« Plusieurs pistes vont donc être explorées pour fabriquer ce préservatif du futur. La plupart des bénéficiaires de la subvention cherchent actuellement à utiliser une autre matière que le latex. Les scientifiques de l’Université de l’Oregon travaillent au développement d’un préservatif ultra-mince fait de polymère de polyuréthane, une matière capable de s’adapter à la forme qu’elle contient. Plus mince, le matériau agirait comme une « seconde peau ».
Même idée du côté de l’Apex Medical Technologies, à San Diego, qui utilisera sa subvention pour produire un préservatif masculin à l’aide des fibrilles de collagène de tendons de vache. « La texture du collagène est très semblable à la muqueuse (…) il ressemble beaucoup à la peau », explique Mark McGlothlin.
D’autres bénéficiaires ont pour objectif de révolutionner la manière d’enfiler le préservatif. C’est ainsi qu’est né le « Rapidom », un préservatif qui se met à l’aide d’un applicateur que l’on tire avec les deux mains et qui se détache une fois la capote enfilée. « La séquence doit se dérouler logiquement et naturellement », explique l’inventeur du Rapidom. Le produit doit d’ailleurs être testé dans des régions africaines « pauvres en ressources »…(Extrait)
Lu sur New Republic
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« le « Rapidom », un préservatif qui se met à l’aide d’un applicateur que l’on tire avec les deux mains* et qui se détache une fois la capote enfilée. « La séquence doit se dérouler logiquement et naturellement * « , explique l’inventeur du Rapidom. »
Na-tu-relle-ment
Et sans fou-rire imprévu* ?