en outre que peu de cas sont signalés. Ces résultats effrayants constituent ce que Botha, à travers les organisations avec lesquelles il travaille, comme le Réseau pour la justice entre les sexes de Sonke et le Forum des hommes, cherche à inverser.
Diffuser le message
Actuellement, l’organisation se lance dans son programme phare, « One Man Can » (Un seul homme peut). « Nous voulons montrer aux hommes qu’ils peuvent respecter, aimer leurs femmes avec passion, changer leurs valeurs et lutter pour l’égalité dans leurs communautés », a expliqué Mtutu.
Ce projet a vu l’organisation former les garçons et les hommes dans plusieurs communautés – en particulier les communautés rurales à forte densité. La formation, déclare l’organisation, est réalisée en utilisant des images et des témoignages par des moyens audiovisuels. Les groupes les plus sophistiqués sont ciblés par les médias de réseau social comme Facebook et Twitter. Sonke vise à atteindre au moins 20.000 hommes dans les trois prochaines années et à installer plusieurs branches qui seront en permanence situées au sein des communautés.
L’organisation travaille avec les chefs traditionnels pour établir une présence permanente dans la plupart des régions du pays. Le but, souligne Mtutu, est de changer le faux ego de la domination de l’homme à travers les dépositaires de la culture. Le sens de la suprématie des hommes est un produit de la culture, de la tradition et de la religion, affirme Mtutu.
« Lorsque ce faux sens de masculinité sera inversé, nous verrons une baisse du VIH, simplement parce que les activités sexuelles forcées et les mythes sur le viol auraient été éliminés ».
Ailleurs en Afrique, Sonke travaille en collaboration avec des organisations similaires telles que Padare/Enkundleni au Zimbabwe, ’Men can ’ (L’Homme peut), basée au Kenya et le Centre de ressources des hommes du Rwanda. Ensemble, ces organisations ont décidé au cours d’un symposium en 2009 d’aider les gouvernements africains à travers le renforcement des capacités et la mise en œuvre de la politique. (FIN/2010) ]
Davison Makanga.Article recueilli au Cap par l’Inter Press Service (IPS).
Source evene.

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 » Men can « ?
And…WOMEN, partout dans le monde « LIBRE » ? ? ?

« Elles » ADOPTENT la BURQA !!!
Pour AIDER à CHANGER le MAUVAIS SORT des FEMMES…

En PIRE !!!

Ainsi va le monde des femmes!

Pas besoin de machos pour nous POURRIR la vie : des femmes y excellent !!!